Les Jeux olympiques de Paris 2024 approchent à grands pas et j’ai la ferme intention de passer l’été devant le petit écran à admirer la crème de la crème des athlètes internationaux, en boulottant tout ce qui me tombe sous la main. Les Jeux olympiques sont, sans conteste, la plus grande manifestation sportive de la planète. Mais c’est également la somme d’exagérations, de bizarreries et de vanités qui gonflent à chaque nouvelle édition, chacune cherchant à taper plus fort que la précédente. À Rio en 2016, 28 sports étaient représentés.
À Tokyo, en 2020, c’était pas moins de 33 disciplines avec certaines épreuves pour le moins excentriques : BMX freestyle, skateboard, surf et même escalade ! Où s’arrêteront-ils ? Quant à la gymnastique rythmique, où les participantes se pavanent avec des rubans, ou le dressage, où les chevaux adoptent une drôle de démarche, peut-on vraiment parler de sport ? Je laisse ouverte la question. Pourtant, ces épreuves semblent être le summum de l’effort athlétique par rapport à certaines disciplines olympiques qui étaient franchement ridicules. Découvrez notre liste des prouesses un jour récompensées dans la catégorie “démence sportive”.
10. La natation synchronisée en solo
Déjà, la natation synchronisée est en soi une discipline étrange du programme des J.O. Pourquoi la danse dans l’eau a atteint le statut de sport olympique, comme le dressage (danse avec un cheval) ou le patinage artistique (danse sur glace), et pas la danse de salon ? C’est seulement à partir de l’édition 2024 que la compétition sera ouverte aux hommes ! L’objectif de la natation synchronisée, ou artistique, est qu’une équipe exécute une performance à l’unisson (avec une parfaite synchronisation, comme son nom l’indique). Et pourtant, une année pas faite comme une autre (1984 pour être exact), le comité international a décidé d’inclure la natation synchronisée en solo aux épreuves (je répète, en solo). La compétition en solitaire a été maintenue en 1988. Et en 1992. Et ne me lancez pas sur les pince-nez !
9. Le saut en longueur et le saut en hauteur à cheval
De manière générale, je ne suis pas un grand fan des disciplines équestres. Vous voulez savoir pourquoi ? Parce que c’est le cheval qui fournit tout le boulot et le cavalier qui reçoit les honneurs. On ne braque jamais les projecteurs sur les fidèles destriers (et je vous mets au défi de m’en citer le nom d’un seul). Mais j’admets que certaines épreuves peuvent exercer une forme de fascination. En revanche, je reste sceptique concernant les sauts en longueur et en hauteur à cheval. Je suppose qu’on aurait pu poursuivre cette logique et imaginer un saut à la perche à cheval (uniquement réservé aux étalons). Ces épreuves de saut ont été cantonnées aux Jeux olympiques de Paris en 1900, mais gardez bien à l’esprit que certaines épreuves ont disparu pour un jour mieux revenir.
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