La Suisse n’aura pas les Jeux olympiques d’hiver 2030, mais reste en lice pour 2038

Publié le 29 novembre 2023 à 16:53. / Modifié le 30 novembre 2023 à 10:32.

Personne ne s’attendait à ça! Dans l’après-midi, des indiscrétions recueillies par le journal L’Equipe révélaient avant l’heure de la conférence de presse que le CIO, réuni à Paris pour étudier les candidatures à l’organisation des Jeux olympiques d’hiver en 2030 et 2034, avait fait son choix et qu’il était défavorable à la Suisse, confirmant une tendance dont Le Temps avait pris la mesure la veille. Et à l’heure dite, Karl Stoss, président de la commission chargée d’étudier les candidatures, annonça effectivement que les Alpes françaises pour 2030 et Salt Lake City pour 2034 avaient été seules choisies pour entamer un «dialogue ciblé» avec le CIO.

Et puis Karl Stoss a ajouté que le x de la candidature «Switzerland 203x» signifiait de la part des Suisses une vision sur le long terme et que le CIO voyait bien ce x devenir un 8 pour confier l’organisation des Jeux olympiques d’hiver à la Suisse en 2038, 90 ans après Saint-Moritz en 1948. Au contraire de Stockholm, qui repart une nouvelle fois bredouille, la Suisse n’a donc pas tout perdu. Personne ne s’attendait à cela, d’autant que la question de 2038 ne figurait pas au programme du jour, que l’on avait cru comprendre que les Jeux devaient à cette date retourner en Asie, et que ce même Karl Stoss a récemment expliqué que le CIO ne savait pas à quoi ressembleront des Jeux olympiques d’hiver dans quinze ans.

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Pourquoi les pays occidentaux ne veulent plus organiser les Jeux Olympiques

Six ans. C’est la durée pour le moins réduite qui sépare les deux prochains Jeux Olympiques et Paralympiques qui auront lieu en France. En 2024, les JO d’été se dérouleront à Paris, et en 2030, les Jeux d’hiver se passeront selon toutes vraisemblances dans les Alpes françaises. Avant que la candidature commune de l’Auvergne-Rhône-Alpes et de la Provence-Alpes-Côte d’Azur ne triomphe devant les dossiers suédois et suisses, la course à l’organisation des JO d’hiver 2030 a successivement vu les Pyrénées espagnoles, la ville japonaise de Sapporo ainsi que celle de Vancouver (Canada) abandonner leurs candidatures respectives. Des désistements en série qui s’expliquent notamment par la relative hostilité des populations à l’idée de voir l’olympisme débarquer près de chez eux. Depuis 1997, plus de deux tiers des référendums portant sur une potentielle candidature à l’organisation des Jeux ont vu le « non » l’emporter.

« Voilà deux décennies que nous voyons plus de candidatures avortées que de dossiers qui vont au bout du processus », observe Jean-Baptiste Guégan, spécialiste en géopolitique du sport. Et, tandis que les pays occidentaux sont de plus en plus nombreux à renoncer à candidater, les pays asiatiques comme la Chine (JO d’été 2008, JO d’hiver 2022), la Corée du Sud (JO d’hiver 2018), l’Inde (vraisemblablement candidate aux JO d’été 2036) et à l’avenir les pays du Golfe (Qatar, Arabie saoudite), pointent le bout de leurs nez. « Le sport est à l’avant-scène des relations internationales », en conclut Jean-Baptiste Guégan.

« On sait désormais que ces évènements profitent rarement aux populations locales »

