JO Paris 2024 : comment obtenir son QR Code pour circuler à Paris pendant les jeux

À partir de ce lundi 13 mai, demandez votre pass jeux, un QR Code, sur une plate-forme en ligne, pour circuler dans Paris lors de la cérémonie d’ouverture et près des sites olympiques franciliens. Qui est concerné ? Où et quand va-t-il être indispensable ? Mode d’emploi.

Pour obtenir ce QR code, « ce pass jeux », il faudra d’abord s’inscrire sur ce site dédié qui vient d’ouvrir lundi 13 mai, et remplir un formulaire : nom, prénom, justificatifs de domicile. 

Une fois le formulaire rempli, les demandeurs du QR Code seront soumis à une enquête administrative avant la livraison de leur passe. Les personnes n’ayant pas accès à Internet devront solliciter les mairies de leur arrondissement.

Seuls les spectateurs munis de billets « ne seront pas concernés par ces enquêtes », a souligné le préfet de police Laurent Nuñez. 

Le 26 juillet à partir de 13 heures, le spectacle de la cérémonie d’ouverture suivra le cours du fleuve, sur 6 kilomètres, depuis le pont d’Austerlitz jusqu’au pont d’Iéna, le grand final ayant lieu au Trocadéro.

Pour l’événement, la préfecture de police de Paris va instaurer huit jours avant le 26 juillet, deux périmètres de sécurisation aux abords de la Seine. Un de couleur grise, le plus restrictif aux abords immédiats du fleuve et un autre de couleur rouge, plus large.

Au plus proche du lieu de la cérémonie, dans le périmètre gris qui englobe la première rangée d’immeubles qui donne sur la Seine, les résidents et leurs invités, les propriétaires de péniches, toutes les personnes qui se déplacent à pied ou à vélo qui pénétreront cette zone devront avoir sur eux le fameux QR code. Les personnes qui travaillent dans ce secteur sont aussi concernées : les commerçants, les livreurs…

Durant huit jours, jusqu’au 26 juillet, le périmètre gris de protection antiterroriste, le plus surveillé par les autorités, sera activé en continu. Pas d’entrée de piétons, ni de cyclistes sans QR code.

Dans la zone rouge plus large, il n’y aura pas besoin de s’inscrire sur une plateforme pour pénétrer à pied ou à vélo dans ce périmètre. 

Quant aux véhicules dans ces deux périmètres, ils y seront interdits sauf pour de rares dérogations. « L’accès à ce périmètre en véhicule ne sera pas soumis à l’obtention préalable d’un laissez-passer numérique, mais sera conditionné à la présentation de justificatifs aux points de contrôle tenus par les forces de sécurité« , prévient la préfecture. Les coffres seront ouverts et les contrôles seront « très poussés ».

Les piétons et les cyclistes devront être munis du laissez-passer numérique sauf les spectateurs de la cérémonie ayant un billet pour y assister.

Mais concernant les véhicules, l’accès à la circulation sera encore plus restrictif et sous haute surveillance. 

À partir de 13h 00 le 26 juillet la plupart des dérogations « ne seront plus valables », a dit Laurent Nuñez, le préfet de police de Paris. Seuls les forces de sécurité et les secours pourront accéder à ces zones. Les véhicules d’organisation, les voitures des dignitaires et les véhicules d’urgence pourront également pénétrer dans les périmètres de restriction de la circulation.

Selon la préfecture, le critère de l’urgence ne dispense pas de la présentation du laissez-passer numérique pour l’accès au périmètre gris. »Les intervenants en situation d’urgence n’ayant pu s’acquitter de l’inscription préalable sur la plateforme pourront, pour de rares exceptions, accéder au périmètre sur décision des forces de l’ordre et en étant escortés », annoncent les autorités.

La préfecture publie sur son site un tableau des catégories d’usagers autorisés à accéder en véhicule dans la zone grise. Cela concerne les véhicules de secours comme les ambulances, le Samu… Ou encore des transports de matières dangereuses « sur autorisation programmée ». Les véhicules destinés à ramasser les ordures seront autorisés, mais sur « mission programmée« .

Plus on se rapprochera d’un site où se déroule une épreuve olympique, plus ce sera restrictif pour le piéton ou le véhicule. En Île-de-France, les Jeux olympiques et paralympiques sont organisés sur 25 sites de compétitions, 13 dans Paris et 12 hors de la capitale, du 26 juillet au 11 août et du 28 août au 8 septembre.

Un périmètre de sécurité sera instauré sur chacun de ces sites au moment des épreuves selon des codes couleurs. Gris, noir, rouge et bleu. Sur le site de la préfecture de police de Paris, tous les périmètres et leur niveau de sécurisation sont détaillés à Paris et dans la petite couronne. 

Par exemple, la carte ci-dessous, dans le périmètre du château de Versailles où se dérouleront les épreuves d’équitation, explique les différents niveaux de sécurisation.

L’accès en zone bleue sera ouvert aux piétons ou aux cyclistes. Un justificatif sera nécessaire. En revanche, l’accès sera réglementé pour les véhicules. La zone bleue sera interdite au trafic de transit : seuls les riverains et les professionnels munis de justificatifs pourront y circuler. 

Pour accéder en zone rouge, il faudra être munie d’un QR code. La circulation des voitures sera interdite sauf dérogations. « Pour les personnes autorisées, l’accès à ce périmètre nécessitera un laissez-passer dématérialisé », précise la préfecture.

Dans la zone grisée et noire où se produit la compétition, seuls les spectateurs munis de billets et les personnes ayant été accréditées par le COJOP pourront accéder.

Pour vous déplacer pendant toute la période des Jeux olympiques et paralympiques, de mi-juillet à début septembre, dans Paris et toute l’Ile-de-France, Franceinfo vous propose une aide d’une carte interactive. Rentrez votre adresse de résidence et découvrez dans quel périmètre vous vous situez.

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En quoi les Jeux Olympiques de Paris 2024 ont un héritage sur la fabrication « Made In France »

Il est beaucoup question d’Héritage avec ces Jeux de Paris 2024 : infrastructures sportives et urbaines, accessibilité, empreinte carbone, baignabilité … Peut-être moins perceptible, il y aura également un héritage économique et industriel, notamment dans la fabrication en France.

La question du jour

En quoi les Jeux Olympiques de Paris 2024 ont un héritage sur la fabrication « Made In France » ?

La réponse de France Bleu Paris

Pour nous répondre, Nicolas Vix, gérant fondateur de l’entreprise Weeplay, un des licenciés officiels pour le textile des Jeux de Paris 2024.

Nicolas Vix nous explique pourquoi son entreprise fabrique en France des produits sous licence Paris 2024 : “C’est un engagement pris lors de la négociation du contrat avec le Comité Olympique, avec un pourcentage que nous devons fabriquer en France, ce qui nous a contraint à accélérer sur le Made In France.

Au-delà des contraintes, c’est donc surtout un accélérateur. Nicolas Vix nous confie son sentiment : “Il y a un héritage qui va évidemment rester. A la fois dans le Made in France, mais aussi dans l’utilisation des cotons bio dans nos productions, dans l’utilisation des polyester recyclés. Tout d’un coup [avec les Jeux] il y a un projet et un volume qui permet de structurer une production sur des éléments RSE qui étaient dans l’air du temps et qu’on faisait jusqu’à présent, mais de façon un peu plus artisanale. Là maintenant c’est vraiment ancré dans notre manière de faire, et ça restera après les Jeux, c’est une évidence.**”

Le Made in France c’est bien, mais existe-t-il une clientèle prête à payer plus cher ? Nicolas Vix se veut confiant : “Il y a une clientèle. Elle n’est pas toujours facile à trouver, mais les productions Made in France qu’on a commencé à faire se vendent, notamment pour des licences comme Roland Garros ou PSG. Pour Paris 2024 on va voir si les produits se vendent, mais nous ne sommes pas trop inquiets, ils trouveront leurs publics sans problème.

