Paris 2024 Jeux olympiques : l’uniforme que porteront les bénévoles dévoilé

Ne dites pas tee-shirt et chapeau, mais maillot et coiffe. La convention des volontaires des Jeux olympiques et paralympiques (JOP) de Paris 2024, qui s’est tenue ce samedi à Nanterre, a été l’occasion de dévoiler leur uniforme, conçu par Decathlon.

Une couleur pour rendre les volontaires visibles

Unisexe et composé de 15 éléments allant des chaussettes au sac-banane en passant par une veste et un gilet, il a nécessité 18 mois de création, et usé une cinquantaine de prototypes.

Inspiré de la marinière typiquement française, l’ensemble adopte une couleur turquoise plutôt sobre que l’on retrouve sur les visuels de Paris 2024, et qui a l’avantage de donner de la visibilité aux volontaires.

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La majorité des pièces fabriquées en France

53 % des pièces sont fabriquées en France, le reste au Vietnam, précise Decathlon. Ni la marque ni le comité d’organisation des Jeux ne communiquent sur le coût de l’opération, qui représente la bagatelle de près d’un million de pièces.

Distribué en mai prochain, l’uniforme restera la propriété de Paris 2024 jusqu’à la fin des JOP, au terme desquels il sera offert aux volontaires.

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Jeux Olympiques | Paris 2024 | La pluie, ennemie de la Seine et menace d’annulation

Envisager la Seine comme un bassin olympique équivalait, à l’époque, à se jeter à l’eau sans véritablement savoir nager. Il y a un peu moins de dix ans, lorsque la Mairie de Paris a déterminé son « plan d’action » pour s’offrir les Jeux Olympiques et Paralympiques, prévoir d’organiser les épreuves de nage marathon, de triathlon et de para-triathlon dans le fleuve parisien avait fait bondir tous ceux qui avaient eu vent de sa réputation. « C’est vrai qu’on change complètement d’approche par rapport à un cours d’eau qui a été délaissé d’un point de vue environnemental et bactériologique durant un siècle« , nous glisse encore un acteur du dossier.

La Seine était effectivement interdite à la baignade depuis un arrêté datant de 1923 en raison, notamment, de sa forte concentration en escherichia coli et entérocoques, des bactéries fécales provenant des eaux usées rejetées dans le fleuve par temps de pluie, afin d’éviter le débordement des égouts dans la ville. 1,4 milliard d’euros ont été débloqués pour moderniser le réseau d’assainissement et rendre la Seine plus saine. L’arme fatale, en plus d’autres chantiers de grande ampleur lancés autour de la capitale, c’est un gigantesque bassin de rétention situé à Austerlitz.

Le bassin d’Austerlitz, l’arme fatale

« Il nous fallait un élément que Paris n’avait pas encore intra-muros pour éviter des rejets d’eaux usées entre le Pont et le futur site de baignade, c’est-à-dire entre Bercy et la Tour Eiffel, nous explique Samuel Colin-Canivez, responsable des grands travaux d’assainissement parisien. L’idée est simple à comprendre : il s’agit d’un ouvrage de stockage qui permet de mettre de l’eau usée de côté le temps que la pluie passe. Une fois que la pluie est passée, le réseau d’assainissement n’est plus saturé et on peut vider le bassin dans ce même réseau en le pompant. L’eau, au lieu d’être rejetée en Seine, va alors suivre son parcours classique pour être traitée en station d’épuration. »

Au total, 44 mois de travaux et plus de 90 millions d’euros auront été nécessaires pour sortir de terre cet immense bassin d’une capacité de stockage d’environ 50.000m³, l’équivalent d’une vingtaine de piscines olympiques. C’est en partie sur lui que repose l’objectif de maintenir, comme prévu, les épreuves de triathlon (30, 31 juillet et 5 août), de natation marathon (8 et 9 août) et de para-triathlon (1 et 2 septembre) aux JO de Paris 2024.

Le bassin de rétention d'Austerlitz va jouer un rôle clé pour assainir la Seine
L’été dernier, plusieurs épreuves tests dans la Seine avaient tourné au fiasco. La manche de Coupe du monde de natation en eau libre avait été annulée, en raison d’une pollution de l’eau trop élevée après un important épisode pluvieux. Les épreuves de nage de para-triathlon et du relais mixte avaient également été supprimées alors que, cette fois-ci, la météo n’avait pas été un problème. Mais la Mairie de Paris avait évoqué un « dysfonctionnement d’une vanne » du réseau d’assainissement pour justifier la dégradation de l’eau. « Elle avait été déformée par une pompe de relevage et était indiquée comme fermée alors qu’elle laissait passer des eaux de mauvaise qualité dans la Seine« , nous détaille-t-on.

