Paris 2024 : « On ne veut pas imaginer des Jeux olympiques et paralympiques sans les Ukrainiens », assure Amélie Oudéa-Castéra

A un an de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, Amélie Oudéa-Castéra, la ministre des sports et des Jeux olympiques et paralympiques était l’invitée d’un tchat au Monde.fr. Voici l’essentiel de ses réponses aux questions des internautes, classées par grandes thématiques, l’intégralité des échanges étant à lire ici.

La présence d’athlètes ukrainiens, russes, biélorusses

La position de la France, elle est en trois temps : le premier point, c’est de condamner le plus fermement du monde cette guerre d’agression menée par la Russie. Le deuxième, c’est un soutien inconditionnel à l’Ukraine. Le troisième, c’est qu’on a signé la Charte des Nations unies qui pose la non-discrimination des personnes en fonction de leur passeport.

Nous nous devons de le mettre à l’étude le plus sérieusement possible pour les JO et les Jeux paralympiques pour regarder si un régime de neutralité peut être respecté pour que des athlètes russes et biélorusses puissent participer en leur nom propre, sans lien avec des hymnes, sans drapeau. Sous réserve qu’ils n’aient pas soutenu la guerre, qu’ils n’aient pas soutenu l’armée.

Nous avons demandé au Comité international olympique (CIO) de nous sécuriser sur l’implémentation de ces conditions, conditions que le CIO a réaffirmées.

Nous aurons dans les semaines et les mois qui viennent une décision qui sera prise souverainement par le CIO et le Comité international paralympique (IPC). L’IPC se prononcera en septembre.

Dans cette attente, un certain nombre de Russes et Biélorusses sont autorisés à participer à des épreuves qualificatives. Ça se passe, dans un certain nombre de sports, c’est le cas, comme dans le tennis à Wimbledon. World Athletics ou l’équitation ont exclu ces athlètes.

Nous, on veut que le CIO, quand il va prendre sa décision, puisse nous apporter les garanties quant à l’application de ce régime de stricte neutralité.

On est très attentifs à la continuité du dialogue avec la délégation ukrainienne. J’ai des discussions régulières avec mon homologue ukrainien et nous avons proposé une aide, l’équivalent d’un million d’euros, pour accueillir la délégation olympique et paralympique ukrainienne.

C’est ce vivre-ensemble que le sport permet, parce que le sport est cet espace de rapprochement entre les peuples, pour reprendre les mots du président de la République. Je fais en sorte que ce dialogue continue et on ne veut pas imaginer des Jeux olympiques et paralympiques sans les Ukrainiens. Ils sont au cœur de cette aventure et on veut que le drapeau bleu et jaune puisse briller à Paris 2024.

La billetterie

A man walks past the Olympic rings in front of the Paris City Hall one year until the Paris 2024 Olympic Games opening ceremony, Wednesday, July 26, 2023. (AP Photo/Christophe Ena) A man walks past the Olympic rings in front of the Paris City Hall one year until the Paris 2024 Olympic Games opening ceremony, Wednesday, July 26, 2023. (AP Photo/Christophe Ena)

Le COJO, à partir d’aujourd’hui, remet en circulation sur son site un certain nombre de billets et va continuer à alimenter de manière continue la plate-forme. Ils ont aujourd’hui engagé cette dynamique, sachant que, ces derniers jours, il y avait une disponibilité de billets pour le football, la voile (à 24 euros), le handball (45 euros) et le basket (50 euros). De manière continue, il y a un petit peu moins de trois millions de places disponibles.

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On aura ensuite au printemps de 2024 l’ouverture de la plate-forme de revente qui permettra d’opérer un « matching » entre l’offre et la revente pour les billets déjà achetés.

On entre maintenant dans une nouvelle phase, et c’est de manière continue, sans tirage au sort, que vont être proposées et écoulées les places. C’est une belle symbolique à un an des Jeux.

