Wall street salue l’accalmie de l’emploi américain et les résultats d’Apple

La Bourse de New York a terminé en hausse, vendredi, enhardie par la vision d’un marché de l’emploi qui s’assagit et les résultats moins mauvais que prévu d’Apple.

Le Dow Jones s’est élevé de 1,18%, l’indice Nasdaq a grimpé de 1,99% et l’indice S&P 500 a gagné 1,26%.

La place new-yorkaise attendait avec impatience le rapport mensuel sur l’emploi, qui a fait état de 175.000 créations de postes en avril, soit nettement en-deçà des 240.000 annoncés par les économistes.

La publication a aussi révélé que le salaire moyen n’avait augmenté que de 0,2% sur un mois, contre 0,3% attendu. Sur un an, les revenus ont progressé de 3,9%, leur plus faible rythme depuis juin 2021.

Pour Patrick O’Hare, de Briefing.com, ce rapport, « ni brûlant, ni glaçant », avait tout pour plaire. « Les chiffres sont assez bons pour montrer au marché que l’économie continue à croître », mais aussi suffisamment modérés « pour conforter le président de la Fed (banque centrale américaine) dans l’idée que le prochain mouvement de taux ne sera pas une hausse ».

Le marché obligataire a salué ces nouvelles données et le rendement des emprunts d’Etat américains à 2 ans est descendu jusqu’à 4,70%, une première depuis près d’un mois.

L’effet positif du rapport sur l’emploi s’est combiné à celui des résultats d’Apple (+5,98%), en baisse mais supérieurs aux prédictions des analystes. « C’était moins mauvais que prévu », a commenté Patrick O’Hare.

Le groupe de Cupertino (Californie) est parvenu à améliorer sa rentabilité, notamment grâce aux services (App Store, Apple Music, iCloud ou Apple TV+), dont les marges sont très importantes.

Pour ne rien gâcher, la firme à la pomme a annoncé un nouveau plan de rachat d’actions, à hauteur de 110 milliards de dollars, le plus important jamais vu pour une société cotée.

Derrière la saillie d’Apple, tous les géants de la tech ont terminé dans le vert, en particulier Nvidia (+3,46%), Microsoft (+2,22%) et Meta (+2,33%).

Côté Dow Jones, Wall Street a aussi été stimulée par les comptes du laboratoire Amgen (+11,82%), qui a relevé le bas de la fourchette de ses prévisions de chiffre d’affaires et de bénéfice net pour l’exercice 2024.

Le groupe a été notamment tiré par son anti-choléstérol Rapatha et son médicament contre l’osthéoporose Evenity et fait état de résultats positifs dans le développement de son traitement contre l’obésité MariTide.

Ce dernier élémént a pénalisé son concurrent Eli Lilly (-2,77%), qui commercialise déjà Zepbound, un autre régulateur de l’appétit.

Après s’être hissé au-dessus d’un seuil technique majeur, en l’occurence la moyenne des 50 dernières séances de Bourse, le S&P 500 s’est néanmoins légèrement replié.

« On a vu les indices peiner à rester au-dessus de ce seuil récemment », a rappelé Patrick O’Hare. « Le voir clôturer plus haut aurait été un signe encourageant. »

Les investisseurs n’ont pas vu dans les deux dernières séances solides de la fin de la semaine la promesse d’un redémarrage de la place new-yorkaise.

« Je pense qu’on va rester dans cet entre-deux », a prévenu Patrick O’Hare, avec des indices qui évoluent au gré des indicateurs. « Ce n’est pas le paradis, mais ce n’est pas l’enfer non plus. »

A la cote, la plateforme hôtelière Expedia trébuchait (-15,25%), après avoir abaissé sa prévision de chiffre d’affaires pour son exercice 2024, du fait de réservations moins dynamiques que projeté, en particulier pour sa filiale Vrbo.