Il reste toutefois encore beaucoup à faire, la fabrication en France ne concerne aujourd’hui qu’une toute petite partie de la production. Nicolas Vix nous précises qu’“il y a deux raisons à cela. La première c’est que le prix des produits. Le Made in France est beaucoup plus élevé que celui des Made in China, ou Made in Turquie, ou Made in Portugal. Pour vous donner un ordre d’idée, aujourd’hui un tee-shirt Paris 2024 est vendu en moyenne dans nos réseaux entre 20 et 25€, le même tee-shirt fabriqué en France va être vendu 45€.

Une réalité économique donc, et aussi une réalité industrielle. La deuxième raison est en effet une question de capacité. Pour les Jeux de Paris 2024, plus de deux millions de pièces sont mises sur le marché. La capacité de la production française en textile ne permet pas aujourd’hui de réaliser cette production en France. Les engagements pris pour Paris 2024 permettent toutefois d’accélérer la transition, un héritage qu’il ne restera plus qu’à concrétiser et pérenniser dans les années et décennies à venir.

Pour en savoir plus sur Weeplay et sa production Made In France, cliquez ici.

France Bleu Paris 2024 : le JO de Paris 2024 se vivent déjà sur France Bleu Paris

#FranceBleuParis2024

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« Ça nous fait rayonner au-delà des frontières » : ces entreprises, même loin de Paris, ont travaillé pour les Jeux olympiques

Mobilier urbain, équipement pour traiter les eaux usées… Plus d’une vingtaine d’entreprises d’Occitanie ont décroché des contrats dans le cadre d’appel d’offres pour les JO 2024. À deux mois du coup d’envoi de la compétition, deux d’entre elles dressent un premier bilan.

Créé spécialement pour accueillir les athlètes du monde entier, un village olympique est sorti de terre aux portes de Paris. Une petite ville construite en un temps record.

Parmi celles et ceux qui l’ont rendu possible, une entreprise de Fabrègues, une commune d’un peu plus de 7 000 habitants située à quelques kilomètres de Montpellier dans l’est de l’Hérault.

Sa mission : développer un mobilier urbain “innovant et inclusif”. En bois, en acier ou en béton recyclé, Arnaud Avezou, le directeur de la division mobilier urbain d’Agora, et son équipe ont imaginé « des modules droits, des modules en escalier pour pouvoir se positionner à différentes hauteurs, selon les usages. »

Pour l’entreprise, c’est un projet à 600 000 euros, sur deux ans, commandé tout spécialement pour les jeux. Et un coup de projecteur non négligeable : « Ça nous amène une notoriété, tant en France qu’à l’international d’avoir travaillé sur un projet d’une telle ampleur. Ça nous fait rayonner au-delà des frontières. » Le mobilier est installé depuis la fin du mois de février. Il restera sur place définitivement.

Avec 2 800 logements, le village olympique est un chantier colossal. Et une opportunité pour cette autre entreprise à côté de Montpellier. Elle est spécialisée dans le recyclage des eaux usées. « La machine du village des athlètes va servir à recycler les eaux usées et à restituer dans les étages du bâtiment une eau potable destinée à la douche et aux machines à laver », détaille Guilhem Molles, le directeur technique de Nereus.

L’entreprise a décroché un deuxième contrat. Avec une autre machine qui pompera l’eau des égouts pour irriguer la végétation. Au total, c’est un contrat de 500 000 euros pour l’entreprise et beaucoup de motivation pour ses salariés. « Tout le monde a pris beaucoup de plaisir à travailler sur un projet comme celui des Jeux olympiques par l’ampleur qu’il a et par la notoriété du projet, reconnaît Guilhem Molles. Et le sport, ça parle à tout le monde. »

Une fierté et une belle visibilité pour ces sociétés d’Occitanie qui espèrent bien rebondir et gagner d’autres marchés grâce aux Jeux olympiques.

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Sommet Choose France : les ors de Versailles pour attirer les investisseurs étrangers

À deux mois des Jeux olympiques qui offriront à Paris et au pays le devant de la scène internationale, la France cherche encore et toujours à attirer la lumière. Le gouvernement l’a promis : cette septième édition du sommet Choose France avec 180 grands investisseurs étrangers et français, à Versailles lundi 13 mai, sera l’occasion d’annoncer « de très grands projets », une confirmation à ses yeux du titre de « championne européenne des investissements étrangers » détenu par la France pour la cinquième année consécutive, d’après le baromètre EY publié le 2 mai.

Emmanuel Macron se rendra lundi matin sur le site de McCain à Matougues, dans la Marne. Le groupe qui produit des frites devrait annoncer un investissement important. Mais globalement, le « record » de Choose France promis cette année devrait concerner le nombre de projets, pas forcément le montant des enveloppes qui y seront associées. L’an dernier, 28 projets avaient été dévoilés, pour 13 milliards d’euros au total.

Intelligence artificielle et informatique quantique

Parmi les annonces, les secteurs de l’intelligence artificielle et de l’informatique quantique devraient peser pour environ 3 milliards d’euros, d’après le journal Les Échos. Le plus gros devrait venir d’Amazon, qui voudrait installer sur notre sol un centre de données pour sa filiale de stockage de données AWS ainsi qu’un entrepôt pour son activité de commerce en ligne, le tout pour un chèque de 1,3 milliard d’euros et environ 3 000 emplois créés.

C’est aussi un centre de données qu’envisagerait de construire l’opérateur japonais KDDI pour 1 milliard d’euros, tandis que l’américain Equinix débourserait 630 millions, également pour un centre de données.

Accenture, le géant du conseil, devrait pour sa part annoncer la création de deux centres de recherche dans l’IA générative. Dans l’informatique quantique, on parle notamment d’IBM, qui voudrait ouvrir un centre de recherche et développement à Saclay pour 45 millions d’euros et 50 embauches. Tandis que le finlandais IQM voudrait s’associer avec le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives pour ouvrir un laboratoire pilote.

Dès le dimanche 12 mai, le gouvernement a aussi communiqué sur des projets dans les domaines de la banque (installation à Paris du campus européen de Morgan Stanley), des engrais moins polluants (FertigHy dans la Somme), du raffinage de nickel (KL1, en Gironde) ou encore de l’aviation électrique (Lilium, sur un site non encore précisé en Nouvelle-Aquitaine).

Effet économique à retardement

Comme chaque année, les projets impressionnent par leur ampleur et leurs montants. Pour autant, leurs effets directs sur l’économie ne sont ni immédiats, ni facilement mesurables. « L’impact macroéconomique de ces projets peut mettre un peu de temps à se matérialiser », reconnaît-on à l’Élysée.

Mais pour Marc Lhermitte, associé chez EY et responsable du baromètre de l’attractivité, la présence d’entreprises étrangères permet de « soutenir une grosse partie de nos exportations et donne du carburant pour l’innovation et la recherche et développement ».

L’exemple du laboratoire pharmaceutique danois Novo Nordisk est éloquent : son projet d’agrandir son site de Chartres concerne un produit destiné à l’export à 95 %, insiste l’Élysée. Les groupes à capitaux étrangers en France constituent moins de 1 % des entreprises du pays (en 2021 selon l’Insee). Mais ils contribuent à hauteur de 30 % aux exportations françaises et emploient près de 12 % des salariés en France (Insee, 2020).

Début de réindustrialisation ?

La bonne nouvelle pour la France concerne, sur l’année 2023, les projets d’implantation ou d’extension d’usine : ils ont plus que doublé par rapport à 2015, loin devant les concurrents allemand et britannique, d’après EY. « Après des années de désindustrialisation, la France réussit à arrêter l’hémorragie », commente Thomas Grjebine, interrogé par l’Agence France-Presse (AFP). L’économiste au Centre d’études prospectives et d’informations internationales note une stabilisation de la part du secteur manufacturier dans le produit intérieur brut (PIB) et des créations nettes d’usines depuis 2018.