Le COJO fera une communication régulière. La stratégie tarifaire ne change pas. Ce qu’on voit, ce sont des nouvelles poches de ces places prévues à ces prix-là qui sont [mises en vente]. Il reste pour le grand public un peu moins de trois millions de places, jusqu’à écoulement.

Le contexte social

Sur les violences urbaines, je salue le retour à l’ordre républicain et on envoie ce message d’attachement à cet ordre républicain. Je relève que d’autres pays que nous ont connu de telles difficultés, comme aux Etats-Unis ou à Londres.

Nous sommes au travail avec le ministère de l’intérieur sur différentes dimensions, notamment avec la mobilisation exceptionnelle de forces de sécurité intérieure, avec 30 000 (…) policiers et gendarmes mobilisés au quotidien, 45 000 le jour de la cérémonie d’ouverture. Nous faisons attention aussi qu’il y ait un recrutement en nombre suffisant d’agents de sécurité [du secteur] privé et qu’ils soient bien formés.

A ceci s’ajoutent des opérations de prévention de la délinquance – déjà 2 000 ont été réalisées sous l’égide de Gérald Darmanin. J’ai pu relayer que Sébastien Lecornu s’est engagé à ce qu’il y ait 10 000 [hommes de l’opération] « Sentinelle » qui patrouillent sur le territoire. L’armée concourra à la sécurité de la cérémonie d’ouverture, puis on aura cet échange pour savoir comment l’armée peut aider en complément.

S’agissant du dialogue social, c’est important en différents endroits. Nous sommes mobilisés à la demande de la première ministre pour mettre en place des plans de maintien de l’activité, pour avoir de bonnes conditions de travail en vue des Jeux, une bonne gestion des congés, des pics d’effort qui leur seront demandés et des dispositifs qui incluront par exemple des dispositifs de garde d’enfants.

Ce dialogue social va s’intensifier. La première ministre rencontrera probablement en octobre le comité de la charge sociale qui est aujourd’hui copiloté par Bernard Thibault et Dominique Carlac’h et des représentants des syndicats, des salariés et des employeurs.

L’impact écologique

On a pris des engagements écologiques très forts et inédits pour ces Jeux : celui de réduire par deux notre impact carbone. Nous sommes aujourd’hui complètement dans les clous de cet engagement.

On a réduit l’impact carbone des constructions de deux façons : en en construisant moins, avec 95 % d’équipements déjà existants ou éphémères ; et, [pour les bâtiments qu’il nous fallait] construire, on a réduit par un peu plus de deux l’impact carbone (…). Le village olympique et paralympique représente 47 % des émissions traditionnelles, grâce notamment à une attention portée à la préservation de la biodiversité.

Cela s’exprime dans l’expérience des spectateurs par la non-utilisation du plastique à usage unique. On a également un concept d’alimentation durable, avec 95 % des produits présents dans l’assiette venant de France, et même une grande proportion venant d’Ile-de-France. 100 % seront certifiés avec les bons labels et les bons éléments d’origine autour de cette alimentation.

On est dans les clous aujourd’hui. Ça reste tout de même un impact carbone, donc le COJO a prévu dans ses budgets plusieurs millions d’euros pour investir dans des projets à impact carbone positif, en France et à l’[étranger]. Les Français seront fiers du respect de nos engagements écologiques.

L’état de préparation des transports

Logements en contruction dédiés aux prochains Jeux Olympiques. Mail Ada Lovelace. Saint-Denis. Vendredi 07 Juillet 2023. Logements en contruction dédiés aux prochains Jeux Olympiques. Mail Ada Lovelace. Saint-Denis. Vendredi 07 Juillet 2023.

Je veux vraiment être rassurante, parce qu’il y a un travail collaboratif avec le ministre des transports, Clément Beaune, avec IDFM, Paris 2024 et l’ensemble des parties prenantes sur les composantes de la mobilité. On a une bonne gouvernance pour ça qui est ce comité des mobilités que Clément Beaune réunit toutes les six semaines et on agit sur toutes les dimensions.