A chaque jour son épisode dans la saga du groupe de médias Paramount Global (-7,00%). Vendredi, plusieurs médias ont rapporté que l’actionnaire de contrôle, Shari Redstone, n’était favorable ni à l’offre de rachat de la société de production Skydance, ni à celle, conjointe, d’Apollo Global Management et Sony.

Beaucoup de réponses sont livrées par cet article présenté par lejournaldeleconomie.info qui parle du thème « Actualité économique ». L’écrit de départ a été rendu de la façon la plus honnête qui soit. Vous avez l’occasion d’écrire en utilisant les coordonnées présentées sur notre site web afin d’indiquer des détails sur cet article parlant du thème « Actualité économique ». lejournaldeleconomie.info est un agrégateur d’information qui présente de nombreuses actualités publiées sur le net dont le sujet central est « Actualité économique ». Consultez notre site lejournaldeleconomie.info et nos réseaux sociaux dans le but d’être informé des nouvelles communications.

La Bourse de Paris termine en hausse après l’emploi américain

La Bourse de Paris a terminé en hausse de 0,54% vendredi, soulagée par le ralentissement du marché de l’emploi aux Etats-Unis, jugé de bon augure pour une possible baisse des taux de la banque centrale américaine, espérée en septembre.

L’indice vedette CAC 40 a avancé de 42,92 points à 7.957,57 points. Jeudi, il avait reculé de 0,88% pour terminer à 7.914,65 points, ce qui était sa plus basse clôture depuis le 22 février. Sur la semaine, le CAC 40 affiche une perte de 1,62%.

Les investisseurs se sont montrés rassurés par les créations d’emplois d’avril aux Etats-Unis, qui ont fortement ralenti, à 175.000 contre 315.000 en mars, le taux de chômage n’ayant que légèrement augmenté, à 3,9% en avril contre 3,8% le mois précédent.

Les signaux d’affaiblissement de l’économie américaine sont les bienvenus pour les marchés, qui espèrent que la banque centrale américaine (Fed) procède à une possible première baisse des taux directeurs en septembre, selon les estimations du marché.

A l’issue de sa dernière réunion de politique monétaire mercredi, la Réserve fédérale a maintenu ses taux dans la fourchette de 5,25 à 5,50%, leur plus haut niveau depuis plus de 20 ans, afin de ramener l’inflation à 2%.

Son président Jerome Powell a aussi rappelé qu’il avait un double manda, « ramener l’inflation à l’objectif cible, mais aussi maintenir la croissance et le marché de l’emploi dans de bonnes conditions », commente Isabelle Vic-Philippe, gérante obligataire chez Amundi.

La déteriotation du marché de l’emploi américain a suscité une nette détente des taux obligataires immédiatement après la publication des données, avant de remonter légèrement. Le taux d’intérêt de l’emprunt de l’Etat français à 10 ans s’établissait autour de 2,97%, contre 3,02% à la clôture jeudi.

Volte-face pour Société Générale

Après un début de séance en nette hausse pour Société Générale, l’action s’est retournée pour terminer en baisse de 5,18% à 24,46 euros, après une conférence auprès des analystes financiers animée par le directeur général Slawomir Krupa.

L’impression d’un flou autour de certains objectifs financiers et une équipe de direction perçue comme « sur la défensive » ont pesé sur le titre, explique un analyste joint par l’AFP.

Sa filiale ALD, sur l’indice élargi SBF 120, a gagné 7,20% à 6,85 euros.

Ailleurs à la cote parisienne, Crédit Agricole s’est octroyé 1,10% à 14,77 euros. Philippe Brassac, directeur général, a déclaré que la banque devrait atteindre son objectif d’être « au-dessus de 6 milliards » de bénéfice net dès 2024 et non plus seulement en 2025.

Dans la finance, l’assureur Axa a lâché 1,38% à 31,43 euros après ses résultats.

Legrand fait moins bien qu’attendu

Le fabricant de matériel électrique Legrand a annoncé vendredi des résultats en repli au 1er trimestre, avec un bénéfice net de 276 millions d’euros en recul de 16,5%, sur fond de marché mondial du bâtiment déprimé.