En matière de réindustrialisation, les signaux ne vont toutefois pas forcément dans le même sens, relativise auprès de l’AFP Maxime Darmet, économiste au cabinet Allianz Trade. Et de mettre en avant « la baisse observée du montant moyen investi par projet d’investissement » depuis 2019.

Moins d’emplois créés

La France subit par ailleurs une forte concurrence de ses voisins sur les gros projets industriels, à l’instar des annonces faites entre 2022 et 2023 par les géants américain Intel et taïwanais TSMC de construire des usines de puces électroniques en Allemagne.

Du côté de l’emploi, les entreprises étrangères se sont engagées à créer ou maintenir près de 40 000 emplois l’an dernier à travers leurs nouveaux projets, en hausse de 4 % sur un an. Mais le nombre d’emplois créés par projet d’investissement est dix fois supérieur en Espagne par rapport à la France. Un autre défi à relever.

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Un programme sous les ors de Versailles

Quelque 180 patrons étrangers sont attendus à Versailles lundi 13 mai. Plus de la moitié seront non européens (20 % nord-américains et 20 % asiatiques notamment), et environ un tiers viennent pour la première fois. Une soixantaine de dirigeants français seront également présents. Chacun pourra rencontrer au moins un ministre français.

Emmanuel Macron s’entretiendra en tête-à-tête avec quelques patrons, pour lesquels une conversation avec le chef de l’État peut s’avérer de nature « à emporter la décision » sur des projets « très importants et très stratégiques », explique l’Élysée. De tels échanges avaient abouti l’an dernier au lancement par le fabricant de batteries taïwanais ProLogium d’un projet de « gigafactory » de 5,2 milliards d’euros à Dunkerque, ou à l’agrandissement pour 2,1 milliards d’euros du laboratoire danois Novo Nordisk à Chartres.

Beaucoup de réponses sont livrées par cet article présenté par lejournaldeleconomie.info qui parle du thème « Actualité économique ». L’écrit de départ a été rendu de la façon la plus honnête qui soit. Vous avez l’occasion d’écrire en utilisant les coordonnées présentées sur notre site web afin d’indiquer des détails sur cet article parlant du thème « Actualité économique ». lejournaldeleconomie.info est un agrégateur d’information qui présente de nombreuses actualités publiées sur le net dont le sujet central est « Actualité économique ». Consultez notre site lejournaldeleconomie.info et nos réseaux sociaux dans le but d’être informé des nouvelles communications.

DIRECT. Choose France: Bruno Le Maire veut faire de la France « une grande nation de production »

18:03

Pour Xavier Niel, la France a besoin de « nouvelles entités pour rejoindre le Cac 40 »

De passage à Versailles pour Choose France, Xavier Niel, fondateur d’Iliad, a plaidé pour un meilleur « contrôle » des entreprises françaises et européennes. Car si les investissements étrangers sont à l’honneur à Versailles, ils viennent avec un risque de dépossession pour les entrepreneurs français.

« Aujourd’hui, les start-up dans l’intelligence artificielle qui on fait des levées de fonds significatives, elles ont gardé le contrôle. Ce sont des gens qui sont en France, basés en France, qui ont gardé le contrôle de leur entreprise », illustre Xavier Niel au micro de BFM Business.

« Ce dont on a besoin, c’est de créer aujourd’hui, au-delà du Cac 40, des nouvelles entités qui vont rejoindre ce Cac 40. »

Mais comment grandir quand on est une start-up convoitée par les fonds et les géants de la tech américains? Xavier Niel nous a confié le conseil qu’il donne à tous les entrepreneurs qui le sollicitent.

Lire notre article

17:45

Energie, logistique… Pourquoi FertigHy a choisi la France

Le producteur d’engrais bas-carbone espagnol FertigHy a choisi d’investir 1,3 milliard d’euros en France à l’occasion de Choose France. Son patron, José Antonio de las Heras Alonso, a justifié cet investissement sur BFM Business, par la taille du marché en premier lieu: « La France est le numéro un européen pour les engrais, il est très important d’être près des consommateurs ».

« La France développe aussi le bon cadre réglementaire, l’interconnectivité est très bonne et l’énergie est très peu chère tout en étant décarbonée. »

L’usine, positionnée dans les Hauts-de-France, devrait voir le jour d’ici trois ans, « pour développer les financements, le recrutement et la compétitivité-prix, l’agriculture étant très sensible aux prix », a rappelé José Antonio de las Heras Alonso. FertigHy négocie actuellement avec EDF concernant le prix de son électricité, la quantité d’énergie allouée et le prix de la mise en place des infrastructures électriques.

17:31

Usines, emplois… Quel bilan pour les précédents sommets Choose France?

En regroupant les annonces des six éditions précédentes, entre 2018 et 2023, on dénombre 122 projets d’investissements industriels étrangers au total. Soit un peu moins de 32 milliards d’euros.

La majeure partie des annonces égrenées au fil des sommets concerne néanmoins des extensions de sites industriels préexistants en France, et non de nouvelles usines ou de nouveaux centres de recherche.

Lire notre article

17:18

Skeleton confirme la construction d’une usine de batteries en France

Skeleton Technologies va bien investir en France. Le PDG de la start-up Taavi Madiberk l’a confirmé au micro de BFM Business, en marge du sommet Choose France. « Ce sera à la fois une entreprise de recherche et développement, mais également une usine, pour produire des batteries », a affirmé Taavi Madiberk.

L’investissement est chiffré à 600 millions d’euros et sera mené dans la région Occitanie. Un choix basé sur les compétences régionales et nationales : « Nous avons choisi la France pour son pool de talents. Il y a de très bonnes formations, de très bons ingénieurs. Les infrastructures sont aussi de très bonne qualité, et la politique industrielle française s’est améliorée. Toulouse est aussi réputée pour la qualité de ses travaux dans le domaine des matières critiques », a rappelé le patron.

17:08

Novo Nordisk veut lancer ses médicaments anti-obésité en France

Au micro de BFM Business, le PDG de Novo Nordisk a donné des nouvelles de son méga-projet d’usine à Chartres, chiffré à 2,1 milliards d’euros. « Nous creusons des trous actuellement, et installons des fondations » a décrit Lars Fruergaard Jørgensen. « Il reste deux ans pour construire l’usine, et deux ans pour tester les médicaments afin de répondre aux normes. »

Le groupe danois cherche également à commercialiser en France son Wegovy, médicament anti-obésité au très fort succès. Un programme est lancé avec des patients, pour tester ses résultats en France, a souligné Lars Fruergaard Jørgensen. Il espère réinvestir en France : « Nous devrons améliorer nos installations, même si un investissement de cet ampleur ne devrait pas se représenter. Mais si la France devient un marché majeur, ce sera une véritable incitation ».

16:48

L’énergie nucléaire est un argument « décisif » pour les investissements étrangers, selon Bruno Le Maire

Comment convaincre les patrons étrangers d’investir en France? Pour le ministre de l’Économie, le nucléaire est un argument de taille, a-t-il assuré au micro de BFM Business.

« Le fait d’avoir de l’énergie décarbonée, à bas coût […] est un élément absolument décisif pour les choix d’investissements » par les chefs d’entreprise étrangers, a affirmé Bruno Le Maire.

« Quand Microsoft décide d’investir quatre milliards pour ouvrir des data centers en France, une des raisons principales c’est qu’il y a de l’énergie décarbonée » en France, a-t-il cité en exemple.

16:35

Bruno Le Maire veut faire de la France « une grande nation de production »

Bruno Le Maire assure vouloir faire de la France « une grande nation de production ». Évoquant l’attractivité de la France pour les investisseurs étrangers, à l’occasion du sommet Choose France à Versailles, le ministre de l’Économie a soutenu la politique de l’offre de l’exécutif.

« Nous voulons de la production en France », a assuré Bruno Le Maire auprès de BFM Business. « Des usines, des ouvriers, des ingénieurs, des chaînes de montage, des laboratoires de recherche », a-t-il énuméré.