Pourquoi une telle réticence des pays occidentaux ? Concernant les Jeux olympiques d’hiver, les possibilités se restreignent à mesure que le réchauffement climatique fait fondre la neige. Mais indépendamment de la saison, la question économique et sociale est au cœur du problème. « Le coût nécessaire à l’organisation d’un tel évènement mondial est devenu astronomique. Seules les vingt premières puissances mondiales, les régimes autoritaires et les pays qui portent un projet de développement par le sport sont désormais en capacité de financer un tel projet », explique Jean-Baptiste Guégan. « Dans les pays démocratiques, les populations voient la privatisation des bénéfices pour les partenaires de l’évènement, et la socialisation des coûts qui retombent sur les contribuables. L’argument de l’utilité sociale est également important : on considère parfois que l’argent pourrait être mieux utilisé », analyse Hugo Bourbillères, maître de conférences en Staps à l’université Rennes 2 et spécialiste de la question des impacts des évènements sportifs. Par ailleurs, nous disposons aujourd’hui de plus de recul sur l’impact réel de l’organisation des Jeux olympiques. « On sait désormais que ces évènements profitent rarement aux populations locales. Ils ne sont pas forcément des vecteurs de développement, ou en tout cas pas autant que ce qui est initialement promis », ajoute Hugo Bourbillères. « Il est difficile de chiffrer les retombées. En matière d’image et d’aménagement, elles sont difficiles à expliquer aux populations. Il y a une vraie complexité à justifier tous ces investissements », souligne Jean-Baptiste Guégan.

Pour autant, il est faux d’affirmer que les populations sont systématiquement opposées à l’organisation des Jeux olympiques sur leurs territoires. Les Jeux olympiques sont parfois victimes de leur pouvoir d’attraction, et de la politisation partisane de l’enjeu. « Pour la candidature des Alpes françaises aux JO d’hiver 2030, si un référendum avait été organisé, l’ensemble des opposants au gouvernement se seraient mobilisés pour faire triompher ce qui aurait été vu comme un non adressé à Macron, résume Jean-Baptiste Guégan. C’est un phénomène propre au référendum, qui cristallise le rejet du pouvoir en place ». Sans compter que ces évènements sportifs mondiaux sont souvent associés à la surveillance de masse, ou à la corruption.

« Un éminent acteur de la FIFA s’est félicité qu’avec le Qatar, il n’y a pas de problème d’opinion publique »

C’est pourquoi les instances du sport international s’entichent de pays autoritaires. « Un éminent acteur de la FIFA s’est déjà félicité qu’avec des États comme le Qatar, où a été organisée la Coupe du monde de football 2022, il n’y a pas de problème en matière d’opinion publique ou de sécurité », raconte Jean-Baptiste Guégan. Les démocraties doivent, elles, rendre des comptes. Ce qui pousse par ailleurs le Comité international olympique (CIO) à modifier son processus de sélection. « Il s’exonère désormais de la phase de candidatures multiples, pour contractualiser directement avec les villes. Cela permet d’éviter la controverse dans l’espace public, l’organisation de l’évènement étant acté », révèle Hugo Bourbillères.

Plus récemment, les évènements sportifs mondiaux ont été associés à des aberrations écologiques. Si la Coupe du monde de football au Qatar ou les Jeux olympiques d’hiver 2022, organisés à Pékin grâce à une neige 100 % artificielle, ont cristallisé les exaspérations, les autres éditions n’en doivent pas moins composer avec cette donnée cruciale. Si Emmanuel Macron a vanté des Jeux olympiques d’hiver 2030 « innovants, durables et inclusifs », grâce notamment au fait que 95 % des structures qui devraient être utilisées existent déjà, le collectif No JO lui rétorque dans sa pétition en ligne : « Continuer à miser sur l’industrie du ski et des grands événements est un mauvais calcul pour les générations futures. Cela revient à miser notre avenir sur des activités vouées à disparaître, au lieu de passer à un tourisme raisonné. »

A LIRE AUSSI : Mouvements anti-Paris 2024 : « Par essence, les Jeux olympiques ne sont pas démocratiques »

Comment le CIO peut-il améliorer l’acceptabilité de l’organisation des Jeux auprès des populations issues des pays démocratiques ? Il pousse désormais la notion d’héritage : l’accueil des Jeux permettrait à un territoire d’évoluer durablement. Un narratif politique qui n’est pas forcément qu’illusoire, d’après Jean-Baptiste Guégan : « On a déjà constaté qu’organiser les JO permettait plus d’inclusion et de féminisation des sports. Sur le plan des infrastructures, si cela peut par exemple permettre de prolonger une ligne de métro. Le CIO essaie également de réduire les coûts. Ce qu’il ne faut pas, c’est faire de fausses promesses, comme l’histoire des “JO populaires“ de Paris », affirme-t-il. « Cela rend par ailleurs possible une véritable cohésion nationale ».

