Jeux Olympiques Une cérémonie officielle et populaire pour célébrer les 100 ans des Jeux à Chamonix

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Jeux olympiques : Clarisse Agbégnénou dénonce les conditions requises pour être porte-drapeau

Remportera-t-elle une nouvelle victoire, cette fois hors des tatamis ? Ce mercredi 13 mars, la judokate Clarisse Agbégnénou a publié un message sur X (anciennement Twitter) dans lequel elle dénonce l’écart entre les désirs de la population et la réalité des critères requis pour être porte-drapeau.

Le site Web L’Internaute a en effet dévoilé un sondage commandé à YouGov sur les athlètes favoris des Français pour porter le drapeau tricolore cet été lors des Jeux. Avec 27 % des votes, les 1 030 personnes interrogées plébiscitent Teddy Riner, également judoka, devant Kylian Mbappé, Antoine Dupont, Florent Manaudou, Kévin Mayer et enfin Clarisse Agbégnénou.

Des conditions très strictes

« Exceptionnel ! Ce sondage tombe à pic. Il y a les Français et les chiffres qui expriment une certaine volonté et, de l’autre côté, des personnes œuvrent en backstage pour imposer des conditions discriminantes pour désigner les porte-drapeaux », a commenté la sextuple championne du monde dans un message repéré par Le Figaro.

Parce qu’elle a déjà été porte-drapeau à Tokyo lors de la dernière olympiade, Clarisse Agbégnénou ne peut en effet pas prétendre de nouveau à cet honneur. En tête du sondage cité précédemment, Teddy Riner est dans le même cas de figure, puisqu’il menait la délégation française à Rio en 2016.

À LIRE AUSSI Jeux olympiques : les billets de train SNCF pour cet été en vente à partir du mercredi 13 marsAutres conditions dévoilées par le Comité national olympique et sportif français (Cnosf) ce mercredi 13 mars : avoir déjà été olympien, ce qui écarte donc Kylian Mbappé et Antoine Dupont, respecter l’éthique sportive et enfin incarner les valeurs olympiques. À ce titre, un nouveau critère pourrait entrer en ligne de compte, selon les informations du Parisien : la nécessité d’avoir un casier judiciaire vierge. Ainsi, le handballeur Nikola Karabatic pourrait lui aussi être disqualifié. L’athlète avait été condamné en 2017 pour des paris truqués.

Le Cnosf dévoilera les heureux élus mi-juillet.



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Jeux olympiques de Paris 2024: 600 jouets contrefaits saisis par les douanes

603 casses-têtes géométriques et consoles de jeux manuelles utilisant la marque « Jeux olympiques Paris 2024 » ont été saisis à Aubervilliers début février.

C’est « une première en France en matière de contrefaçon de la marque ‘Jeux olympiques Paris 2024′ ». Dans un communiqué publié lundi, le ministère de l’Économie a annoncé la saisie de plus de 600 jouets contrefaits utilisant la marque « Jeux olympiques Paris 2024 ».

Des consoles de jeux manuelles utilisant la marque " Jeux Olympiques Paris 2024" saisiesDes consoles de jeux manuelles utilisant la marque " Jeux Olympiques Paris 2024" saisies
Des consoles de jeux manuelles utilisant la marque  » Jeux Olympiques Paris 2024″ saisies © Douanes

L’opération remonte au 7 février, lorsque les enquêteurs de la Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED) sont « intervenus dans les locaux professionnels d’un grossiste d’Aubervilliers spécialisé dans la vente de marchandises diverses destinées à alimenter les bazars et les marchés », indique le communiqué.

Sur place, les agents ont découverts 603 jouets, dont des « casses-têtes géométriques à trois dimensions et des consoles de jeux manuelles portant des représentations des mascottes de Paris 2024 ainsi que l’inscription ‘The Phryges The Paris 2024 Mascots' ».

Les Jeux olympiques seront-ils perturbés par des grèves?
Les Jeux olympiques seront-ils perturbés par des grèves?