« Si les Chinois veulent ouvrir une usine BYD, grand constructeur chinois d’automobiles, en France, ils sont les bienvenus », mais « je ne veux plus d’une France qui soit uniquement [un pays] de consommateurs », qui achète ailleurs ce « qu’elle ne fabrique plus sur son sol ».

16:03

Equinix, numéro un mondial des data centers, va investir 630 millions d’euros en France

Parmi les entreprises étrangères présentes à Choose France, on trouve le numéro un mondial des centres de données, Equinix. Il y a deux ans, l’entreprise américaine avait investi un milliard d’euros dans l’Hexagone. Cette année, elle promet 630 millions d’euros supplémentaires d’ici 2027.

« La France est au cœur de notre stratégie depuis près de 20 ans », assure le PDG d’Equinix Charles Meyers, sur BFM Business.

Il vante les avantages de la France, notamment « sa position géographique centrale au cœur de l’Europe et connectée à l’Afrique et au Moyen-Orient » ainsi que « son énergie abondante, peu chère et décarbonée ».

Equinix va ainsi développer son centre de R&D, situé à Meudon, et investir dans ses 14 data centers sur le territoire français. En parallèle, le groupe a sécurisé un investissement de 225 millions d’euros pour s’approvisionner en énergie renouvelable.

14:04

La France, pays le plus attractif d’Europe, mais…

En 2023, la France est restée le pays le plus attractif d’Europe pour les investisseurs étrangers, selon le baromètre annuel du cabinet EY. Et cette attractivité se concrétise aujourd’hui par 15 milliards d’euros d’investissements annoncés pour cette édition de Choose France.

Mais si l’exécutif claironne, la réalité est un peu plus nuancée. Si les « gros » investissements sont au rendez-vous depuis quelques années, il n’y a pas globalement de forte hausse des investissements directs étrangers vers la France. Des projets qui restent par ailleurs peu créateurs d’emplois.

Lire notre article

11:25

« Nous avons des résultats et ils sont là »: Macron loue sa politique pro-business chez Microsoft

Alors que Microsoft vient d’annoncer 4 milliards d’euros d’investissements en France, Emmanuel Macron y voit les conséquences de sa politique pro-business menée depuis 2017.

« Nous avons des résultats et ils sont là ! », a-t-il avancé au siège de l’entreprise américaine. Je suis convaincu que nous aurons une France et une Europe plus fortes avec de tels investissements. »

Le chef de l’Etat a également loué les infrastructures du pays, argument d’attractivité selon lui. « On ne voit pas assez les formidables avantages que nous avons. Combien de pays ont des systèmes publics qui permettent autant ? Pas tant que ça. Regardons notre école, notre santé, notre force », a-t-il tancé.  

11:14

La présidente de Sanofi France assure que le groupe « a toujours choisi la France »

Après avoir annoncé un investissement de plus de 1 milliard d’euros dans la production de médicaments en France, à l’occasion du sommet Choose France, Sanofi assure qu’il ne faut pas y voir un « effet opportuniste ». « On est une entreprise française » et « on a toujours choisi la France », a déclaré Audrey Derveloy, présidente de Sanofi France, sur BFMTV.

« On a toujours été là » et « on veut le rester », a affirmé Audrey Derveloy.

Mais « est-ce que tout va bien ? non », a poursuivi la présidente de Sanofi France, appelant à « continuer à travailler sur le secteur pharmaceutique », notamment sur les sujets de la fiscalité, du financement et la régulation. « Il y a beaucoup à faire et on va mener ce chantier en parallèle » de « ce temps pour célébrer » les investissements industriels en France.

11:13

Microsoft va investir 4 milliards en France: Macron veut « bâtir des solutions européennes mais avec des gens de confiance »

Emmanuel Macron s’est rendu ce matin au siège de Microsoft alors que le groupe américain vient d’annoncer 4 milliards d’euros dans le développement de data centers en France pour renforcer son infrastructure dans l’intelligence artificielle et le cloud. « Oui nous voulons bâtir des solutions européennes mais avec des gens de confiance », a déclaré le chef de l’Etat.

« On peut parfois douter de nous même, il se peut parfois quand on allume la télévision qu’on se dise « rien ne va en France ». Moi je ne crois pas que ce soit vrai », a-t-il ajouté.

9:58

Pour le patron de Vorwerk, le fabricant allemand du Thermomix, « il y a plein de bonnes choses en France. »

Vorwerk va augmenter ses capacités de production. Le fabricant allemand du robot ménager haut de gamme Thermomix va investir 72 millions d’euros supplémentaires près de Chateaudun (Eure-et-Loir), où elle a déjà une usine.

« Nous avons pu monter le dossier de façon très rapide et cela c’est quelque chose qui compte beaucoup pour nous, confie à BFM Business Michaël Holmut, directeur de la production de Vorwerk. Il y a plein de bonnes choses en Allemagne, mais sur cet aspect la France était très bien pour nous. C’est peut-être surprenant pour les Français, mais il y a plein de bonnes choses en France. »

9:23

Concurrence déloyale: Roland Lescure espère la mise en place de « barrières tarifaires »

Interrogé sur la recherche d’un repreneur de la société Metex, le ministre délégué chargé de l’Industrie et de l’Energie a abordé la problématique de la concurrence déloyale, notamment asiatique, qui a donné lieu à plusieurs enquêtes de l’exécutif européen au cours des derniers mois.

« La commission européenne est en train de réaliser que les règles ont changé. Une enquête a été ouverte sur les véhicules électriques, une autre sur les panneaux solaires. »

Le membre du gouvernement espère que ces enquêtes « vont permettre de mettre en place des barrières tarifaires le plus tôt possible. » Il a enfin fait part de son souhait que « la Commission européenne aille vite dans ses enquêtes et mette en place des mesures drastiques s’il s’avère que la concurrence a été faussée, ce qui semble être le cas. »

9:17

« Mieux contrôler les données de nos entreprises et de nos concitoyens »: Thierry Breton réagit aux annonces de Microsoft et Amazon

Invité sur le plateau de BFMTV/RMC, le commissaire européen au marché intérieur, Thierry Breton s’est montré satisfait des annonces d’investissements de Microsoft et Amazon, notamment en matière de data centers.

« Ça y est, les grands acteurs du numérique viennent installer leur datacenter en Europe. Cela nous permet de mieux contrôler les données de nos entreprises et de nos concitoyens », a-t-il déclaré.

Microsoft a annoncé la création d’un nouveau centre de données près de Mulhouse, tandis que les sites existants, en région parisienne et près de Marseille, doivent être étendus. Amazon compte dépenser 1,3 milliard d’euros dans un data center pour sa filiale cloud AWS et un entrepôt pour ses activités d’e-commerce.

9:13

« En 2023, on a eu 350 ouvertures de lignes d’usine et 150 fermetures », indique Roland Lescure

Sur le plateau de Franceinfo, le ministre délégué chargé de l’Industrie et de l’Energie est revenu sur le bilan industriel de l’Hexagone l’année dernière. « En 2023, on a 350 ouvertures de lignes d’usines et à peu près 150 fermetures de lignes d’usines donc le solde nette est de 201 », a-t-il insisté.

Il a notamment pris l’exemple des Hauts-de-France où des entreprises de batteries vont s’implanter prochainement. « A Dunkerque, on a détruit 10.000 emplois depuis 10 ans et on en crée 20.000 dans les dix prochaines années donc on inverse la tendance », a expliqué Roland Lescure.