Les triathlons féminin et masculin, eux, ont été disputés. Ce, alors que les seuils bactériologiques ne garantissaient pas une bonne qualité de l’eau, et qu’ils étaient d’ailleurs inconnus pour l’épreuve masculine en raison d’un problème de manipulation des analyses en laboratoire. Concrètement, les fédérations de natation et de triathlon fixent le seuil de concentration en bactérie escherichia coli à 1000 UFC (unité formant colonie) par 100 ml. Mais il s’agit de la limite à ne pas dépasser. Elles situent plutôt la barrière entre une eau de bonne qualité et une eau de qualité acceptable à 500 UFC/100 ml.

On n’atteindra jamais le risque zéro puisqu’il peut y avoir une pluie que l’on ne voit que tous les 100 ans

Dans un avis fourni par l’Agence Régionale de Santé le 23 juillet 2023, il est d’ailleurs rappelé que le Parlement européen fixe le plafond à 900 UFC/100 ml. Une analyse publiée par nos confrères de FranceInfo a démontré que la qualité de l’eau de la Seine à l’été 2023 était très loin d’être satisfaisante.

Interrogée à ce sujet, la Mairie de Paris se veut rassurante. Les problèmes de manipulation en laboratoire ? « On a mis en place un double processus, nous assure Pierre Rabadan, adjoint chargé des Sports, des Jeux Olympiques et Paralympiques. Les prélèvements seront envoyés à deux laboratoires différents et seront donc manipulés par des personnes différentes. En cas de mauvaise manipulation d’une équipe, elle pourra être remplacée par la deuxième, qui confortera aussi les analyses afin de garantir qu’elles soient fournies en temps et en heure. »

Le pont Alexandre III, lieu d'arrivée de la natation marathon, du triathlon et du para-triathlon aux JO de Paris 2024

Les vannes défectueuses ? « Ça fait partie du plan de résilience qu’on a mis en place, rassure l’ancien rugbyman. Les équipes de maintenance vont avoir une surveillance beaucoup plus fine du réseau souterrain, y compris humaine, pour pouvoir surveiller en temps réel un potentiel dysfonctionnement du réseau en allant directement dans les égouts. Ça permet d’avoir un contrôle visuel et qu’un potentiel dysfonctionnement soit résolu dans un temps quasiment immédiat. »

Reste un paramètre incontrôlable : la pluie, qui avait mis à mal les épreuves de nage marathon l’été dernier. « On n’avait pas eu un tel épisode de pluie à période équivalente depuis 1965« , rappelle l’adjoint d’Anne Hidalgo. « Tout l’objet du plan et des travaux qui ont été réalisés consiste à repousser la nécessité de déverser de l’eau dans la Seine sur les deux pluies les plus importantes de l’année, explique Samuel Colin-Canivez, responsable des grands travaux d’assainissement parisien. Pour repousser cette nécessité à la pluie la plus importante de l’année, il faudrait des efforts d’investissements énormes, simplement pour quelques jours de baignabilité en plus. Le jeu n’en vaudrait pas la chandelle, en sachant qu’on n’atteindra jamais le risque zéro puisqu’il peut y avoir une pluie que l’on ne voit que tous les 100 ou 1000 ans. »

Les athlètes nageront dans la Seine… ou ne nageront pas

Les acteurs de ce plan refusent de penser à l’impensable. « L’épisode que l’on a vécu l’année dernière est tellement rare qu’il serait encore plus rare qu’on le vive deux années de suite, insiste Pierre Rabadan. Je ne suis pas expert en statistiques, mais ça me paraît plus probable que l’on organise une deuxième fois les Jeux dans les 20 prochaines années. Le bassin d’Austerlitz et les autres ouvrages en amont de Paris permettent d’être résolument optimiste dans un scénario qui n’est pas celui d’un ouragan qui déferle et apporte 15 jours de pluie…« .