7.000 douaniers mobilisés pendant les Jeux

Le ministère de l’Économie précise qu' »après la reconnaissance par le Comité d’Organisation des Jeux olympiques du caractère contrefaisant des marchandises mises en retenue, le titulaire des droits et le détenteur des marchandises ont donné leur accord pour la destruction simplifiée de ces jouets, qui sera prochainement mise en oeuvre ».

Ces consoles manuelles ont été saisies dans les locaux d'un grossiste d'AubervilliersCes consoles manuelles ont été saisies dans les locaux d'un grossiste d'Aubervilliers
Ces consoles manuelles ont été saisies dans les locaux d’un grossiste d’Aubervilliers © Douanes

Ministre délégué en charge des Comptes publics, Thomas Cazenave a tenu à féliciter « les douaniers de la DNRED pour cette première saisie qui témoigne de leur vigilance accrue pour contrer ce problème, qui finance des réseaux criminels et terroristes ».

Cette saisie est une première en France en matière de contrefaçon de la marque "Jeux Olympiques Paris 2024"Cette saisie est une première en France en matière de contrefaçon de la marque "Jeux Olympiques Paris 2024"
Cette saisie est une première en France en matière de contrefaçon de la marque « Jeux Olympiques Paris 2024 » © Douanes
Plusieurs casses-têtes saisisPlusieurs casses-têtes saisis
Plusieurs casses-têtes saisis © Douanes

Le ministre rappelle en outre que 7.000 douaniers seront mobilisés pendant la période des Jeux afin de « sécuriser les importations des matériels accompagnant les délégations et réaliser des contrôles pour lutter contre les trafics, en premier lieu desquels se trouve la contrefaçon associée à la marque JOP (Jeux olympiques et paralympiques, NDLR) ».

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Un voyage scolaire en Grèce autour des Jeux Olympiques pour des élèves de Sion-les-Mines

Une rentrée scolaire un peu spéciale pour des élèves de l’école Saint-Joseph de Sion-les-Mines, à côté de Châteaubriant. Alors que tous les autres enfants de Loire-Atlantique retrouvent les bancs de l’école ce lundi matin, cette classe de CM1-CM2 s’envole pour la Grèce. Les 21 élèves et leurs quatre encadrants ont pris le bus direction Paris dans la nuit de dimanche à lundi. Un voyage scolaire d’une semaine qui allie visites touristiques et activités sportives à l’occasion des Jeux Olympiques de Paris 2024 et des 20 ans de ceux d’Athènes.

Voyage sur le thème des Jeux Olympiques

Ce projet est porté par deux enseignants de l’école privée Saint-Joseph à Sion-les-Mines : Élise Minier et David Charpentier, aussi directeur de l’établissement. « Pour eux, c’est magique. C’est la première fois qu’ils quittent la France pour la plupart. On va dans un pays où les enfants ne comprendront pas la langue. L’objectif, c’est de leur donner envie de voyager et de se rendre compte à quel point le monde est riche. »

Pour la plupart des élèves, c’est le premier voyage sans leurs parents. Quentin, 9 ans, est un peu inquiet. « Ça me fait un peu peur de partir en Grèce sans papa et maman. Je suis déjà parti en classe de mer, mais jamais en Grèce. » Julia, elle, prend cela avec le sourire : « On n’aura pas les parents sur le dos ! On va bien s’éclater ». Tom lui aura la chance d’avoir sa mère avec lui puisqu’elle est accompagnante. L’enfant de 11 ans stresse : « C’est la première fois que je vais prendre l’avion ». Très vite l’excitation de la découverte prend le dessus.

Échange avec un correspondant

Les élèves ont appris quelques mots en grec. Ils vont rencontrer des élèves d’une classe à Markopoulo, à côté d’Athènes. Un voyage qui allie sport et visites touristiques à l’occasion des Jeux Olympiques de Paris cette année et des 20 ans de ceux d’Athènes. « On va faire une rencontre sportive avec les enfants de l’école sur place, visiter le temple de Poséidon, aller voir l’Acropole puis le stade panathénaïque. On va participer à des activités sportives avec les élèves grecs et avec des athlètes sportifs de haut niveau grecs » explique le directeur de l’école David Charpentier.

Ce projet est financé en grande partie par un fond européen Erasmus +. Les parents d’élèves ont aussi mené plusieurs actions pour récolter de l’argent. Chaque famille a complété en payant 200 euros.