« Au rythme d’ouverture d’usines sur lequel on est, on aura inversé en une dizaine d’années la tendance des 15 dernières années. »

9:04

« Microsoft choisit la France parce qu’on a de l’électricité décarbonée », assure Roland Lescure

Invité de la matinale de Franceinfo à l’occasion du sommet Choose France qui se tient à Versailles, le ministre délégué chargé de l’Industrie et de l’Energie a évoqué l’investissement de 4 milliards d’euros en France annoncé par le géant du numérique ce week-end. « Ce sont à terme des centaines d’emploi, a souligné Roland Lescure. Il y a deux enjeux sur l’intelligence artificielle : la recherche avec les ingénieurs qui sera surtout en région parisienne et les data centers. »

« Microsoft choisit la France parce qu’on a de l’électricité décarbonée et pas chère et on va continuer d’investir là-dedans car on a un avantage comparatif dessus. »

8:59

Un montant record d’investissements annoncé: Thierry Breton explique les raisons du succès de la France

« La France est la meilleure en Europe en matière d’investissements étrangers, s’est réjouit Thierry Breton, commissaire européen au marché intérieur sur BFMTV/RMC. C’est très important pour notre avenir. »

Pour l’ancien ministre de l’Economie, plusieurs facteurs expliquent les raisons du succès de l’Hexagone auprès des entreprises étrangères. Premièrement, le niveau de formation. Vient ensuite l’énergie produite par la France, en grande partie décarbonée. « C’est un argument majeur, massif », explique-t-il.

La situation géographique du pays ainsi que ses infrastructures routières et ferroviaires sont également avancées. Sans oublier, la politique « incitative » menée par Emmanuel Macron depuis 2017.

8:34

Ces investissements « records vont profiter aux Français », se réjouit Emmanuel Macron

15 milliards d’euros d’annonces d’investissements. Pour le chef de l’Etat, Choose France 2024 est déjà un succès.

« C’est un millésime de tous les records qui va profiter aux Français dans toutes nos régions, se félicite le chef de l’Etat dans le Parisien. C’est la meilleure preuve que la cohérence et la stabilité de l’action sont des atouts majeurs pour notre pays. »

Prenant l’exemple de l’investissement de 4 milliards d’euros annoncé par Microsoft, Emmanuel Macron y voit « la reconnaissance du travail mené depuis sept ans basé sur la valorisation de nos savoir-faire, le maintien de notre énergie décarbonée, la création d’un cadre normatif favorable et la stabilité fiscale. »

8:19

15 milliards d’euros d’investissements, 56 projets: L’Elysée s’attend à un record

Pour la septième édition du sommet, l’Elysée a promis un record d’investissements de 15 milliards d’euros pour 56 projets. En 2023, vingt-huit projets avaient été annoncés pour un total de 13 milliards d’euros, ce qui représentait le précédent record.

Les investissements de cette année se concentrent principalement dans 3 domaines: l’intelligence artificielle, la décarbonation et la santé.

Plus de 180 dirigeants de groupes étrangers sont attendus, en plus d’une soixantaine de patrons d’entreprises françaises.

8:02

Carbon annonce la création une giga-usine de panneaux photovoltaïques d’ici l’automne 2025

Dans le cadre de son projet de « gigafactory » de panneaux photovoltaïques à Fos-Sur-Mer (Bouches-du-Rhône), le groupe français Carbon va annoncer la création d’un outil industriel en amont de celui-ci.

« C’est la première entité commerciale et industrielle dans la grande initiative Carbon. Elle a une vocation d’accélérateur de la gigafactory », a déclaré Nicolas Chandellier, Directeur général de Carbon sur BFM Business.

Soit la création d’une giga-usine de panneaux photovoltaïques d’ici l’automne 2025, avec une capacité de production annuelle de 500 mégawatts, ce qui représente environ 1 million de panneaux solaires par an, a indiqué Nicolas Chandellier.

8:00

Bruno Le Maire se félicite de passer « d’une nation de consommateurs à une nation de producteurs »

« C’est plus qu’une lueur d’espoir, c’est un grand succès. » Invité sur France 2 ce lundi, Bruno Le Maire s’est réjoui des annonces d’investissements des grandes multinationales en France.

Pour le ministre français de l’Economie, c’est la confirmation du bien-fondé de la politique économique du pays.

« Pourquoi il y a cette politique pour les entreprises, c’est pour avoir de la croissance au premier trimestre et pour ramener de l’activité dans des territoires reculés », a-t-il déclaré dans l’émission Les 4 Vérités.

Et Bruno Le Maire de citer l’exemple du géant pharmaceutique GSK qui investit 200 millions d’euros sur son site d’Evreux pour produire de la Ventoline.

« On a été pendant des années une nation de consommateurs, on doit redevenir une nation de producteurs », estime le ministre de l’Economie.

7:40

6 milliards d’euros d’investissements pour Amazon, Microsoft et Sanofi

Alors que le sommet débute ce lundi à Versailles, les trois multinationales ont déjà annoncé de nouveaux investissements pour un montant total de plus de 6 milliards d’euros.

Notre article à lire.

7:24

« La France, un acteur mondial fiable et solide », selon le patron de Morgan Stanley

Ted Pick participera au sommet Choose France organisé par le gouvernement ce lundi. Le patron de la grande banque d’affaires Morgan Stanley va rencontrer Emmanuel Macron pour évoquer ses projets futurs.

Dans un entretien aux Echos, le grand patron américain rappelle que les effectifs en France de la banque sont passés de 150 salariés à 350 ces cinq dernières années.

Et avec l’inauguration d’un nouveau campus situé près du siège historique rue de Monceau à Paris ainsi que d’un hub dédié à la finance quantitative, Ted Pick estime que la banque d’affaires devrait avoisinner les 500 salariés en France « dans un avenir très proche ».

« Des efforts ont été faits, qui ont mis la France sur le devant de la scène, ça vaut donc la peine de les poursuivre, estime-t-il. La France met beaucoup de sérieux et d’attention à être considérée comme un acteur mondial fiable et solide. C’est important. »

6:36

Un milliard d’euros dans une nouvelle usine Sanofi

Le groupe pharmaceutique français Sanofi a annoncé lundi un investissement de plus d’un milliard d’euros dans la production de médicaments en France, avec la construction d’une nouvelle usine sur son site de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne).

Grâce à cet investissement, Sanofi anticipe la création de 350 emplois directs à Vitry-sur-Seine, là même où 288 suppressions sont envisagées dans la recherche et le développement dédiée à l’oncologie, un secteur où les succès sont jugés insuffisants par la direction du groupe.

Lire notre article.

6:26

Choose France: Emmanuel Macron en maître de cérémonie

Avant son discours en fin de journée, Emmanuel Macron présidera plusieurs tables-rondes: une sur la décarbonation, une autre sur l’intelligence artificielle et le quantique, sujets sur lesquels la France se distingue en Europe, ainsi qu’une rencontre sur l’Inde.

Le chef de l’Etat rencontrera aussi différents chefs d’entreprise.

6:16

Microsoft annonce un investissement record de 4Mrd€ en France

Microsoft va investir 4 milliards d’euros dans le développement de data centers en France pour renforcer son infrastructure dans l’intelligence artificielle (IA) et le cloud, a annoncé le géant américain de l’informatique avant le sommet Choose France ce lundi 13 mai.

Ces derniers mois, l’entreprise créée en 1975 par Bill Gates et Paul Allen a multiplié les annonces d’investissements dans l’IA à l’étranger, dont 3,4 milliards de dollars en Allemagne, 2,1 milliards en Espagne ou encore 2,9 milliards au Japon. Présent en France depuis 1983, Microsoft y emploie plus de 2.100 personnes.

Lire notre article.

6:16

Des investissements attendus dans l’intelligence artificiel, le quantique ou encore la chimie

Lors de ce sommet, des investissements seront annoncés notamment dans l’intelligence artificiel, le quantique, la chimie ou encore le secteur bancaire.

Certains ont déjà été rendus public ces derniers jours, comme le détaille notre article à lire ici.

6:11

Un dispositif inédit sur BFM Business

Dès midi, Thomas Sasportas sera en direct depuis le Château de Versailles pour vous faire vivre l’arrivée des dirigeants.