Sous la houlette de Jean Castex, patron de la RATP, on aura au printemps 2024 le déploiement des compléments de ligne de la 14. Au nord, on aura le prolongement jusqu’à Saint-Denis-Pleyel, et au sud jusqu’à Orly. Cet axe sera la desserte majeure de nos Jeux olympiques et paralympiques.

Le deuxième renfort sera au niveau du RER, avec le projet Eole, dont les travaux avancent bien sur le segment Haussman-Saint-Lazare jusqu’à Nanterre. Autre exemple, le tramway dans Paris avec le T3 qui va rallier la porte d’Asnières à la porte Dauphine.

On met aussi en place toute une offre de navettes pour les personnes à mobilité réduite, [avec notamment] un renfort de taxis (…). Ces mille taxis resteront en héritage.

Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Paris 2024 : comment les transports d’Ile-de-France se préparent

On est en train de muscler ces infrastructures. On a bâti avec IDFM des plans de transport pour regarder la desserte des différents sites de compétition. Il y a des zones de tension quand on regarde, avec le secteur ouest notamment, avec le cumul d’épreuves à Roland-Garros, la boxe, le secteur Jean-Bouin et celui du Parc des Princes. On est dans cette logique dans une volonté de renfort d’offres. On aura en moyenne pendant les JO + 15 % d’offre.

Il y a aussi le Travel Demand Management, la gestion dynamique des flux de transport. Les premiers recrutements ont déjà été faits, c’est une équipe très importante qui va donner de l’information en réactif et en proactif aux usagers, aux riverains, aux conducteurs pour optimiser la gestion du trafic.

On va gérer les transports avec l’ensemble des opérateurs, notamment digitaux, de Bonjour RATP à Waze, pour donner cette information en temps réel, pour gérer les pics et éviter les congestions. C’est un exercice capital sur lequel on est extrêmement à la tâche avec Clément Beaune.

A la rentrée scolaire de 2024, qui va coïncider avec la cérémonie d’ouverture, on aura quelques jours de pic, avec quelques difficultés de circulation, notamment au niveau de la Concorde. On veut inciter les travailleurs à faire du télétravail. Avoir ce petit pragmatisme pour lisser les flux.

Le cinquième point, qui est capital, c’est qu’il n’y a pas que les transports en commun et les taxis qui seront à disposition des utilisateurs. Mais aussi les vélos, avec 415 kilomètres de piste cyclable disponibles pour rejoindre tous les sites. On veut travailler sur les stationnements vélo, sur l’offre additionnelle, et avec les collectivités pour inciter les particuliers à utiliser le vélo.

L’impact sur la rentrée scolaire

La rentrée scolaire de 2024, le 2 septembre 2024, va coïncider avec les Jeux paralympiques, dont la cérémonie d’ouverture aura lieu le mercredi 28 août. On sait qu’on va avoir quelques jours lors desquels il y aura quelques difficultés de circulation autour de la place de la Concorde où aura lieu la cérémonie. La rentrée scolaire ne bouge pas, mais on veut avoir un petit pragmatisme qui permettra de lisser les flux. On veut inciter les acteurs économiques et les particuliers à faire un petit peu de télétravail et donner un petit peu de flexibilité aux familles, aux parents d’élèves, à la communauté éducative, sur certains établissements scolaires qui seraient particulièrement impactés dans ces zones-là, de manière très ponctuelle. Pas du tout de manière généralisée.

La prise en compte du handicap

D’évidence, c’est un sujet où historiquement notre pays n’a pas été au rendez-vous de cette exigence d’accessibilité. Dans le métro parisien, il y a un problème historique et on ne pourra pas, à l’occasion de ces Jeux, rattraper ce retard.