Les élèves français de Sion-les-Mines et leurs correspondants grecs.
Les élèves français de Sion-les-Mines et leurs correspondants grecs.David Charpentier

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Jeux olympiques : les billets de train SNCF pour cet été en vente à partir du mercredi 13 mars

Cochez la date dans votre agenda. À compter de ce mercredi 13 mars, il sera possible de réserver son billet de train pour cet été. Les trains TGV Inouï, Intercités et Ouigo sont concernés par la mise en vente.

Le point du soir

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Concrètement, c’est la période comprise entre le 6 juillet et le 11 septembre qui s’ouvre à la réservation. Les usagers de Ouigo vont même pouvoir acheter un billet jusqu’au 14 décembre.

Forte demande pour les Jeux

Pour rappel, les Jeux olympiques ont lieu du 26 juillet au 11 août en France cette année. Si la majorité des épreuves a lieu à Paris, des matchs de sports collectifs se tiennent en dehors de la capitale. Lille accueillera ainsi les phases qualificatives de basketball et finales de handball, tandis que les matchs de football se jouent entre Bordeaux, Nantes, Lyon, Saint-Étienne, Nice et Marseille. La cité phocéenne est également l’écrin de la compétition de voile. Enfin, l’épreuve de surf se déroule à Tahiti.

Au total, ce sont plus de 15 millions de visiteurs qui sont attendus à la seule capitale pour les Jeux olympiques. L’instance organisatrice, Paris 2024, suggère d’ailleurs de « bien noter » la date « car la demande de billet sera forte et les trains pourraient rapidement afficher complet ». Réserver au plus tôt permet en outre de bénéficier de meilleurs tarifs, d’accéder à plus d’horaires différents et de voyager en groupe.

À LIRE AUSSI Grèves pendant les JO : Patrice Vergriete, ministre des Transports, ne se dit « absolument pas » inquietLa SNCF ne précise pas l’heure de mise en vente des billets, mais la compagnie a l’habitude de la réaliser vers 6 heures du matin. Les billets TER, eux, seront mis en vente progressivement.



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Les Jeux Olympiques de Paris 1924 : quelle est cette « nouveauté » créée il y a 100 ans, encore présente pour les JO 2024

À l’image d’Anvers 1920 où avaient été inaugurés le drapeau olympique et le serment olympique, Paris 1924 amène plusieurs nouveautés dans l’organisation des Jeux.

Cette édition porte pour la première fois le nom de Jeux Olympiques d’été parce que six mois plus tôt ont eu lieu à Chamonix les premiers Jeux olympiques d’hiver de l’Histoire. Les Norvégiens et les Finlandais se taillent la part du lion dans ses épreuves auxquelles douze nations participent, dont la Belgique qui récolte la médaille de bronze en bobsleigh. Sur le plan financier, les Jeux ont coûté cher à Chamonix mais le prestige olympique et les investissements consentis (patinoire, tremplin à ski et piste de bobsleigh) font de Chamonix la reine des stations hivernales au moment où les sports d’hiver sont en plein développement.

Autre nouveauté, toujours en vigueur 100 ans plus tard : à Paris est lancé un nouveau concept, celui du village olympique.

Une idée qui résout enfin le problème de l’hébergement, réelle difficulté pour les athlètes participant aux Jeux précédents. Pour la première fois, c’est écrit noir sur blanc : le Comité olympique est tenu de fournir logement et nourriture, les frais seront supportés par les nations participantes. Au menu, un petit-déjeuner et deux repas chauds à midi et le soir avec au choix eau minérale, bière ou demi-bouteille de vin. En 100 ans, la diététique a profondément modifié les choses…

Pour le logement, ce n’est pas le grand luxe. Les participants sont hébergés dans des logements en bois, mais le concept de village olympique est bien là avec à la disposition des sportifs : douches, blanchisserie, télégramme et téléphone. Néanmoins, le village est réservé seulement aux hommes, les sportives logent à l’hôtel. Certaines nations ne consentent également pas à la formule : les Américains préfèrent faire bande à part en logeant dans un château et les Anglais finissent par accepter d’aller au village olympique à condition d’avoir un cuisinier britannique plutôt que français.