Les résultats sont un peu moins bons qu’attendu, et le titre a lâché 2,40% à 95,34 euros.

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Le marché de l’emploi ralentit en avril aux Etats-Unis

Le marché de l’emploi a ralenti en avril aux Etats-Unis, avec des embauches en baisse et un chômage en légère hausse, au moment où la Fed lutte contre un rebond de l’inflation et à six mois de l’élection présidentielle.

En avril, 175.000 emplois ont été créés, contre 315.000 en mars – données révisées en hausse -, selon les chiffres publiés vendredi par le département du Travail.

Le taux de chômage a lui légèrement augmenté, à 3,9% contre 3,8%.

Les analystes attendaient 240.000 créations d’emplois, et un taux de chômage stable à 3,8%, selon le consensus de Market Watch.

La situation de l’emploi est un sujet-phare de la course à la Maison Blanche, pour l’élection présidentielle du 5 novembre, qui devrait voir, comme en 2020, un duel entre le président démocrate Joe Biden, et son prédécesseur républicain Donald Trump.

« Le grand retour de l’Amérique continue », a ainsi salué Joe Biden dans un communiqué.

« Lorsque j’ai pris mes fonctions (en janvier 2021, NDLR), j’ai hérité d’une économie au bord du gouffre, avec la pire crise économique en un siècle », a-t-il ajouté, dans une critique directe à Donald Trump.

Celui-ci a, sur son réseau social Social Truth, dénoncé les « horribles chiffres de l’emploi juste annoncés. Un grand bazar avec de fausses estimations. Ils auraient dû me demander de donner des prévisions. Biden détruit notre pays !!! »

Baisse des taux

En avril, ce sont notamment les secteurs de la santé, du social, du transport et de la logistique qui ont embauché, précise le département du Travail dans son communiqué.

Les créations d’emplois ont augmenté « au rythme le plus lent depuis octobre 2023 », et la variation annuelle des salaires est inférieure à 4% « pour la première fois depuis 2021 », a relevé Rubeela Farooqi, cheffe économiste pour High Frequency Economics, dans une note.

Le salaire horaire moyen a augmenté de 7 cents, soit 0,2%, pour atteindre 34,75 dollars, détaille le département du Travail. Au cours des 12 derniers mois, le salaire horaire moyen a augmenté de 3,9%.

Le marché de l'emploi ralentit en avril aux Etats-Unis

La situation de l’emploi est regardée de près par la banque centrale américaine, la Fed, qui cherche à lutter contre la flambée des prix.

Car, si un marché du travail solide est une bonne nouvelle pour les employés, le manque de main d’oeuvre depuis près de trois ans a contribué à alimenter l’inflation.

Ces chiffres devraient « aider les responsables de la Fed à reprendre confiance dans la capacité de l’inflation à retrouver le chemin de 2% », a souligné Nancy Vanden Houten, cheffe économiste pour Oxford Economics.

Et donc à ne pas trop tarder à entamer la baisse des taux.

Cette perspective a fait bondir Wall Street à l’ouverture vendredi matin.

Ralentissement à venir

« Le marché du travail reste relativement tendu, mais les conditions de l’offre et de la demande sont désormais mieux équilibrées », avait souligné mercredi le président de la Fed, Jerome Powell, lors d’une conférence de presse.

Le marché de l'emploi ralentit en avril aux Etats-Unis

« La croissance des salaires a ralenti au cours de l’année écoulée et l’écart entre emplois et travailleurs s’est réduit, mais la demande de main-d’oeuvre surpasse toujours l’offre de travailleurs disponibles », avait-il également indiqué.

Alors que la Fed s’apprêtait à commencer à les baisser – ce qui aurait fait baisser les taux d’intérêts des prêts immobiliers, automobiles, ou encore pour les cartes de crédit -, l’inflation a rebondi depuis le début de l’année.