Et Hugo Bourbillères de conclure : « Le CIO doit arrêter de considérer l’opinion publique uniquement comme une menace, à travers les risques de contestations et référendums. Un changement de paradigme est nécessaire, pour co-construire les futurs Jeux olympiques avec les populations locales. »

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Jeux olympiques : 350.000 billets vendus lors de la première journée de la nouvelle vente

Le Comité d’organisation des Jeux olympiques de Paris 2024 révèle que la vente de ce jeudi 30 novembre a été un succès. C’est pourquoi 50.000 billets de plus ont été injectés.

Ils sont partis comme des petits pains. Ce jeudi, 350.000 billets pour les Jeux olympiques de Paris 2024 ont été vendus, annonce le Comité d’organisation. C’est une grande majorité des 400.000 nouveaux tickets mis en vente. Parmi les billets les plus vendus : le football, l’athlétisme, le basketball, le rugby à VII et le volley-ball.

Paris 2024 : c’est quoi cette dérogation qui sera obligatoire pour circuler pendant les Jeux Olympiques ?

50.000 billets supplémentaires

« Devant cet engouement », le Cojo a ajouté 50.000 places de plus pour assister à ces Jeux parisiens. Au total, 450.000 billets auront été mis à la disposition des internautes lors de cette nouvelle session. 

Le Comité d’organisation glisse qu’il reste de « très belles opportunités » encore disponibles pour certaines épreuves à partir de 24 euros.

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Paris 2024 : 350 000 billets vendus pour cette première journée de nouvelle vente

Parmi les billets les plus vendus : le football, l’athlétisme, le basketball, le rugby à VII et le volley-ball.

Radio France

Publié le 30/11/2023 21:04

Temps de lecture : 1 min

350 000 billets ont été vendus pour cette première journée de nouvelle vente pour les Jeux olympiques de Paris 2024. (LOIC VENANCE / AFP)

350 000 billets pour les Jeux olympiques ont été vendus jeudi 30 novembre, annonce le Comité d’organisation des Jeux olympiques. Les nouvelles places étaient disponibles à partir de 10h ce jeudi.

En tout, 400 000 nouveaux billets avaient été mis en vente pour cette nouvelle journée. Parmi les billets les plus vendus : le football, l’athlétisme, le basketball, le rugby à VII et le volley-ball. « Devant cet engouement », le Cojo annonce mettre à la vente 50 000 billets supplémentaires. Autrement dit, 450 000 places auront été mis à la disposition des internautes pour cette nouvelle session de vente. Le comité détaille les « très belles opportunités » encore disponibles avec des épreuves à partir de 24 euros.

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Jeux Olympiques Paris 2024 | Déjà 350.000 billets supplémentaires vendus

Nouvelle phase, nouveau carton. Ce jeudi, Paris 2024 a mis en vente, à partir de 10h00, près de 400.000 billets pour les Jeux de la XXXIIIe olympiade qui se dérouleront dans la capitale du 26 juillet au 11 août prochains. Résultat des courses après moins de 24 heures : 350.000 tickets ont été écoulés. Beaucoup de réponses sont livrées par cet article présenté par lejournaldeleconomie.info qui parle du thème « Actualité économique ». L’écrit de départ a été rendu de la façon la plus honnête qui soit. Vous avez l’occasion d’écrire en utilisant les coordonnées présentées sur notre site web afin d’indiquer des détails sur cet article parlant du thème « Actualité économique ». lejournaldeleconomie.info est un agrégateur d’information qui présente de nombreuses actualités publiées sur le net dont le sujet central est « Actualité économique ». Consultez notre site lejournaldeleconomie.info et nos réseaux sociaux dans le but d’être informé des nouvelles communications.