En revanche, partout où nous le pouvons, on le rattrape : sur la ligne 14, sur nos lignes de RER, dans nos bus, dans nos taxis. On le rattrape de multiples manières aussi avec la sonorisation et les éléments de repérage visuels sur lesquels nous travaillons pour ces Jeux de manière que les parcours voyageurs répondent aux exigences d’accessibilité universelle.

On travaille aussi sur les fonds territoriaux d’accessibilité qui permettront d’accompagner des petits commerces, des cafés, des restaurants dans les territoires et on va faire en sorte d’activer rapidement ces fonds pour qu’il y ait une amélioration visible dans l’ensemble de ces lieux.

Nous travaillons avec les associations de défense du handicap pour que même dans les cheminements entre les gares et les sites de compétition et à l’intérieur de ces sites, tout soit fait pour faciliter la circulation en fauteuil roulant. Et aussi pour les accompagnateurs avec des places qui leur seront réservées.

Au cœur de la billetterie populaire de l’Etat, on n’oublie pas les personnes en situation de handicap puisque plus de 17 000 de ces personnes, ou leurs aidants, recevront une invitation à venir à ces Jeux.

Pour nous, ces Jeux paralympiques vont être une occasion exceptionnelle non seulement de modifier le regard porté sur le handicap dans le sport, mais partout ailleurs aussi. Etre dans le développement des clubs inclusifs pour que ces personnes en situation de handicap soient bien accueillies, mais aussi que dans l’ensemble de la société, ce regard évolue.

L’après Jeux

Pedestrians walk past a board displaying the countdown to the start of the Paris 2024 Olympic Games in front of the Eiffel Tower in Paris, on July 26, 2023. On July 26, 2023, the Paris 2024 Olympic games officially enter the last year before the opening ceremony on the Seine river. (Photo by Alain JOCARD / AFP) Pedestrians walk past a board displaying the countdown to the start of the Paris 2024 Olympic Games in front of the Eiffel Tower in Paris, on July 26, 2023. On July 26, 2023, the Paris 2024 Olympic games officially enter the last year before the opening ceremony on the Seine river. (Photo by Alain JOCARD / AFP)

Cette dimension de l’après est fondamentale. Il y a un héritage matériel avec notamment deux grands écoquartiers en Seine-Saint-Denis sur le site du village des athlètes et le site du village des médias, avec 40 % de logements sociaux.

Un autre grand chantier, la baignabilité de la Seine et de la Marne, qui sera une réalité pour les Franciliens à partir de 2025, avec des sites spécifiques, près d’une trentaine, ouverts pour la baignade. Plusieurs grands hommes politiques en ont rêvé. Dans quelque temps, on va réussir ce chantier dans lequel l’Etat a investi pas moins de 700 millions d’euros. Il y aura aussi des aménagements, avec des équipements sportifs notamment.

Ensuite, il y a une deuxième dimension dans l’héritage, c’est le côté nation sportive, et on travaille sur le fait de développer le sport à l’école, avec les deux heures de sport en plus pour les collégiens, qu’on veut faire monter en puissance à la rentrée, en s’appuyant sur les professeurs d’EPS qui voudront avancer avec nous dans cette direction.

Mais aussi, le sport santé avec un plan de développement des équipements sportifs, et une nouvelle tranche de 100 millions d’euros d’investissement qui prendra le relais du plan de 5 000 équipements de proximité.

Au global, plus qu’une nation de grands sportifs, on veut devenir une nation sportive. Les résultats m’encouragent. On a plus de trois millions de nouveaux pratiquants depuis 2018 et on veut continuer dans cette direction. Les Jeux seront des grands Jeux si on laisse cet héritage sportif et sociétal aux Français.