Mercredi, à l’issue de sa réunion, elle a ainsi maintenu ses taux à leur plus haut niveau depuis plus de 20 ans, dans la fourchette de 5,25 à 5,50%.

« L’inflation reste trop élevée, de nouveaux progrès pour la réduire ne sont pas assurés et la voie à suivre est incertaine », avait encore averti le président de l’institution.

Le marché de l'emploi ralentit en avril aux Etats-Unis

Pour les mois à venir, le marché du travail devrait continuer à ralentir, anticipe Lydia Boussour, économiste pour EY, « avec un ralentissement des embauches, des licenciements localisés et une modération continue de la croissance des salaires ».

Elle table sur un taux de chômage de 4,1% d’ici la fin de l’année.

Les inscriptions au chômage sont à un niveau historiquement bas depuis plus de deux ans, un peu supérieures à 200.000 chaque semaine, (208.000 fin avril) comme avant la pandémie de Covid-19.

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Opinion | Jeux olympiques : les autoentrepreneurs doivent être acteurs de la réussite

À quelques jours du Comité Interministériel du Tourisme qui siégera le 7 mai, le Groupement des Hôtelleries & Restaurations de France (GHR), France Digitale et la Fédération Nationale des Autoentrepreneurs (FNAE) appellent Matignon à clarifier le recours aux indépendants en particulier dans la restauration, un secteur en tension pendant les Jeux Olympiques 2024.

Le secteur de l’hôtellerie-restauration se prépare à vivre un été des plus intenses. Acteurs indispensables au succès des Jeux Olympiques, les hôtels, cafés et restaurants seront au coeur de l’action, accueillant 16 millions de visiteurs venant de plus de 200 pays dans un contexte pourtant bien identifié de pénurie de main-d’oeuvre.

Avec plus de 385.000 postes à pourvoir dans le secteur selon France Travail, dont 60.000 supplémentaires pour les Jeux, nous cherchons des solutions.

Le recrutement : pas une mince affaire !

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Le recours aux professionnels indépendants fait partie intégrante de la solution car elle apporte la flexibilité attendue pour réaliser des missions ponctuelles inhérentes à des événements tels que les JOP2024. Depuis plus de 15 ans, et plus récemment encore depuis 2017, le travail indépendant a été valorisé , promu, encadré.

Mais cet encadrement juridique indispensable est encore trop imprécis pour être sereinement adopté par les employeurs, indépendants ou plateformes. Cette incertitude juridique laisse place à l’interprétation et ouvre la voie à des menaces allant du travail dissimulé à la requalification en contrat de travail salarié.

Ce flou freine notre capacité à innover, à proposer un cadre stable et sécurisé – juridiquement et socialement – et à répondre aux besoins de main-d’oeuvre. En somme, lourdeurs administratives, incertitudes juridiques, complexités réglementaires s’accumulent parfois jusqu’à gripper l’innovation, là où devraient prévaloir vélocité, efficacité, et simplicité.

Comme nos athlètes, nous attendons un soutien spécifique et un environnement juridique clair et donc propice au développement de nos activités. Les Jeux nous obligent à aller plus loin et à agir de manière décisive.

Stratégie axée sur l’entrepreneuriat

Les hôtels, cafés et restaurants représentent le secteur le plus créateur d’emploi en France. Or d’un point de vue structurel, la tension est telle que les besoins ne pourront être satisfaits et absorbés par le seul salariat. Le renfort des autoentrepreneurs offre de nombreuses opportunités que nous devons saisir pour créer des perspectives réelles de croissance économique, d’insertion professionnelle et d’emploi.

Cette nouvelle approche du travail reflète les aspirations actuelles de la société et des évolutions profondes dans les façons de travailler qu’on ne peut nier. Pour autant, elle doit être encadrée et ne doit en aucun cas précariser ni remplacer les emplois traditionnels (CDI, CDD, intérim), mais servir de renfort temporaire uniquement.