Jeux olympiques et paralympiques d’hiver 2030 : les Alpes françaises seules en piste

Publié le 30/11/2023 17:20

Durée de la vidéo : 1 min

Les Alpes françaises sont seules en lice pour organiser les Jeux olympiques et paralympiques d'hiver de 2030. Le Comité olympique l'a annoncé mercredi 29 novembre. La sobriété écologique sera à l’honneur. -
Jeux olympiques et paralympiques d’hiver 2030 : les Alpes françaises seules en piste Les Alpes françaises sont seules en lice pour organiser les Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2030. Le Comité olympique l’a annoncé mercredi 29 novembre. La sobriété écologique sera à l’honneur. – (franceinfo)
Article rédigé par franceinfoJ. Klein, M. Boisseau, D. Brignand, F. Cerulli

France Télévisions

Les Alpes françaises sont seules en lice pour organiser les Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2030. Le Comité olympique l’a annoncé mercredi 29 novembre. La sobriété écologique sera à l’honneur.

Paris 2024 n’a pas encore commencé que voici déjà 2030 dans les Alpes. La France est désormais seule en lice et quasiment certaine d’organiser les JO d’hiver. La décision du Comité olympique, mercredi 29 novembre, confirme le succès de cette candidature express, officialisée il y a moins de six mois. Deux régions ont uni leurs forces : la région Provence-Alpes-Côte d’Azur et la région Auvergne-Rhône-Alpes.

Elles accueilleront les compétitions réparties en quatre pôles : du ski alpin en Savoie aux sports de glace à Nice (Alpes-Maritimes). À Isola 2000 (Alpes-Maritimes), lieu du ski cross, les locaux ont le sourire. « Nous sommes vraiment enchantés. On a hâte et on est impatients », se réjouit une femme. 95 % des sites existent déjà. Alors pour 2030, la priorité est donnée à la sobriété écologique. Le budget provisoire est entre 1,5 et 1,8 milliard d’euros.

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Jeux olympiques d’hiver 2030: écologie, budget… est-ce bien raisonnable d’organiser des jeux d’hiver six ans après Paris 2024?

L’attribution très probable des Jeux olympiques d’hiver 2030 aux Alpes françaises pose question, à quelques mois du début des JO d’été de Paris 2024. Un enchaînement qui inquiète d’un point de vue économique. L’autre enjeu est écologique, dans une perspective d’un réchauffement climatique global qui mettrait en péril l’eneigement des stations et donc la pratique des sports d’hiver.

A moins d’un an des Jeux olympiques d’été 2024 à Paris, la France s’ouvre déjà un autre futur olympique, celui de 2030 et ses Jeux d’hiver dans les Alpes françaises. Un enchaînement d’évènements olympiques qui peut interroger, autant sur l’aspect économique qu’écologique. Mais les pouvoirs publics tricolores se veulent rassurants.

Sur son compte Twitter, Emmanuel Macron a promis des « jeux innovants, durables et inclusifs ». Le projet français, bouclé en cinq mois par l’alliance des deux candidateurs des régions Auvergne-Rhône-Alpes et PACA, s’est imposé devant les candidatures suédoise et suisse grâce à un argument clé: 95% des structures qui seront utilisées par ces Jeux d’hiver 2030 existent déjà.

« Un budget d’un milliard payé par le CIO et la billetterie »

Il s’étend de Nice (patinage et village olympique) au Grand-Bornand (biathlon), distants de près de 500 km, avec notamment le ski alpin dans les stations de Courchevel-Méribel et de Val d’Isère et le ski de fond à La Clusaz. « On va faire l’inverse de Sotchi et Pekin, pour qui les Jeux leur ont couté entre 20 et 30 milliards d’euros. 95% des installations sont opérationnelles et prêtes, il faut revoir un peu bien entendu », admet Renaud Muselier, président de la région PACA au micro de BFMTV.

« On devrait être autour d’un budget d’un milliard ou un milliard et demi, qui devrait être payé par le CIO, la billetterie et le privé, qui est aussi intéressé par la démarche, assure le dirigeant, alors la menace d’un dépassement plane comme sur les JO 2024, où le budget a augmenté de 32% par rapport à celui formulé initiallement. On est également en train d’organiser des classes de neige. Ce qui est important pour nous, c’est d’organiser une desserte entre Marseille et Briançon, ce qui veut dire aménager nos territoires et les faire progresser. »

C’est cette question des transports qui reste la plus sensible: la majorité des sites enneigés des Alpes sont difficilement accessibles en transports en commun, si ce n’est impossible. La candidature française, qui doit encore répondre à un certain nombre de questions de la part du CIO avant la désignation officielle prévue avant les Jeux 2024, devra se pencher sur ses questions afin de conforter son dossier.