A partir de 17 heures, suivez notre édition spéciale présentée sur place par Laure Closier, et puis jusqu’à 21 heures, le debrief de cette journée sera assuré par Guillaume Paul.

BFM Business sera en édition spéciale ce lundi à l'occasion de Choose France 2024.BFM Business sera en édition spéciale ce lundi à l'occasion de Choose France 2024.
BFM Business sera en édition spéciale ce lundi à l’occasion de Choose France 2024. © BFM Business

6:02

« France, terre de champions »: Choose France se tient ce lundi à Versailles

Bienvenue dans ce live consacré au sommet Choose France organisé ce lundi à Versailles en présence du président de la République Emmanuel Macron.

Destinée à mettre en valeur l’attractivité de la France, cette 7e édition à quelques semaines des Jeux olympiques de Paris aura pour thème « France, terre de champions ».

Beaucoup de réponses sont livrées par cet article présenté par lejournaldeleconomie.info qui parle du thème « Actualité économique ». L’écrit de départ a été rendu de la façon la plus honnête qui soit. Vous avez l’occasion d’écrire en utilisant les coordonnées présentées sur notre site web afin d’indiquer des détails sur cet article parlant du thème « Actualité économique ». lejournaldeleconomie.info est un agrégateur d’information qui présente de nombreuses actualités publiées sur le net dont le sujet central est « Actualité économique ». Consultez notre site lejournaldeleconomie.info et nos réseaux sociaux dans le but d’être informé des nouvelles communications.

ActuEco94 #58 : près d’un millier de chefs d’entreprise ont perdu leur emploi en Val-de-Marne/Normal ouvre à Val-de-Fontenay

Au sommaire de notre verticale économie cette semaine : l’ouverture d’un quatrième Normal en Val-de-Marne, une nouvelle usine Sanofi à Vitry-sur-Seine, des chiffres inquiétants sur les difficultés des entrepreneurs, les tendances dans le recrutement. Au menu également, plusieurs appels à projets : Trophées des entreprises dans le territoire Paris Est Marne et Bois, accompagnement des projets d’économie sociale et solidaire dans le Grand Paris Sud Est Avenir, appel à investir le marché de Villejuif. Du côté des Jeux olympiques, un appel aux entreprises prêtes à ouvrir leurs portes dans le cadre de parcours touristiques autour des Jeux olympiques, pour mettre en avant leur savoir-faire. A noter aussi, l’ouverture ce lundi de la plate-forme de QR codes pour circuler à Paris pendant les JO. À l’agenda cette semaine : les Assises de l’apprentissage en Ile-de-France, des Rencontres prospectives territoriales, un déjeuner thématique sur comment on devient manager à l’initiative du Club Entreprendre en Plateau briard…

Normal ouvre à Val-de-Fontenay

Le réseau de magasins à petits prix, Normal, qui a commencé à se déployer en France en août 2019, a ouvert au centre commercial Aushopping de Val-de-Fontenay ce vendredi 10 mai. Il s’agit de la 134e réplique en France pour l’enseigne créée au Danemark en 2013, et qui compte au total 700 unités.

Dans le Val-de-Marne, le réseau était déjà présent à Créteil (Créteil Soleil), au Kremlin-Bicêtre (Okabé) et à Thiais (Belle Épine). À Fontenay-sous-Bois, le nouveau magasin est ouvert du lundi au samedi de 10h00 à 20h00 – fermé le dimanche. L’enseigne propose 6 000 références de soins capillaires, soins corporels, produits ménagers, cosmétiques, papeterie, boissons.

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Sanofi va investir 1 milliard d’euros dans une nouvelle usine de médicaments à Vitry-sur-Seine

Le groupe pharmaceutique français Sanofi a annoncé ce lundi un investissement de plus d’un milliard d’euros dans la production de médicaments en France, grâce à la construction d’une nouvelle usine sur son site de Vitry-sur-Seine.
Lire l’article

974 chefs d’entreprise ont perdu leur emploi en 2023 en Val-de-Marne

11 359 chefs d’entreprise ont perdu leur emploi en Île-de-France en 2023, c’est 3047 femmes et hommes de plus qu’en 2022, soit 36,7 % sur un an, selon l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs de l’association GSC et du groupe Altares. Dans le Val-de-Marne, ce sont 974 chefs d’entreprise qui sont concernés. Le nombre de pertes d’emploi dépasse les seuils d’avant-crise Covid et atteint son plus haut niveau depuis la crise financière de 2016. Les professionnels les plus impactés sont ceux du secteur de la construction.

“Le Val-de-Marne enregistre la plus importante augmentation avec + 51,5 % d’entrepreneurs ayant perdu leur activité en un an”, chiffre l’Observatoire. Les raisons mises en avant : la hausse des taux d’intérêt, la fin des aides Covid et la reprise des procédures d’assignation Urssaf. “Les entrepreneurs expérimentés, à la tête d’une entreprise depuis 7 ans en moyenne, ont également été impactés en 2023”, note l’Observatoire.

Vie des entreprises, créations, activités des clubs, initiatives, mouvements, formation, forums de l’emploi, rendez-vous des entrepreneurs… Citoyens.com vous rend compte de l’actualité économique en Val-de-Marne chaque lundi.
Si vous souhaitez partager votre actualité et vos initiatives, envoyez un mail à redaction(a)citoyens.com

Les intentions d’embauche en baisse en 2024

“Cette année, 2,78 millions d’embauches potentielles sont recensées contre plus de trois millions l’année précédente : les intentions d’embauche connaissent donc une baisse de 8,5 % par rapport à 2023, revenant au niveau constaté en 2019”, indique France Travail (chiffres au niveau France) dans une note sur les intentions d’embauche. “Cette baisse se confirme dans un grand nombre de secteurs, notamment la construction, le transport et l’entreposage, le commerce de gros, l’industrie – plus particulièrement dans les domaines du travail du bois, du papier et de l’imprimerie –, ainsi que pour une partie du secteur des services aux entreprises.
Voir la note complète

Tourisme parisien : derniers chiffres avant les Jeux Olympique

Le Baromètre du tourisme parisien fait le point sur les réservations hôtelières et les arrivées aériennes à l’approche des Jeux olympiques. “Les arrivées aériennes internationales pour Paris sont en hausse de + 25,6 % vs 2023 pour les Jeux olympiques ; en recul de – 10,7 % pour les Jeux paralympiques”, note ainsi l’observatoire.
Voir le baromètre complet

Villejuif propose des espaces sur son marché Auguste Delaune

Dans le cadre du re-développement de son marché Auguste Delaune, qui se tient les jeudi et dimanche, la ville de Villejuif propose des espaces à des acteurs, prioritairement issus de l’économie sociale et solidaire et/ou de l’économie circulaire.
Plus d’informations

Trophées du territoire Paris Est Marne et Bois

L’intercommunalité Paris Est Marne et Bois, qui regroupe 13 villes* du Val-de-Marne, organise la troisième édition de ses Trophées du territoire pour mettre en avant les entreprises dans cinq catégories : transition numérique, transition écologique, démarche RSE, rayonnement international et entrepreneuriat au féminin (cheffes d’entreprise). Cette initiative est organisée en partenariat avec la CCI du Val-de-Marne et son réseau Coaxion qui fédère les clubs d’entreprise locaux.
Les entreprises peuvent candidater jusqu’au 10 juin. Les lauréats seront dévoilés en octobre. Les prix comprennent une mise en avant avec une vidéo professionnelle de présentation de l’entreprise, trois heures de prestations de la CCI Paris Île-de-France et la possibilité de participer pendant deux mois aux évènements des clubs COAXION 94 PEMB (hors évènements spéciaux).
Candidater

Appel à projets ESS au Grand Paris Sud Est Avenir

L’intercommunalité Grand Paris Sud Est Avenir, qui regroupe 16 communes* du Val-de-Marne invite les jeunes structures de l’Économie sociale et solidaire à candidater pour être accompagnées dans leur développement.
En savoir plus