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Jeux olympiques : le gouvernement annonce des primes pour les fonctionnaires « mobilisés

Le gouvernement tente d’apaiser les tensions sociales liées aux Jeux olympiques (JO) et paralympiques de Paris. Invité, samedi 9 mars, sur Franceinfo, le ministre de la transformation et de la fonction publiques, Stanislas Guerini, a fourni des précisions sur les compensations financières accordées aux agents qui vont être « mobilisés » pour la préparation et la tenue de ce double événement, du 26 juillet au 11 août puis du 28 août au 8 septembre. Ces éclaircissements sont apportés alors que plusieurs syndicats agitent la menace de grèves durant les épreuves. Au-delà des attentes non satisfaites sur les rémunérations, les pouvoirs publics se voient reprocher une forme d’impréparation, faute d’avoir suffisamment orchestré le dialogue avec les représentants des travailleurs.

Sur Franceinfo, M. Guerini a indiqué que les agents de l’Etat qui seront sur le pont pendant les olympiades toucheront des primes de 500, 1 000 voire 1 500 euros. Ces montants étaient prévus dans une circulaire de novembre 2023 signée par Elisabeth Borne, alors cheffe du gouvernement. Samedi, le ministre de la fonction publique a expliqué que le niveau des gratifications sera modulé en fonction de plusieurs critères qui sont détaillés dans un « projet d’instruction » adressé, le même jour, aux syndicats. Ce texte, que Le Monde s’est procuré, complète la circulaire de novembre 2023, avec des mesures nouvelles : hausse du nombre de jours de télétravail indemnisés, octroi de chèques emploi-service universel pour faire garder ses enfants, ouverture de places en crèche… L’ensemble de ces dispositions se chiffrerait en centaines de millions d’euros, affirme l’entourage de M. Guerini, sans donner plus d’informations.

« Tout le pays souhaite qu’il n’y ait pas de grèves [durant les JO] », a lancé le ministre de la fonction publique. « Ses propos traduisent sans doute une inquiétude », réagit Frédéric Souillot, secrétaire général de FO, en faisant allusion aux préavis de grève que ses fédérations de fonctionnaires ont récemment déposés sur des périodes allant jusqu’au terme des Jeux paralympiques. Coresponsable de l’Union fédérale des syndicats de l’Etat-CGT, Céline Verzeletti affirme que des initiatives similaires vont être prises par ses troupes.

« Ouvrir les discussions sérieusement »

« A ceux qui pensent que les organisations de salariés se servent des JO pour faire avancer des revendications sur les rémunérations, je réponds qu’il n’y a pas que le sujet des gratifications financières qui est en jeu », confie M. Souillot. Le patron de FO et plusieurs de ses homologues observent que beaucoup de questions ne sont pas réglées, à ce stade : transport et hébergement des agents extérieurs à l’Ile-de-France qui viendront en région parisienne pour prêter main-forte pendant les épreuves, compensation accordée aux travailleurs qui vont être placés en chômage partiel, leur entreprise devant suspendre leur activité car elles se situent dans un des périmètres de sécurité, etc.

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Pierre de Coubertin, le perdant des Jeux olympiques

Le baron Pierre de Coubertin, sur une photo non datée. Le baron Pierre de Coubertin, sur une photo non datée.

N’est-ce pas la pire avanie pour un personnage historique que d’être universellement connu pour une phrase qu’on n’a jamais dite ? Pierre de Coubertin n’a en effet jamais prononcé la célèbre devise : « L’important, c’est de participer. » La si philosophique et si peu pratiquée sentence appartient à l’archevêque de Pennsylvanie, l’obscur Ethelbert Talbot. C’était en clôture des Jeux de Londres de 1908, sorte de cessez-le-feu d’une olympiade qui, aujourd’hui encore, passe pour un sommet de chauvinisme de la part du public, des athlètes, et plus encore de juges britanniques qui usèrent de tous les procédés pour faire gagner leurs compatriotes. La formule fut reprise ainsi par le Français Pierre Fredy, baron de Coubertin : « Retenons, Messieurs, cette forte parole : l’important, dans la vie, ce n’est point le triomphe mais le combat, ce n’est pas d’avoir vaincu mais de s’être bien battu. » Bien moins punchline, on en conviendra.