Voilà pourquoi depuis des mois, les organisateurs refusent de parler de plan B. Aux JO, on nagera dans la Seine. Ou on ne nagera pas. Pour réduire encore le risque, le comité d’organisation et les fédérations travaillent sur des jours de contingence qui permettrait de reporter les épreuves si la qualité de l’eau ne répond pas aux critères de baignabilité.
Le parcours de l'épreuve individuelle de triathlon aux Jeux Olympiques de Paris 2024 (Crédit image : Paris 2024)

Chez les athlètes, cette volonté de tout faire pour maintenir les épreuves dans le fleuve parisien – qui répond aussi à des impératifs de coûts et d’organisation – divise. « C’est une préoccupation, a glissé la Brésilienne Ana Marcela Cunha, championne olympique en titre de natation en eau libre, dans un entretien accordé à l’AFP. Il n’y a pas eu de test-event l’an dernier mais les organisateurs insistent à vouloir que les épreuves aient lieu là-bas. […] Il faut un plan B au cas où il ne serait pas possible de nager. »

« Je pense que le COJO se met vraiment la pression pour que tout se déroule comme prévu, nous souffle Dorian Coninx, champion du monde en titre de triathlon et grande chance de médaille française. Le contraire serait un fiasco pour eux. » Pour cette discipline en particulier, le dernier recours pourrait être de supprimer l’épreuve de natation pour ne garder que le cyclisme et la course à pied. « Ce serait problématique que ça devienne un duathlon, estime le Français. On s’entraîne dur pour faire du triathlon et ça embêterait tout le monde, y compris les médaillés, d’être sur le podium d’un triathlon qui n’en est finalement pas un. » Pour ces athlètes de très haut niveau, l’enjeu sportif prévaut largement sur tout le reste.

(Visuels : Quentin Guichard)

Retrouvez tous les épisodes de notre série consacrée aux épreuves et à la baignade dans la Seine :

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Jeux Olympiques: les archives de Février 2024 – Page 3

JO 2024 : "Je ne me vois pas sans ma fille", Agbégnénou droite dans ses bottes JO 2024 : "Je ne me vois pas sans ma fille", Agbégnénou droite dans ses bottes

JO 2024 : « Je ne me vois pas sans ma fille », Agbégnénou droite dans ses bottes

Alors qu’elle vient d’obtenir son 7e titre au Grand Slam Paris ce samedi, Clarisse Agbégnénou en a rajouté une couche sur sa volonté d’être au plus près de sa fille durant la quinzaine olympique cet été dans la capitale française. A priori, ce ne sera pas possible au village olympique. Une chose est sûre : même s’il est ouverte à la discussion, il est hors de question pour la judokate d’être séparée de sa fille durant cet évènement. Mise au point sur RMC.

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La plateforme Max lancée en France avant les Jeux Olympiques

Deux grands rendez-vous attendent Warner Bros Discovery cette année : les Jeux Olympiques, dont il sera, via Eurosport, diffuseur en intégralité, et le lancement de sa nouvelle plateforme numérique Max en Europe (elle est déjà disponible aux États-Unis et en Amérique latine). Le groupe américain a annoncé ce jeudi, dans un communiqué, le lancement de Max à partir du 21 mai en Europe centrale, de l’Est et du Nord puis, dans la foulée, en France, Pologne, Pays-Bas et Belgique. Soit « avant les Jeux Olympiques de Paris 2024 (26 juillet-11 août) », fin juillet.

En France, aux tournois de tennis du Grand Chelem (Open d’Australie, US Open), aux grands Tours cyclistes (Giro, Tour de France, Vuelta), aux JO, se mêlera donc le catalogue HBO. « Tout sera disponible au même endroit, d’Harry Potter à Game of Thrones, en passant par Looney Tunes, Tom et Jerry, les documentaires Discovery… et cette offre sportive », précisait à L’Équipe Clément Schwebig, DG Europe de l’Ouest et Afrique de Warner Bros Discovery, début février.

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JO de Paris 2024 : 715 personnes, dont 10 fichés S, écartées pour risques, selon Darmanin

« Réunion de suivi des Jeux olympiques : 150 816 enquêtes de sécurité ont été réalisées (relayeurs de la flamme, personnels de sécurité privée, prestataires, etc.). 715 personnes ont été ainsi écartées pour de potentiels risques dont 10 individus fichés S. Nous restons fermes et extrêmement vigilants », a-t-il indiqué. L’entourage du ministre a précisé que d’autres enquêtes restaient à mener.

Depuis des mois, des enquêteurs-analystes épluchent en toute discrétion les centaines de milliers de demandes d’accréditation émanant du Comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques (Cojop), ou des préfectures impliquées dans le grand rendez-vous planétaire. Leur objectif : s’assurer que celles et ceux qui sollicitent une autorisation ne constituent pas un risque pour la sécurité de l’événement, dans un contexte de menace terroriste « très élevée » en France.

