Jeux olympiques : Paris 2024 cherche ses derniers partenaires

, Jeux olympiques : Paris 2024 cherche ses derniers partenaires
, Jeux olympiques : Paris 2024 cherche ses derniers partenaires

Airbnb, Omega, Visa…  Leurs logos sont omniprésents dans la communication des Jeux Olympiques et paralympiques de Paris 2024. C’est l’un des privilèges des partenaires de la compétition. Actuellement au nombre de 66, « de nouvelles signatures doivent être annoncées prochainement », confie, à La Tribune, François-Xavier Bonnaillie, directeur commercial chargé des partenaires.

Lire aussiSprint final pour les Jeux Olympiques durables de Paris

Des entreprises qui représentent un tiers du financement

Tandis que le dernier conseil d’administration de l’événement vient de se tenir, les négociations pour de futurs partenariats se poursuivent. Les sponsors sont indispensables à la livraison des Jeux. Ils représentent en effet un tiers du financement, avec un montant s’élevant à 1,2 milliard d’euros fin 2023. Un chiffre dépassant le l’objectif original de 1,1 milliard d’euros, ce dernier ayant été revu à la hausse, à 1,8 milliard.

Bien que le programme touche à sa fin, l’organisation n’impose pas de date-butoir pour de potentielles sociétés intéressés.

« Nous avons atteint 97% de notre objectif, c’est du jamais-vu en termes de partenariats » s’est félicité, en conférence de presse ce 11 décembre, Fabrice Lacroix, directeur financier de Paris 2024.

Tous les secteurs ont été couverts

Un sentiment de réussite partagé par son collègue commercial François-Xavier Bonnaillie qui considère que « tous les secteurs ont été couverts ». Les partenariats engagent financièrement les entreprises, mais pas seulement.

Bien qu’ils payent pour diffuser leur image, les partenaires permettent aussi le bon fonctionnement des Jeux. Par exemple, la multinationale Sodexo se chargera de la livraison des repas des athlètes au quotidien, tout comme la RATP et la SNCF, sous l’autorité d’Île-de-France Mobilités, assureront les transports des spectateurs.

« Les partenaires sont essentiels au fonctionnement logistique. Sans eux, il n’y a pas de JO », insiste François-Xavier Bonnaillie auprès de La Tribune

Des acteurs doivent se plier aux exigences de la ville de Paris

Au-delà de l’organisation, certains acteurs, comme le groupe Banque populaire-Caisse d’épargne (BPCE), financent 700 athlètes et parathlètes dans leur préparation à la compétition. D’autres comme Coca-Cola se plient aux exigences de la ville-hôte de Paris qui combat le plastique à usage unique.

« Au départ, nous les avons un peu contraints et maintenant ils ont pris le pas. Il s’agit de mettre en place des fontaines et des gobelets réutilisables pour ne plus utiliser des bouteilles en plastique sur l’ensemble des sites de compétition temporaires dans Paris intra-muros », a affirmé, au Paris Zéro Carbone le 7 décembre, Pierre Rabadan, adjoint d’Anne Hidalgo chargé du sport, des Jeux olympiques et paralympiques et de la Seine.

Quatre niveaux de partenariat

Les partenaires mondiaux, qui sous contrat de longue durée avec le Comité international olympique (CIO), sont présents sur plusieurs olympiades et bénéficient d’une forte visibilité : Airbnb, Alibaba et Allianz.

Suivent les partenaires premium, officiels et enfin les supporteurs officiels. Leurs droits et engagements se déclinent selon leur échelon (représentation visuelle, communication, etc..).

Lire aussiJO de Paris 2024: pourquoi le groupe de luxe LVMH rejoint les rangs des partenaires

Beaucoup de réponses sont livrées par cet article présenté par lejournaldeleconomie.info qui parle du thème « Actualité économique ». L’écrit de départ a été rendu de la façon la plus honnête qui soit. Vous avez l’occasion d’écrire en utilisant les coordonnées présentées sur notre site web afin d’indiquer des détails sur cet article parlant du thème « Actualité économique ». lejournaldeleconomie.info est un agrégateur d’information qui présente de nombreuses actualités publiées sur le net dont le sujet central est « Actualité économique ». Consultez notre site lejournaldeleconomie.info et nos réseaux sociaux dans le but d’être informé des nouvelles communications.