La victoire de Félix Lebrun contre son frère Alexis a marqué l’histoire du sport.
Si les deux frères sont rivaux sur le terrain sportif, ils sont aussi très proches.
Dans Bonjour ! La Matinale TF1, Benjamin Muller nous explique comment les parents peuvent gérer la rivalité au sein d’une fratrie.
Dans la catégorie fratrie célèbre, on demande : les frères Lebrun. Alexis et Félix sont entrés dans le cœur des Français pendant les Jeux Olympiques. Au-delà de leurs exploits sportifs, c’est leur relation qui fascine. S’ils sont très proches l’un de l’autre dans la vie, dès lors que la compétition commence, il n’y a plus de fratrie qui tienne. À la guerre comme à la guerre. Mais dès que la balle de match signe la fin de la partie, l’amour et l’harmonie règnent à nouveau. De quoi rendre interrogateurs tous les parents du monde, même s’ils n’ont pas pour enfants des champions olympiques. Est-ce que cette concurrence est saine entre deux frères, deux sœurs, des frères et sœurs ? Réponse de Benjamin Muller dans Bonjour ! La Matinale TF1.
La rivalité entre frères et sœurs, inévitable ?
Pour Freud, « le premier désir meurtrier que l’enfant éprouve est dirigé contre son frère ou sa sœur« . Rien de bien rassurant lorsqu’on est parents. Françoise Dolto, elle, estime que « la rivalité entre frère et sœur est inévitable, mais elle peut être un moteur de croissance si elle est bien accompagnée. » Comprendre : deux enfants seront toujours un peu dans une situation de rivalité. Les parents, eux, ont donc le devoir d’accompagner cette rivalité de manière saine, sans pousser à la compétition. Pour cela, il y a des règles de base : on ne compare jamais ses enfants. Rien de pire que les phrases telles que « ton frère fait bien à manger« , « ta sœur range bien sa chambre« . En effet, ce type de remarque entraîne insidieusement les enfants sur le terrain fertile de la jalousie malsaine. Par ailleurs, pour accompagner la rivalité, il faut éviter d’intervenir systématiquement en cas de dispute entre frères et sœurs. Cela est vrai à n’importe quel âge, que les enfants soient ados ou adultes. Intervenir signifie arbitrer. Or, lorsqu’on arbitre, on prend position pour l’un des enfants, ce qui entraîne également de la jalousie.
Nos conseils pour encourager cette concurrence saine
Tous les parents ont déjà entendu cette phrase : il ne faut pas faire de différence entre ses enfants. Dans les faits, pour encourager une concurrence saine, il est important d’essayer de garder du temps pour chacun en s’octroyant une demi-heure avec l’un, puis avec l’autre. C’est important pour l’enfant, car cela montre que même si vous avez plusieurs enfants, votre enfant est « unique ». Vous pouvez essayer de faire en sorte que chacun ait une passion ou une activité personnelle : inscrivez l’un au foot, l’autre au dessin. Cela évitera les comparaisons et la compétition entre les enfants. Enfin, favorisez le travail d’équipe. Si vous demandez à vos enfants de participer à la cuisine, faites en sorte qu’ils ne soient pas sur la même préparation culinaire. Chargez l’un de faire à manger, l’autre de préparer l’apéro. Bref : chacun à son domaine réservé.
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