85 % des Français se déclarent favorables à ce que des professionnels de la restauration autoentrepreneurs viennent en renfort des restaurants en manque de main-d’oeuvre lors des JOP2024.

Course contre la montre

Aussi, osons allumer la flamme de l’innovation en déployant rapidement des solutions exceptionnelles pour les Jeux : une clarification et un encadrement sur le recours aux professionnels indépendants s’imposent pour optimiser la main-d’oeuvre disponible et préserver l’image de la France à l’international.

Les jours à venir doivent être consacrés à simplifier et clarifier les règles du jeu. Il est temps de lever les obstacles qui subsistent pour lever la menace d’une pénurie de main-d’oeuvre pendant les Jeux.

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Être une nation olympique va au-delà du sport. C’est être une nation innovante, capable de soutenir résolument ses champions et de repenser nos approches et processus décisionnels pour accompagner les transitions auxquelles nous sommes confrontés. Ensemble, nous pouvons garantir le succès des Jeux et la prospérité future de notre économie.

Catherine Quérardest la présidente du Groupement des Hôtelleries & Restaurations de France (GHR).

Maya Noëlest la directrice générale de France Digitale.

Grégoire Leclercqest le président de la FNAE.

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Wall Street ouvre en hausse, aidée par une décélération de l’emploi américain

La Bourse de New York a ouvert en hause, vendredi, satisfaite de voir le marché de l’emploi et les salaires décélérer, sans s’effondrer pour autant, ce qui maintient intacte la perspective d’une baisse de taux d’ici la fin de l’année.

Vers 13H55 GMT, le Dow Jones s’appréciait de 1,44%, l’indice Nasdaq prenait 2,17% et l’indice élargi S&P 500 progressait de 1,39%.

Le marché a bien accueilli le fait que l’économie américaine n’ait créé que 175.000 emplois en avril, alors que les économistes prédisaient 240.000 postes supplémentaires.

« L’important, c’est la Fed (banque centrale américaine) », a expliqué Adam Sarhan, de 50 Park Investments. « Un faible chiffre de créations d’emplois ôte un peu de pression à l’économie. C’est une bonne nouvelle pour la Fed, qui peut envisager de réduire ses taux. »

Le rapport du ministère du Travail a également montré que le salaire moyen n’avait augmenté que de 0,2% sur un mois, contre 0,3% calculé par les économistes. Sur un an, le rythme ressort à 3,9%, en-deçà de 4% pour la première fois depuis juin 2021.

« Ces chiffres renforcent l’idée que la thèse centrale est celle de baisses de taux cette année, et non de hausses », a abondé, dans une note, Rubeela Farooqi, de High Frequency Economics.

Ces derniers jours, la crainte d’un nouveau tour de vis monétaire avait fait surface, justifiée par la ténacité de l’inflation aux Etats-Unis.

La communication de la Fed, mercredi, avait déjà rassuré sur ce point, le président de l’institution, Jerome Powell, balayant la possibilité d’une hausse de taux.

Le marché obligataire a brutalement réagi, le rendement des emprunts d’Etat américains à 2 ans tombant à 4,70%, au plus bas depuis près d’un mois, contre 4,87% la veille.

Les opérateurs attribuent désormais une probabilité de plus de 67% à l’hypothèse comprenant au moins deux baisses de taux de la Fed d’ici fin 2024.

Au terme d’une semaine positive pour les actions, les indices approchent de seuils techniques importants, en particulier la moyenne des 50 dernières séances.

« On pourrait buter dessus, ou même la franchir et se replier », prévient Adam Sahran.

Malgré trois séances de bonne tenue, « tout peut encore arriver », avertit le gérant, pour qui un indice de prix CPI trop élevé (le 15 mai) ou de mauvais résultats de sociétés « peuvent renverser le marché ». « Nous ne sommes pas encore tirés d’affaire. »

A la cote, le secteur technologique restait aux avant-postes.