L’État lance un parcours des savoir-faire français

Afin de valoriser les entreprises d’Ile-de-France à l’occasion des Jeux olympiques, la Direction régionale de l’économie (DRIEETS) invite à organiser des événements et portes ouvertes, et a créé deux plateformes en ligne pour recenser ces initiatives. La première s’appelle “Viens visiter mon atelier” et s’adresse à tous les artisans et entreprises prêts à accueillir du public. La seconde s’appelle “Viens visiter mon marché” et concerne les foires, marchés et salons “permettant aux entreprises artisanales et industrielles, fabriquant sur le territoire français, aux producteurs locaux et aux restaurateurs d’exposer et vendre leurs produits.
Plus d’informations

Pass Jeux : la plate-forme de QR codes pour circuler à Paris pendant les Jeux olympiques

La plateforme de délivrance de laissez-passer numérique “pass-jeux”, sorte de QR Code permettant d’accéder à certaines zones dans Paris durant les Jeux olympiques (26 juillet-11 août), enregistrera les demandes dès ce lundi 13 mai.
Lire l’article

À l’agenda 

Mai

Assises de l’apprentissage en Ile-de-France
Jeudi 16 mai en matinée au Campus des métiers et de l’entreprise de Bobigny

Une matinée pour réfléchir aux enjeux de l’apprentissage et son rôle dans le développement économique local.
Plus d’infos

Devenir un leader : déjeuner thématique du Club Entreprendre en plateau briard
Jeudi 16 mai à déjeuner

Dans le cadre d’une série de déjeuners thématiques, un temps d’échange avec Djamila Nahet, qui expique que “On ne naît pas manager on le devient !”
Participation 50 euros
Inscription

Rencontres prospectives du Grand Paris Sud Est Avenir
Les 16 mai, 27 juin, 26 septembre

À l’heure où le rôle du travail dans nos sociétés suscite des interrogations de toutes parts, où l’attachement des Français (des plus jeunes notamment) est questionné, où certains prédisent que le numérique et l’intelligence artificielle vont remplacer de nombreux métiers, Grand Paris Sud Est Avenir propose de réunir les différents acteurs œuvrant sur le territoire pendant plusieurs séances collectives en 2024 pour décrypter les changements en œuvre sur nos territoires, avec un objectif de coconstruire avec vous des préconisations.
Plus d’informations et inscriptions

Forum de recrutement aéroportuaire
Mardi 21 mai de 9h à 12H30 à l’aéroport Paris-Orly

Organisée en partenariat avec AEROWORK, cette initiative vise tous les niveaux de qualification et mettra en lien candidats et recruteurs des plus grandes entreprises de l’accueil, de la sûreté et de l’assistance en piste.
Plus d’infos

Viva Tech
Du 22 au 25 mai à Paris

Le RDV de la tech à Paris, avec 2 800 entreprises exposantes et 150 000 visiteurs attendus. Pays de l’année : le Japon.
Plus d’infos

Lire aussi : Orly-Roissy : les DRH s’unissent pour recruter autrement dans l’aéroportuaire, et ça marche

Salon du froid et du dernier kilomètre à Rungis
29 et 30 mai au MIN de Rungis

Organisé par le magazine Froid News, le Selfi (Salon européen logistique froid innovation) revient à Rungis les 29 mai (8h30-17h) et 30 mai (8h30-15h) avec 55 exposants.
Au programme des conférences-tables rondes : des solutions de décarbonation allant du vélocargo au porteur 26 tonnes, en passant par les conteneurs isothermes.
Inscriptions en ligne

Jeudi 30 mai au pavillon Baltard de Nogent-sur-Marne
“L’éVènement” du club Vivre et Entreprendre

“L’eVènement” est une journée de rencontres entre entreprises autour des défis socioécologiques, à l’initiative du club Vivre et entreprendre en Vallée de la Marne. Elle s’inscrit dans le prolongement des Olympiades, organisées en 2022 par le club.
Au programme : un cycle de conférences interactives sur la RSE dans toutes ses dimensions économiques et financières, humaines, et environnementales, des ateliers de financement (rencontres entre les porteurs de projets innovants et durables et des banques, institutions de financement, avocats…), un Village de la QVCT (expertise partagée d’entreprises pour l’amélioration de la qualité de vie et des conditions de travail – ateliers pratiques et fresques  collaboratives associées), et encore un Forum de l’emploi productif. Porté par la CCI 94, ce Forum vise à faire se rencontrer des sociétés qui fabriquent et recrutent en  Val-de-Marne et des demandeurs d’emploi présélectionnés . En partenariat avec France Travail, la Cité des Métiers, la CMA et Visemploi Nogent.
Plus d’infos

Juin

Salon Welcome, le rendez-vous de l’entrepreneuriat en Val-de-Marne
Le jeudi 13 juin à la CCI de Créteil

C’est le grand rendez-vous des entrepreneurs, porteurs de projets et partenaires du développement économique en Val-de-Marne. la prochaine édition du Welcome 94, organisée par la Chambre de commerce et d’industrie du Val-de-Marne, se tiendra le jeudi 13 juin après-midi. Au programme : des stands de partenaires de l’entrepreneuriat (France Travail, Banques, URSAFF, Établissements Publics Territoriaux, Clubs d’entreprises…), des ateliers sur l’Intelligence Artificielle, la cybersécurité ou encore le financement, des focus sur les filières stratégiques du Val-de-Marne que sont la santé et l’agroalimentaire.
RDV de 15h à 20h30 à la CCI 94
Enregistrement en ligne

Salon Créer, Reprendre, Développer et Financer votre projet
Le mercredi 19 juin à Rungis

Il s’agit de la deuxième de ce salon, organisé par le Réseau Entreprendre en Val-de-Marne.
De 10h à 17h à l’Antenne Réseau Entreprendre Val de Marne – Parc Icade
43 av. Robert Schuman, 94150 Rungis
Inscription gratuite en ligne

Novembre

Mardi 19 novembre au Palais des Sports de Créteil
Première édition du salon Effervescence en Val-de-Marne

Salon BtoB destiné à promouvoir les affaires entre entreprises du Val-de-Marne. Entre 100 et 150 exposants sont attendus. Le format a déjà été testé en Val d’Oise et Vendée, et plus récemment en Seine-Saint-Denis (lire notre reportage).

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Édito | Alexandre Poplavsky « Choose France » au sommet

Plus de 10 milliards d’investissements étrangers doivent être dévoilés en ouverture du sommet « Choose France », ce lundi au château de Versailles. Le gouvernement annonce déjà un millésime exceptionnel, sans doute supérieur au cru 2023 marqué par ses 13 milliards d’investissements, ses 8 000 emplois à la clé dont 1 700 en Moselle. L’occasion pour Emmanuel Macron d’asséner à nouveau que la France demeure pour la cinquième année consécutive le pays le plus attractif du Vieux Continent. Depuis 2017, le Président n’hésite d’ailleurs pas à enfiler son costume de VRP pour vendre l’attractivité de l’Hexagone. Et sur le papier, les chiffres semblent lui donner raison. Depuis son arrivée à l’Élysée, son engagement pour la réindustrialisation s’est traduit par la création de plus de 300 entreprises dans le pays et 150 000 emplois. Le bilan de « Choose France » en sept ans s’est aussi matérialisé par 32 milliards d’investissements et 122 projets. Mais dans la réalité, une trentaine serait seulement sortie de terre, ce qui conduit d’ailleurs l’exécutif à reconnaître qu’il faudra encore « un peu de temps » pour en voir les réels effets. Pour ce mini Davos à la française, le thème retenu colle évidemment à l’événement planétaire attendu de fin juillet à début septembre à Paris. Il s’agit de « France, terre de champions », allusion donc aux Jeux olympiques et paralympiques de l’été. Parmi les axes stratégiques où le chef de l’État veut entrer en compétition, l’intelligence artificielle. Emmanuel Macron a en effet l’ambition de faire de la France le leader de l’Europe dans cette catégorie. Outre la décarbonation et la santé, l’intérêt de la place de Paris pour les grandes banques internationales sera également mis à l’honneur lors de la grande messe versaillaise. Histoire de rappeler à nos amis d’outre-Manche que depuis le Brexit, 7 000 banquiers et analystes ont déserté la « Perfide Albion » pour s’installer en Île-de-France.