« Ne pas aggraver le problème du changement climatique »

La question des infrastructures de transport inquiète autant sur le plan économique qu’écologique. Dans une tribune signée par plus de 20 ONGs et une centaine d’athlètes, les signataires posent les conditions de Jeux d’hiver respectueux de l’environnement et de la montagne, parmi lesquelles de « rendre accessible au moins 80% des sites en train ou autres transports en commun ». Les 17 points rappellent aussi la fragilité du domaine skiable en France.

Selon le dernier rapport du GIEC, le réchauffement climatique devrait atteindre le point de non-retour d’une hausse de 1,5 degré d’ici… 2030. Avec la perspective d’un scénario à +4° d’ici 2100, qui provoquerait un risque « très élevé » de faible enneigement de 53% des stations des Alpes françaises. Une situation où la neige artificielle ne serait pas suffisante, en raison d’un manque d’eau pour la fabriquer et d’une température trop élevée pour la maintenir.

« Ce n’est pas parce que ces Jeux vont se dérouler dans des sites existants que ça en fera des jeux durables », défend Fabienne Grebert, présidente du groupe des Écologistes à la région Auvergne-Rhône-Alpes auprès de France Bleu. « En montagne, nous ne devons plus aggraver le problème (du changement climatique, NDLR) et ne devons plus augmenter la vulnérabilité des territoires et de leurs habitants », a réagi le collectif Résilience Montagne, qui exige un référendum national sur cette candidature.

Un eneigement qui pose toujours question

La ministre des Sports Amélie Oudéa-Castera assure elle pourtant que le projet français « ouvre des opportunités formidables (…) notamment pour l’avenir de nos montagnes, pour préparer son futur et préparer ses transformations notamment face au réchauffement climatique ».

La tribune signée notamment par Mathieu Crepel, double champion du monde de snowboard, et Marie Dorin-Habert, médaillée d’or olympique de biathlon, rappelle que « si les Jeux olympiques et paralympiques d’Hiver ont un effet de catalyseur et d’accélérateur de politiques publiques, les investissements financiers et matériels importants qu’ils nécessitent (rénovation d’infrastructures sportives, de réseaux de transports, de logements etc.) sont une opportunité de mettre en œuvre une véritable transition des territoires de montagne. »

Une transition qui doit « permettre d’assurer leur habitabilité à moyen et long terme » et « de faire évoluer l’industrie du tourisme d’hiver ». Ces questions de l’eneigement à l’horizon 2030 sont loin d’être résolues puisque les retenues d’eau collinaire qu’imposent la neige artificielle sont des « désastres écologiques » rappellent les militants et aggravent les inégalités d’accès à l’eau pour les habitants.

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Sécurité des Jeux olympiques et paralympiques 2024 : enjeux et défis

La sécurisation des JOP nécessite la mobilisation d’importants effectifs des forces de sécurité intérieure et de sécurité privée.

Dans un rapport sur l’organisation des Jeux olympiques publié le 11 janvier 2023, la Cour des comptes fait le point sur les défis qui restent à relever pour réussir leur organisation.

Elle met en avant que « la mise en œuvre des dispositifs de sécurité publique comme de sécurité sanitaire suppose la mobilisation en Île-de-France de moyens humains et matériels bien au-delà des capacités présentes dans cette région et même, s’agissant de la sécurité privée, au-delà des capacités présentes sur le territoire national. »
Elle note que les pouvoirs publics et l’organisateur ont pris la mesure du déficit capacitaire de la sécurité privée et que des actions visant à restaurer l’attractivité de cette branche professionnelle ont été mise en place. Elle invite à planifier les scénarios alternatifs substituant, pour partie, des forces de sécurité intérieure à la sécurité privée pour des missions incombant à l’organisateur.
La Cour préconise les mesures suivantes : 

  • assurer la montée en charge et le recours aux réserves opérationnelles de la police nationale, de la gendarmerie nationale et des armées ;
  • prévoir les conditions d’appel aux forces armées sur des missions qui doivent être strictement définies et planifiées.

Le 20 juillet 2023, la Cour des comptes a publié un rapport complémentaire sur l’organisation des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024.