En fait, « l’important, c’est de participer » doit une partie de sa postérité au fait qu’elle figurait sur les panneaux des scores lors des Jeux de Berlin, organisés en 1936. Pour Adolf Hitler et les nazis, la promotion du fair-play et de l’esprit dit « de Coubertin » n’était pourtant pas l’ambition première… La fausse paternité de cette ritournelle olympique n’est qu’une des nombreuses disputes qui entourent le Français Pierre de Coubertin ­ (1863-1937), initiateur des Jeux modernes.

Alors que les prochains JO d’été se dérouleront à Paris, le personnage suscite plus que jamais la controverse dans son pays natal. Sa suffisance aristocratique est pointée, sa complaisance envers l’Allemagne d’Adolf Hitler supposée. Ses saillies misogynes et racistes, surtout, sont exhumées. Florilège : « Une olympiade femelle serait impratique, inintéressante, inesthétique et incorrecte. » « Les races sont de valeur différente et à la race blanche, d’essence supérieure, toutes les autres doivent faire allégeance. » Autant dire que, pour celui qui se revendiquait un « colonial fanatique », l’affaire semble entendue en ce XXIe siècle qui se réclame de #metoo et de Black Lives Matter.

Le grand absent des JO de Paris

L’encombrante personnalité suscite l’embarras de ses successeurs contemporains. Sous le tapis, Pierre de Coubertin ! Silence radio au Comité national olympique et sportif français (CNOSF). Une demande d’entretien auprès de David Lappartient, son actuel président, pour parler de celui dont la statue trône grandeur un peu plus que nature (1,67 mètre au lieu de 1,62 mètre) dans le hall du siège parisien, est restée sans réponse. Tapez « Coubertin » sur le moteur de recherche du Comité d’organisation des Jeux olympiques (COJO) de cette 33e olympiade, et s’affiche un infamant message : « Aucun résultat disponible. »

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Shytoshi Kusama de Shiba Inu dévoile une IA Shiba révolutionnaire, alimentant l’enthousiasme de la communauté

Le développeur principal de l’écosystème Shiba Inu, Shytoshi Kusama, a introduit Shiba AI, ou SARAH, en collaboration avec Bad Idea AI, suscitant un enthousiasme généralisé au sein de la communauté SHIB. Cet ajout innovant promet d’améliorer l’engagement communautaire et de soutenir les projets d’écosystème avec l’humour et la sécurité des utilisateurs au premier plan.

Shytoshi Kusama est optimiste quant à Shiba AI

L’approbation de Shytoshi Kusama a été manifestée avec un enthousiasme évident, soulignant l’enthousiasme de la communauté pour cet ajout innovant, a rapporté Coingape. « Heureux de ça. Attendez simplement ce qui va arriver, frens », a fait remarquer Kusama, faisant allusion aux développements potentiels de Shiba AI.

Shiba AI, également connu sous le nom de SARAH, a été conçu pour répondre aux besoins de la communauté Shiba Inu et soutenir d’autres projets dans les écosystèmes Shib et Shibarium. Le compagnon IA promet d’enrichir les conversations avec humour, esprit et en mettant fortement l’accent sur la sécurité des utilisateurs.

Bad Idea AI, la force motrice derrière la création de Shiba AI, remercie les modérateurs et dirigeants du télégramme, dont Gus, Someone Smart et Johnny, dont les précieux commentaires ont contribué à façonner le nouvel agent IA. Cet effort de collaboration démontre l’engagement de la communauté envers l’innovation et l’inclusion.

Avec une portée impressionnante couvrant 207 groupes et une population totale de plus de 121 010 personnes, SARAH n’a pas perdu de temps pour faire connaître sa présence. Rien qu’aujourd’hui, plus de 2 684 utilisateurs ont interagi avec l’IA, ce qui indique un accueil positif dans la communauté. Bad Idea AI prévoit une adoption accrue à mesure que les administrateurs de divers groupes internationaux intègrent SARAH, améliorant ainsi l’expérience utilisateur et l’engagement de la communauté.