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Quand les Jeux olympiques faisaient écho aux maux du monde

Aux JO de Mexico de 1968, sur le podium du 200 mètres, les athlètes étasuniens Tommie Smith (médaille d’or) et John Carlos (bronze) lèvent un poing ganté de noir en référence au Black Panther Party qui lutte pour l’égalité raciale aux Etats-Unis. Par solidarité, l’Australien Peter Norman (argent) arbore un badge de l’Olympic Project for Human Rights. Bettmann Archive/Getty Images

Au Musée de l’immigration, une exposition montre que les JO, censés être apolitiques, ont toujours été une caisse de résonance des conflits.

Dans la noria d’expositions consacrées cette année au sport et aux Jeux olympiques, il fallait bien qu’une d’entre elles se confronte au versant politique de l’événement, et rappelle que les Jeux n’ont jamais été épargnés par le bruit du monde. C’est chose faite avec l’exposition fleuve présentée au Musée de l’histoire de l’immigration, «Olympisme, une histoire du monde». Le propos a mobilisé sept conservateurs et historiens pendant trois ans, et a donné lieu à un catalogue illustré et captivant.

Officiellement apolitiques, et laissant le seul sport décider du meilleur, ces grands rassemblements ont toujours été une caisse de résonance des conflits, mais aussi des revendications. Miroir grossissant des époques, et de leurs valeurs, se déroulant devant le monde entier, les Jeux sont aussi l’occasion pour chaque pays hôte de montrer sa puissance. Avec plus ou moins de réussite: sur l’affiche de l’exposition figure Jesse Owens, vainqueur de quatre titres (100 mètres, saut en longueur, 200 mètres…

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Hautes-Alpes Jeux Olympiques : sur quoi va porter l’expertise du CIO

Les experts du CIO sont au boulot. Après avoir visité les sites qui pourraient potentiellement porter l’ambition olympique des Alpes françaises en 2030 , ils vont maintenant dresser un état des lieux techniques et rédiger un cahier des charges strict.

À Briançon

Le village olympique et paralympique des JO 2030 sera-t-il installé dans l’enceinte fortifiée du plateau des Trois Têtes à Briançon ? C’est le souhait des élus locaux qui y voient l’opportunité d’aménager, enfin, le fort Vauban classé au patrimoine mondial de l’Humanité par l’Unesco. Restauré par l’Etat pierre après pierre, le site est inutilisé. Pour transformer la friche militaire en quartier résidentiel, le chantier s’avère colossal. Utopique voire même irréaliste selon les opposants. Les experts du CIO devront trancher… en faisant preuve d’un peu d’imagination pour se projeter car, pour le moment, il n’y a pas d’accès…

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Choose France, un sommet pour incarner les choix économiques d’Emmanuel Macron

A un mois des élections européennes qui s’annoncent ardues pour la majorité, la septième édition de Choose France, ce lundi à Versailles, tombe à point nommé pour Emmanuel Macron. Placé sous le thème « France, terre de champions » en écho aux Jeux Olympiques, ce sommet organisé pour les investisseurs étrangers devrait lui offrir une nouvelle tribune pour célébrer le dynamisme de l’économie française, la réindustrialisation du pays, son attractivité malgré le ralentissement mondial.

Ces derniers jours, plusieurs décisions d’investissement épousant les priorités de l’exécutif – la décarbonation et l’intelligence artificielle (IA) – ont déjà été distillées. Certaines d’entre elles visent à combler les maillons manquant de la filière de la production des batteries électriques. Des projets pour un montant avoisinant les 3 milliards d’euros devraient également être annoncés dans l’IA et le quantique. Quelques investissements sont aussi prévus dans la santé. Enfin, alors qu’une proposition de loi pour renforcer l’attractivité financière de la Place de Paris doit être examinée au Parlement, l’Américain Morgan Stanley officialisera la création d’un « campus européen » et d’autres banques d’affaires confirmeront leur arrivée dans la capitale française.

Contexte géopolitique tendu

Le montant global des investissements engagés sera dévoilé en marge du sommet. Selon le dernier baromètre EY, en 2023, l’Hexagone est resté le pays d’Europe le plus attractif avec 1.194 projets d’implantation ou d’extension de sites. « Ce résultat, nous le devons à la stabilité de la politique économique », plaide le ministre de l’Economie Bruno Le Maire. Mais le contexte géopolitique s’est tendu. «L’Europe et la France doivent se positionner par rapport aux deux grands blocs », les Etats-Unis et à la Chine, reconnaît l’Elysée. L’an dernier, la France a attiré 5 % de projets en moins qu’en 2022, comme l’Europe (-4 %).

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Ce lundi, devant les 180 patrons invités à Choose France, Emmanuel Macron devrait donc, avec le Commissaire européen au Marché intérieur Thierry Breton, leur assurer que l’Europe prend toutes les mesures pour rester attractive. Il devrait aussi mettre en avant la constance de ses choix et les réformes menées depuis sept ans en France. « Notre politique économique, elle fonctionne, on la continue, on l’accélère même », insiste-t-on à l’Elysée.

Pour le gouvernement, les investissements étrangers doivent servir de levier à la réindustrialisation du pays. « Choose France est décisif pour réussir » car cela « apporte des capitaux, les technologies et permet de compléter les trous dans certaines chaînes de valeur », soutient Bruno Le Maire tout en rappelant que les précédentes éditions ont permis depuis 2017 « 122 projets représentant 32 milliards d’euros d’investissements », soit l’équivalent des montants engagés, à date, par le plan France 2030. A l’Elysée, on reconnaît toutefois qu’il faudra « un peu de temps » pour que l’impact de ces projets soit visible.

Pour autant, des premiers signes de réindustrialisation apparaissent dans le pays. Depuis 2017, l’Hexagone a gagné plus de 300 usines, 150.000 emplois industriels ont été créés. « La dynamique est désormais positive, mais elle reste fragile car la France et l’Europe sont menacés dans des secteurs stratégiques par la Chine et les Etats-Unis », observe Thomas Grjebine, économiste au Centre d’études prospectives et d’informations internationales (Cepii).

Composante du soft power

Le gouvernement s’est fixé l’objectif ambitieux de monter la part de l’industrie dans le PIB de moins de 12 % à 15 % pour rejoindre la moyenne européenne. Mais dans un rapport publié en avril, Olivier Lluansi, ancien délégué interministériel aux Territoires d’industrie, a appelé au réalisme, affirmant que la France n’avait ni l’énergie décarbonée ni la main-d’oeuvre nécessaire pour gagner 5 points de PIB en une décennie. L’économiste Elie Cohen est lui aussi dubitatif. Selon lui, la politique actuelle « permettra au mieux de stabiliser la part de l’industrie dans le PIB ».

Du chemin reste donc à parcourir. « Choose France est une composante essentielle du soft power français en matière économique. Cette diplomatie joue un rôle pour attirer les grands investissements », relève Thomas Grjebine.

Comme les années précédentes, Emmanuel Macron s’entretiendra en tête à tête avec les dirigeants de plusieurs groupes internationaux. Alors que la France peine à attirer des nouveaux investisseurs étrangers, l’objectif, durant cette édition, sera aussi de « renouveler » le vivier de patrons susceptibles de s’implanter sur le territoire. Pour un tiers des dirigeants invités, ce sera ainsi le premier Choose France. Face à l’intérêt modéré des Américains et des Chinois, l’Inde fera l’objet de toutes les attentions du chef de l’Etat. « Nous voulons plus d’investissements indiens en France », reconnaît l’Elysée.

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