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Sauf les spectateurs

« Il ne peut pas y avoir de délivrance d’accréditation du Cojo tant qu’il n’y a pas eu de résultat d’enquête de sécurité […], c’est vraiment pour toute personne, sauf le spectateur », avait dit début mars Julien Dufour, chef du Service national des enquêtes administratives de sécurité (Sneas), chargé de cette mission pour les JO.

En tête de la liste des accrédités, 10 500 sportifs sélectionnés pour les Jeux olympiques (26 juillet-11 août), 4 400 pour les Jeux paralympiques (28 août-8 septembre), leur staff (entraîneurs, soigneurs…) et quelque 26 000 journalistes.

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Viennent ensuite jusqu’à 22 000 agents de sécurité privée et 45 000 volontaires, même si tous ne font pas l’objet d’une enquête de sécurité, obligatoire uniquement pour ceux qui ont accès à des zones protégées.

La première étape de la procédure d’enquête administrative de sécurité passe par un criblage, c’est-à-dire la consultation des différents fichiers de police et de renseignements (national ou supranational). Si aucun risque sécuritaire n’apparaît, le Sneas émet un avis sans objection qui équivaut à un feu vert.

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Jeux Olympiques | Paris 2024 | Pourra-t-on se baigner dans la Seine après les JO

Celle-ci fixe les seuils d’escherichia coli et d’entérocoques intestinaux, des germes de contamination fécale, à respectivement 900 UFC (unité formant colonie) et 330 UFC par 100 millilitres d’eau pour qualifier de « suffisante » la qualité de l’eau. Ces seuils seront probablement dépassés pendant et après les jours de forte pluie. « La baignade sera effectivement toujours soumise à un aléa climatique, confie Samuel Colin-Canivez. Mais c’est tout aussi vrai à Marseille pour la Méditerranée. De la même manière qu’on ne fait pas de planche à voile sans vent, ou pas de ski sans neige, on ne se baignera pas après des épisodes orageux. C’est le même principe. Mais c’est moins intuitif. » Beaucoup de réponses sont livrées par cet article présenté par lejournaldeleconomie.info qui parle du thème « Actualité économique ». L’écrit de départ a été rendu de la façon la plus honnête qui soit. Vous avez l’occasion d’écrire en utilisant les coordonnées présentées sur notre site web afin d’indiquer des détails sur cet article parlant du thème « Actualité économique ». lejournaldeleconomie.info est un agrégateur d’information qui présente de nombreuses actualités publiées sur le net dont le sujet central est « Actualité économique ». Consultez notre site lejournaldeleconomie.info et nos réseaux sociaux dans le but d’être informé des nouvelles communications.

Tirage des Jeux Olympiques 2024 : Un tirage clément pour les Bleu(e)s

terminé

Le tirage au sort des tournois olympiques de football a eu lieu ce mercredi à Saint-Denis. Les Bleus de Thierry Henry ont hérité de la Nouvelle-Zélande, des États-Unis et d’un barragiste pas encore connu. Les Bleues d’Hervé Renard affronteront également la Nouvelle-Zélande, le Canada et la Colombie complétant le reste du groupe.

Paris 2024 : trois questions pour tout comprendre au tirage au sort des tournois olympiques de football

Le tirage au sort rendra son verdict mercredi à 20 heures (en direct sur France 3). Les deux équipes de France sont placées dans le chapeau 1 grâce au statut de pays hôte.

France Télévisions – Rédaction Sport

Publié le 20/03/2024 07:00

Temps de lecture : 3 min

Football aux Jeux olympiques de Tokyo, le 22 juillet 2021. (MILLEREAU PHILIPPE / KMSP)

Quel destin pour les équipes de France ? Le tirage au sort des tournois de football des Jeux olympiques aura lieu, mercredi 20 mars, au siège de Paris 2024 à Saint-Denis et sera diffusé sur France 3 et france.tv à partir de 20 heures. Les équipes de France de football connaîtront ainsi le menu d’une compétition qui se déroulera du 24 juillet au 10 août. Les Bleues chercheront à y décrocher le premier trophée de leur histoire, alors que l’équipe masculine tentera de reproduire l’exploit de la bande d’Henri Michel, en or aux Jeux de Los Angeles 1984.