Elle y confirme que le défi capacitaire des entreprises privées de sécurité reste à relever et qu’il faut anticiper un recours probable aux forces de sécurité intérieure et aux armées tout en préservant la capacité d’action des forces de sécurité intérieure pour faire face à leurs missions habituelles en période estivale.

La Cour explique pourquoi la capacité de la branche professionnelle privée de sécurité à répondre aux besoins liés à la tenue des JOP est plus que jamais en question. Les difficultés structurelles que connaît cette branche professionnelle ont été encore accrues par la crise sanitaire.

Le secteur privé de la sécurité, est composé d’un très grand nombre de petites entreprises, en 2019 :

  • 8 506 des 11 976 entreprises du secteur (soit 71% du total) ne comptaient aucun salarié ;
  • 2 335 entreprises (soit 19,5% du total) n’en comptaient qu’entre un et dix-neuf.

L’activité de la plupart des entreprises du secteur est en effet liée à l’événementiel, ce qui ne leur permet pas de disposer de la visibilité nécessaire pour croître et fidéliser leurs effectifs.
À ces facteurs structurels s’ajoutent les conséquences de la crise sanitaire sur l’événementiel, la diminution sans précédent du nombre d’événements a entraîné le départ d’un grand nombre de salariés ponctuels vers d’autres secteurs d’activité.
Selon le Centre national des activités privées de sécurité (CNAPS) le nombre de porteurs de carte professionnelle d’agent de sécurité est passé de 304 000 en 2021 à 280 000 (dont seulement 90 000 localisés en Île-de-France) en 2022.

Alors que la branche privée de la sécurité fait face à un important déficit d’attractivité, les besoins de sécurité sont plus conséquents par rapport aux précédentes éditions des JOP en raison de l’évolution du contexte sécuritaire.
L’évaluation des besoins du COJOP est de 17 000 agents de sécurité par jour en moyenne durant les Jeux (avec des pics pouvant atteindre 22 000 par jour). L’essentiel de ces besoins est concentré sur l’Île-de-France. 

Les services de l’État ont engagé un effort de grande ampleur pour attirer de nouveaux candidats vers le secteur privé de la sécurité. Des actions de communication ont été déployées à destination : 

  • des personnes disposant d’une carte professionnelle d’agent privé de sécurité ;
  • de celles dont la carte professionnelle expire prochainement ;
  • de 42 000 personnes inscrites dans des spécialités mobilisant des compétences valorisables pour exercer les métiers de la branche privée de la sécurité ;
  • de 24 000 demandeurs d’emploi au chômage depuis plus de deux ans. 

D’autres actions ont ciblé les étudiants et des publics en insertion (écoles de la deuxième chance, établissements pour l’insertion dans l’emploi), pour les orienter vers l’offre de formation et d’accompagnement proposée par Pôle emploi. Depuis mi-avril 2023, les personnes formées sont orientées prioritairement vers les entreprises retenues par le COJOP dans le cadre de ses appels d’offres.

Des aménagements réglementaires – en vue d’attirer 3 000 étudiants – ont été adoptés afin de prévoir des modalités de formation plus courtes, centrées sur l’événementiel

Le COJOP a lancé trois vagues d’appels d’offres pour sélectionner les prestataires privés de sécurité.
Selon les rapporteurs de la Cour des comptes : « Le risque que plusieurs appels d’offres du COJOP demeurent infructueux est réel et, à supposer même que l’ensemble des lots soient attribués par le COJOP, le risque d’une défaillance de certains prestataires ne peut être écarté. »
Ces derniers estiment : 

  • que rien ne permet d’assurer que les prestataires arriveront à recruter un niveau d’effectifs présentant les qualifications requises suffisant pour réaliser les prestations commandées
  • et que dans l’hypothèse où tous les personnels nécessaires seraient effectivement recrutés et fidélisés, le risque d’absentéisme est réel, ainsi que l’a montré l’exemple des Jeux du Commonwealth qui se sont tenus à Birmingham à l’été 2022 et lors duquel le taux d’absentéisme a atteint 20%.