Le déplacement des sans-abri hors de Paris

Ce qu’on veut, c’est que ces Jeux soient les Jeux de tous les Français et de tous les territoires. Sur l’hébergement d’urgence, notre pays est confronté à une difficulté qui est là, liée à une concentration sur peu de zones du territoire, dont l’Île-de-France, qui fait que la demande excède les capacités. Les capacités n’ont jamais été aussi fortes qu’aujourd’hui, mais on a besoin d’arriver à bien organiser un accueil temporaire, en régions, des personnes qui sont demandeuses d’hébergement d’urgence.

Pour que cet accueil puisse se faire le mieux possible, que cette situation qu’ils vivent puisse être réglée de la manière la plus humaine possible, dans des délais restreints. Cette question n’est pas liée aux Jeux olympiques et paralympiques, elle doit être liée à la déconcentration de l’Île-de-France et l’accompagnement de ces personnes.

La mise à disposition de logements étudiants

Sur le sujet des étudiants, je voudrais vraiment rassurer. Traditionnellement, d’une année sur l’autre, on a à peu près 30 % des logements étudiants qui sont libérés spontanément. On a juste besoin pendant les JO de récupérer 15 % de ces logements. Il n’y a aucune pression supplémentaire, au contraire, on a besoin de moins de logements que ce qui est naturellement remis sur le marché.

On a pris des engagements très forts pour qu’il n’y ait aucun étudiant sans solution. Les étudiants qui pourraient être concernés par une mise à disposition de leur résidence se verront proposer un relogement dans une autre résidence. Soit ils doivent remettre leur logement et se verront proposer une autre solution, soit ils l’ont remis à disposition et ils seront assurés d’avoir à la rentrée scolaire une solution de relogement. Ce qui nous permet de dire qu’aucun étudiant ne sera pénalisé par l’accueil des Jeux.

L’objectif de médailles

The Olympic torch is pictured during the IOC invitation ceremony, exactly one year before the 2024 Olympics, Wednesday, July 26, 2023 in Saint-Denis, outside Paris. The torch that will be used to carry the Olympic flame around France and on its final leg at the opening ceremony of the 2024 Paris Games next July is a sleek silver-colored cylinder of recycled steel that is gracefully tapered at both ends and is being made in limited numbers to save resources. (AP Photo/Aurelien Morissard) The Olympic torch is pictured during the IOC invitation ceremony, exactly one year before the 2024 Olympics, Wednesday, July 26, 2023 in Saint-Denis, outside Paris. The torch that will be used to carry the Olympic flame around France and on its final leg at the opening ceremony of the 2024 Paris Games next July is a sleek silver-colored cylinder of recycled steel that is gracefully tapered at both ends and is being made in limited numbers to save resources. (AP Photo/Aurelien Morissard)

Notre objectif est d’être dans le top 5 des pays les plus médaillés. On veut l’être durablement et dès les JO de Paris 2024. Est-ce que c’est faisable ? La réponse est oui. On l’a fait à Atlanta en 1996 et par deux fois aux Jeux paralympiques.

Les disciplines sportives les plus pourvoyeuses de médailles seront sans doute le judo, le cyclisme, la natation.

Mais avec Claude Onesta et l’Agence nationale du sport, on a repéré un potentiel de 107 médailles à travers les différentes disciplines, avec un taux de conversion de 50 %, c’est-à-dire la capacité à transformer des médailles mondiales en olympiques, ce qui permet de savoir à peu près où se situer.

On suit de manière prioritaire un peu moins de 520 athlètes qui vont pouvoir être vraiment au top de leur forme pour ces Jeux olympiques et paralympiques. On va devoir battre notre record de médailles pour être dans ce top 5. Quand on regarde la performance française, nos grandes étoiles, de Léon Marchand à Clarisse Agbégnénou, il n’y a pas de raison qu’on n’y croie pas et bien au contraire.

On n’a pas suffisamment bien performé pendant les Mondiaux paralympiques à Charléty, on a été la 58e nation. Mais on a pu voir de grands athlètes performer. On a des grands athlètes qui ont remporté des médailles, qui prennent confiance. On sera au rendez-vous et on aidera au maximum nos athlètes.

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