Le tirage sera effectué par Didier Drogba, Javier Saviola, Marie-José Pérec et Stéphanie Labbé (ex-gardienne du Canada, championne olympique en titre), en présence notamment de Tony Estanguet, président de Paris 2024 et des sélectionneurs des équipes de France olympiques masculine et féminine, Thierry Henry et Hervé Renard. De nombreuses personnalités du monde du football comme Arsène Wenger, Youri Djorkaeff et Olivier Dacourt sont également invitées.

Quelles sont les équipes qualifiées ?

Pour l’instant, toutes les équipes qualifiées pour les tournois olympiques ne sont pas connues. Chez les femmes, deux tickets sont encore à distribuer, alors qu’il y en a quatre chez les hommes. En tant que pays hôte, la France est qualifiée d’office pour les tournois féminin et masculin, et versée dans le chapeau 1 de chaque tableau. Les États-Unis, l’Espagne et la Nouvelle-Zélande aligneront également leurs sélections féminine et masculine. Chez les hommes, sur les quatre places encore à distribuer, trois seront attribuées lors du championnat d’Asie des moins de 23 ans, organisé au Qatar du 15 avril au 3 mai prochain. Le dernier ticket sera disputé entre la Guinée et une équipe asiatique issue de ce même tournoi lors d’un barrage intercontinental.

Chez les femmes, seules deux nations africaines doivent encore décrocher le précieux sésame, au cours du tournoi de qualification olympique de la CAF, organisé du 1er au 9 avril. Quatre équipes sont encore en lice : le Nigéria, l’Afrique du Sud, la Zambie et le Maroc. 

Quel est le format du tirage ?

Les 16 équipes masculines seront réparties en quatre groupes de quatre, quand les 12 équipes féminines seront, elles, dispatchées en trois groupes de quatre. Pour le tirage, les nations masculines sont réparties en quatre chapeaux de quatre, grâce à un système de classement fondé sur le nombre de points obtenus lors des cinq derniers Jeux olympiques. Ce qui donne pour le moment un chapeau 1 avec la France, en raison de son statut de pays hôte, l’Argentine et deux équipes issues du championnat d’Asie U23.

Les 12 équipes féminines seront classées en différents chapeaux en fonction de leur position au classement mondial féminin de la Fifa. Une répartition plutôt avantageuse pour les Bleues d’Hervé Renard, qui côtoieront ainsi l’Espagne et les États-Unis dans le chapeau 1, deux mastodontes du foot mondial qu’elles ne pourront donc pas affronter en phase de poule.

Hommes

Chapeau 1 : France, Argentine, deux qualifiés via le championnat d’Asie U23

Chapeau 2 : Espagne, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Maroc

Chapeau 3 : États-Unis, Égypte, Mali, un qualifié via le championnat d’Asie U23

Chapeau 4 : République dominicaine, Israël, Ukraine, le vainqueur du barrage intercontinental entre un qualifié via le championnat d’Asie U23 et la Guinée

Femmes

Chapeau 1 : France, Espagne, États-Unis

Chapeau 2 : Allemagne, Japon, Canada

Chapeau 3 : Brésil, Australie, Colombie

Chapeau 4 : Nouvelle-Zélande, deux qualifiés de la zone Afrique

Comment se dérouleront les tournois olympiques ?

Les tournois olympiques de football débuteront le 24 juillet, avant la cérémonie d’ouverture. Pour les équipes qualifiées, l’objectif sera simple : finir parmi les deux premiers de chaque groupe pour s’ouvrir les portes des quarts de finale. S’y ajouteront les deux meilleures troisièmes dans le tournoi féminin pour obtenir huit qualifiées. Sept stades de l’Hexagone ont été retenus par le comité organisateur pour ces tournois de football masculin et féminin. Les deux finales masculine puis féminine prévues les 9 et 10 août prochains se joueront au Parc des Princes à Paris, quand les petites finales, avec une médaille de bronze à la clé, sont prévues au stade de La Beaujoire à Nantes pour les garçons et au Groupama Stadium à Lyon pour les filles. Le stade Vélodrome de Marseille, l’Allianz Riviera de Nice, le Matmut Atlantique de Bordeaux et le stade Geoffroy-Guichard de Saint-Étienne recevront, eux aussi, des rencontres des différents tournois. 

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Pourquoi les déboires d’Atos planent sur les Jeux olympiques de Paris

Et si Atos entraînait les Jeux olympiques dans sa chute? La question commence à se poser avec de plus en plus d’insistance, car l’entreprise occupe une place centrale dans l’organisation de la compétition.