Apple caracolait (+6,35%), sur la foi de résultats supérieurs aux projections des analystes mais aussi à l’annonce d’un programme massif de rachat d’actions, à hauteur de 110 milliards de dollars.

Le groupe de Cupertino (Californie) a enregistré un tassement des ventes d’iPhone, mais une croissance plus soutenue qu’anticipé dans les services (App Store, Apple Music, Apple TV+, iCloud).

En six ans, l’entreprise à la pomme a annoncé pour 605 milliards de dollars de rachats d’actions au total.

Le concepteur de semi-conducteurs Nvidia était aussi à la fête (+3,40%). Depuis son trou d’air de mi-avril, le titre a regagné plus de 16%.

La plateforme hôtelière Expedia trébuchait (-12,66%), après avoir abaissé sa prévision de chiffre d’affaires pour son exercice 2024, du fait de réservations moins dynamiques que projeté, en particulier pour sa filiale Vrbo.

Le confiseur Hershey avançait (+0,40%), après avoir publié des résultats meilleurs qu’attendu, des hausses de prix et des gains de productivité ayant plus que compensé la flambée des cours des matières premières, en particulier le cacao.

Le laboratoire Amgen brillait (+12,24%), après avoir relevé le bas de la fourchette de ses prévisions de chiffre d’affaires et de bénéfice net pour l’exercice 2024. Le groupe a été notamment tiré par son anti-choléstérol Rapatha et son traitement contre l’osthéoporose Evenity.

Paramount Global restait orienté à la hausse (+2,02%), après que le Wall Street Journal a fait état, jeudi, d’une offre de rachat formulée par Sony et le gestionnaire d’actifs Apollo Global Management, à hauteur de 26 milliards de dollars.

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Economie: les archives de Avril 2024 – Page 82

Good Evening Business - 01/04Good Evening Business - 01/04

Good Evening Business – 01/04

Ce lundi 1er avril, Étienne Bracq, journaliste BFM Business, Nathan Cocquempot, journaliste BFM Business, Henri Sterdyniak, économiste à l’OFCE, Pascal De Lima, économiste, et Léonidas Kalogeropoulos, PDG de Médiation & Arguments, étaient les invités dans la première partie de l’émission Good Evening Business présentée par Guillaume Paul. Good Evening Business est à voir ou écouter du lundi au jeudi sur BFM Business.

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Paris 2024 : pourquoi la plupart des équipes de France sont-elles qualifiées d’office

C’est leur avant-dernière chance de se qualifier pour les Jeux olympiques. Les membres de l’équipe de France de basket-ball 3×3, une forme de basket-ball qui se joue à 3 joueurs sur un demi-terrain, disputent un tournoi de qualification à Utsunomiya (Japon) du vendredi 3 au dimanche 5 mai.

Un seul ticket pour Paris 2024 est en jeu, offert aux vainqueurs. Si les basketteurs tricolores échouent, il leur restera une dernière chance : s’imposer à Debrecen (Hongrie) du 16 au 19 mai.

Leurs camarades du basket classique, à 5 contre 5, n’ont pas ce genre de souci : Victor Wembanyama et ses coéquipiers sont qualifiés d’office. D’une discipline à l’autre, les règles de qualification divergent dans les sports collectifs.

► La qualification d’office, la norme

La tradition est identique pour les Coupes du monde de football ou de rugby : dans les sports collectifs, le public du pays hôte des Jeux olympiques est assuré de pouvoir supporter ses différentes sélections nationales, féminines et masculines, qui sont qualifiées d’office.

Cette prime aux organisateurs existe en basket-ball, football, handball, rugby à VII, beach-volley, volley-ball et water-polo. Autant de sports où la France peut espérer briller cet été à domicile.

Grâce à cet usage, d’autres pays ont pu engager lors des éditions précédentes des JO des équipes dans des disciplines relativement exotiques pour eux, où leurs représentants évoluent habituellement loin du très haut niveau : le rugby à VII pour le Brésil en 2016 à Rio par exemple ; ou le handball pour l’Australie en 2000 à Sydney. Les handballeurs australiens n’ont d’ailleurs jamais participé aux JO en dehors de cette édition.