Le COJOP a demandé à ses prestataires de prévoir un surcroît de ressources compris entre 10% et 30% afin de faire face aux défections de dernière minute.
La question de la faisabilité d’un tel niveau de recrutements dans le contexte que connaît actuellement la filière, reste toutefois entière.

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Paris 2024 : cherche agent de sécurité privée désespérément pour les Jeux olympiques

A quelques encablures de l’autoroute A4, dans l’une des zones d’activités de Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis), se nichent les bureaux de Nouvel R, une PME du secteur de la sécurité privée créée en 2004 et disposant depuis près de dix ans d’un centre de formation. L’ensemble a des airs de ruche dont on découvre les recoins en suivant Loïc Duval, qui en est le responsable développement et insertion depuis 2020. Il passe la majeure partie de son temps à recruter et à accueillir des apprentis agents : jeunes en quête d’insertion, chômeurs poussés par Pôle emploi à rejoindre ce secteur « en tension », vigiles souhaitant monter en grade en obtenant de nouveaux certificats…

« Je ne leur vends pas du rêve, je parle des avantages et inconvénients, des horaires à rallonge, du salaire bas. Mais ça reste un secteur où l’on peut entrer et évoluer quel que soit son âge, son diplôme, sa nationalité, son genre », raconte celui qui a commencé comme vigile dans un supermarché Lidl, il y a quinze ans. Ici, des hommes, en majorité, sont encadrés par un aréopage de formateurs venus du secteur privé, mais aussi des retraités de la police et de la gendarmerie qui dispensent leur savoir théorique et pratique en classe ou dans la concession automobile désaffectée dont dispose l’entreprise.

En cinq semaines minimum, les apprentis obtiennent – sous condition de validation après enquête administrative par le Conseil national des activités privées de sécurité (CNAPS) – le titre professionnel d’agent de prévention et de sécurité (cent soixante-quinze heures de formation), les différents échelons du service de sécurité incendie et d’assistance à personnes ou la certification permettant d’encadrer une équipe.

A la mi-décembre, Nouvel R proposera en sus la formation express de cent six heures imaginée par le CNAPS en 2022 pour disposer d’agents dits « grands événements », dotés d’une carte professionnelle temporaire. Autrement dit, du renfort, en urgence, pour les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024.

Mikaël, agent de sécurité à l’hôpital Georges-Pompidou, enseigne des notions liées au SSIAP (Service de sécurité incendie et d’assistance à personnes), à Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis), le 26 octobre 2023. Mikaël, agent de sécurité à l’hôpital Georges-Pompidou, enseigne des notions liées au SSIAP (Service de sécurité incendie et d’assistance à personnes), à Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis), le 26 octobre 2023.

Ces derniers mettent le secteur de la sécurité privée en ébullition. Depuis deux ans, l’Etat déploie des efforts importants pour que la filière ne souffre plus d’un déficit de main-d’œuvre chronique (quelque 20 000 agents manquent au quotidien, selon les représentants du secteur). Ce sont 46 millions d’euros qui ont ainsi été débloqués par l’Etat depuis 2022 dont 31 millions pour l’année 2021, notamment pour investir dans les formations, comme l’a rappelé le préfet de la région Ile-de-France, Marc Guillaume, fin septembre. L’objectif étant que la sécurité privée puisse être au rendez-vous de Paris 2024. Celle-ci doit fournir la moitié des 17 000 agents qui devront être disponibles chaque jour en moyenne. L’autre moitié étant gérée en direct par les gestionnaires de site partenaires du comité (tel que le stade Roland-Garros, par exemple).

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Jeux Olympiques: les archives de Septembre 2021

Jeux Paralympiques : La France a accueilli les deux athlètes afghansJeux Paralympiques : La France a accueilli les deux athlètes afghans

Jeux Paralympiques : La France a accueilli les deux athlètes afghans

Zakia Khudadadi et Hossain Rasouli ont pu participer aux Jeux de Tokyo, grâce à l’action de la France qui les a accueillis avant leurs épreuves… et après la compétition. Les deux athlètes ont pu quitter l’Agfhanistant, où les Talibans ont repris le pouvoir au mois d’août, 20 ans après avoir été chassés par l’intervention de l’armée américaine. Roxana Maracineanu, ministre déléguée aux Sports, a détaillé l’intervention de la France.

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