Le chrono précis, à la centième de seconde près, du vainqueur du 100 mètres, affiché en temps réel sur les grands écrans du Stade de France et sur toutes les télévisions du monde? C’est Atos. La gestion de toutes les connexions du village olympique? Encore Atos. Les badges d’accréditations pour tous les officiels des jeux, athlètes, entraîneurs, journalistes, chefs d’Etat? Encore Atos. L’entreprise française se décrit elle-même comme le « chef d’orchestre de l’ensemble des entreprises technologiques impliqués dans les jeux olympiques ».

Le groupe va également, via sa division Eviden, gérer l’ensemble des services de cybersécurité pour Paris 2024. Un dossier extrêmement sensible. Certains experts s’attendent à des milliards de tentatives de cyberattaques pendant la compétition. Lors de la dernière édition, à Tokyo, en 2021, il avait déjà fallu déjouer 450 millions d’attaques.

Pas d’inquiétude chez Atos

Au total, 300 salariés d’Atos travaillent à l’année sur les Jeux olympiques. Ils coordonneront cet été 2000 experts supplémentaires. « Toutes les équipes sont pleinement mobilisées et fières de participer aux Jeux olympiques », explique l’entreprise, qui ajoute: « Atos a les liquidités financières pour faire face à toutes ses obligations d’ici 2025 ».

Circulez, il n’y a rien à voir, voilà en somme la position de l’entreprise. Atos assure aussi que le report des jeux de Tokyo, décalé d’un an à cause de la crise du covid, a eu plus d’impact sur les équipes que la situation actuelle.

Du côté de Paris 2024, le son de cloche est le même. Les organisateurs mettent en avant l’expérience d’Atos, partenaire du Comité International olympique depuis 30 ans. « Nous avons toute confiance dans les équipes d’Atos, à honorer les contrats qui les lient au CIO et donc à Paris 2024 » déclarent les organisateurs.

Une fuite des cerveaux avant les JO ?

Certains connaisseurs du dossier sont cependant nettement moins optimistes. « Les Jeux de Paris 2024 seront sans doute les derniers pour Atos » glisse une source, « les équipes en ont pleinement conscience et sont stressées pour leur avenir ». Le groupe a décroché il y a un an un contrat avec l’UEFA, pour gérer l’informatique pendant l’Euro de football qui se déroulera en Allemagne en juin. « Les déboires d’Atos font craindre que ce contrat prenne vite fin également » nous explique-t-on.

« Si Atos n’a plus de contrat ni avec le CIO, ni avec l’UEFA, les cerveaux pourraient être tentés de quitter l’entreprise pour assurer leur avenir et cela même avant les jeux » craint-on.

Les déboires d’Atos font enfin planer un autre risque sur les Jeux. « On peut craindre que certains fournisseurs du groupe mandatés pour les JO décident de rompre leur contrat si Atos se retrouve en procédure de sauvegarde » estime un proche du dossier. Cela pourrait alors avoir, nous assure-t-on, un impact à tous les niveaux, des accréditations à la cybersécurité olympiques.

Justine Vassogne

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Jeux olympiques Paris 2024 : 200 000 préservatifs, 20 par athlète, seront mis à disposition des sportifs

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Un risque sanitaire avéré

Ainsi, 200 000 préservatifs en latex masculins, 10 000 préservatifs masculins sans latex, 20 000 préservatifs féminins et 10 000 digues buccales seront mis à la disposition des athlètes. Vous avez bien compté, cela représente bien une vingtaine de préservatifs mis à disposition par athlète. Preuve que l’ambiance promet d’être très chaude au village olympique durant les 17 jours de compétitions.

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Un véritable risque sanitaire pris très au sérieux par les autorités. « Il faudra se préparer à l’éventualité d’une augmentation des situations d’urgence pour des prescriptions de traitement post-exposition contre le VIH ou de dépistage d’infections sexuellement transmissibles », a écrit l’épidémiologiste Dominique Costagliola, dans une note intitulée « Jeux olympiques : faut-il craindre le risque sanitaire ? ».

L’exemple des JO de Sidney en 2000

Des organisateurs qui peuvent s’appuyer sur des précédents en la matière. Ainsi, après les JO de Sidney en 2000, les autorités sanitaires australiennes avaient conclu que « la proportion présentant des symptômes ou un contact connu avec une infection sexuellement transmissible était plus élevée pendant les Jeux, à hauteur de 29 % ».

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