Shiba Inu Lead fournit des mises à jour sur SHEboshi et Token Burn

Dans un récent article X, Shytoshi Kusama a souligné des améliorations significatives dans l’écosystème Shiba Inu. Kusama a mentionné avoir incendié une trame de SHIB, Bone et Leash tout en ajoutant des liquidités à SHEB, ce qui a piqué l’intérêt des commerçants du marché de la cryptographie et des investisseurs du monde entier.

Au cours de ce que le développeur décrit comme la meilleure semaine de Shiba Inu à ce jour, la pièce mème a surperformé certains altcoins bien connus, entrant potentiellement dans le top dix des pièces en termes de capitalisation boursière mondiale. Bien qu’actuellement classée onzième, la communauté vise à se hisser fortement dans le top dix.

Le récent lancement de SHEboshi, un jeton ERC-20, a alimenté cette semaine une vague d’optimisme pour Shiba Inu, que Kusama a décrit comme une réussite remarquable. En outre, le développeur a fourni des informations importantes sur les brûlures de Shibarium et l’ajout récent de SHEB (Sheboshi) au pool de liquidités de ShibaSwap.

De plus, son message mentionnait l’intention de la communauté de brûler 92 ETH dans SHIB tout en gérant avec succès les pertes associées à la transition de Bone vers ETH. De plus, en l’honneur de la Journée internationale de la femme, la communauté a « pris soin » des SHEboshis en achetant 38 894 $ en SHEB et en ajoutant 69 280 $ en ETH et 38 000 $ en SHEB au pool de liquidités de ShibaSwap.

Le message du développeur principal a fourni des détails sur les revenus d’exploitation de la communauté. Avec un chiffre d’affaires total d’environ 600 ETH divisé en deux (300 ETH), une partie est dédiée à la communauté, dont 10% vont aux associations et aux brûlages (6% Shib, 1% Bone, 1% Leash, 1% Treat, et 1% Shi), et 15% vont à la Fondation et à l’Equipe de l’écosystème. Cette annonce marque également le tout premier Leash burn.

Photo : Kanchanara/Unsplash

Bibliographie :

L’économie en sketchnotes : c’est facile !.,Cliquez sur ce lien .

JO Paris 2024 : le CIO annonce avoir « une confiance totale » avant la cérémonie d’ouverture

Le siège des Jeux olympiques de Paris 2024.

Le siège des Jeux olympiques de Paris 2024. © Arnaud Andrieu/SIPA

Du mercredi 6 au vendredi 8 mars, la commission de coordination du Comité international olympique (CIO) a tenu sa septième et dernière réunion avant le coup d’envoi des Jeux olympiques de Paris 2024. Au cours de celle-ci, l’heure de la cérémonie d’ouverture a notamment été fixée à 19h30, le 26 juillet prochain, d’après L’Équipe. Surtout, l’état d’esprit de l’instance penche clairement vers l’optimisme à quelques semaines du début de cet événement planétaire.

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« J’ai toujours la chair de poule »

Après les mesures de sécurité de la fameuse cérémonie d’ouverture annoncées par Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, Christophe Dubi, directeur exécutif des Jeux olympiques au sein du CIO, s’est exprimé ce samedi 9 mars au micro de RMC pour rassurer son monde. « Aujourd’hui, de l’idée initiale à sa réalisation, on est vraiment très, très proche. J’ai toujours la chair de poule. Les tableaux conçus sont d’une profondeur et d’une intelligence incroyables. Les Français seront très fiers », a-t-il souligné, indiquant également sa confiance face au « défi » sécuritaire.

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Malgré la division par deux du nombre de billets gratuits, pour passer à 222 000, Christophe Dubi évoque une cérémonie d’ouverture « ouverte et généreuse ». Le membre du CIO veut justement voir le verre à moitié plein : « Est-ce qu’elle est compliquée ? Sans aucun doute. Est-ce qu’elle est réalisable ? Bien sûr. La gratuité est conservée, sauf que les billets seront distribués. On est encore à six voire dix fois n’importe quel autre stade avec cette jauge. »

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