► Le basket 3×3, l’exception

Pour le basket 3×3, une discipline nouvelle inscrite pour la première fois au programme olympique pour les Jeux de Tokyo en 2021, le principe de la qualification d’office du pays hôte n’a pas été retenu.

Huit équipes seront engagées chez les hommes et autant chez les femmes. Sont qualifiées les trois premières équipes au classement mondial au 1er novembre 2023, auxquels s’ajoutent les vainqueurs de cinq tournois de qualification.

Les Français ne sont donc pas encore certains d’être de la fête, contrairement aux Françaises, qui sont d’ores et déjà qualifiées.

► Le hockey sur gazon, une qualification sous condition

Pour le hockey sur gazon, le système de qualification est encore différent : le pays hôte est qualifié d’office à la condition que son équipe nationale figure parmi les 25 meilleures mondiales dans les quatre années précédant les Jeux. C’est le cas pour l’équipe de France masculine, absente des Jeux depuis 1974, et aussi pour l’équipe féminine, qui n’avait jamais participé aux JO auparavant.

Les autres qualifiés sont les vainqueurs des cinq championnats continentaux, rejoints par les trois premiers de deux tournois de qualification olympique.

► Le beach-volley, une deuxième place en jeu

Le volley-ball français est assuré d’être représenté en « volley de plage » sur des terrains spécialement aménagés sur le Champ-de-Mars. Au moins deux de ses équipes, une féminine et une masculine, sont qualifiées d’office dans cette spécialité qui se joue à 2 contre 2 sur du sable.

Les autres qualifiés sont les champions du monde en titre et les vainqueurs de cinq tournois continentaux qualificatifs, ainsi que les équipes les mieux classées à la date du 10 juin 2024.

Dans un tournoi olympique qui regroupera 48 duos (24 chez les femmes, 24 chez les hommes), deux paires du même pays peuvent être engagées aux Jeux, chez les femmes comme chez les hommes. La France pourrait ainsi compter quatre équipes qualifiées si un deuxième duo masculin et un deuxième duo féminin figurent parmi les meilleurs mondiaux en juin.

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Dans une économie morose, le luxe fait les yeux doux aux clients chinois

Sirotant du champagne et grignotant des raviolis, l’élite fortunée de Shanghai profitait il y a peu de la soirée post-défilé Louis Vuitton, alors que le secteur du luxe vise la clientèle chinoise pour surmonter le ralentissement économique.

La Chine est le pays le plus dépensier en produits de luxe, représentant la moitié des ventes globales. Mais la consommation dans la deuxième économie mondiale peine à redémarrer depuis les années Covid, suscitant l’inquiétude du secteur.

Les actions de Kering, maison-mère de Gucci, ont chuté en avril après l’annonce d’une baisse de ses ventes de 11% au premier trimestre, imputée notamment aux conditions de marché difficiles en Chine.

« Gucci ne sera pas le seul dans ce cas, d’autres marques souffrent aussi de (la baisse) de la demande intérieure en Chine », explique Fflur Roberts, chargée du secteur du luxe à Euromonitor International, spécialiste des études de marchés.

Dans une économie morose, le luxe fait les yeux doux aux clients chinois

Des enseignes comme Louis Vuitton, bien implanté en Chine, ont organisé ces derniers mois des événements spéciaux ciblant ses VIC, autrement dit « Very important clients ».

Son défilé à Shanghai le mois dernier, baptisé « Voyager », a été présenté par la marque comme le « nouveau chapitre dans la relation longue et forte » qui l’unit à la Chine.

Ses pièces phares, des robes colorées illustrées de dessins d’animaux, sont le fruit d’une collaboration avec l’artiste contemporain chinois Sun Yitian, l’occasion pour la marque française de saluer « l’incroyable vitalité artistique » de la jeunesse chinoise.

Au premier rang du défilé, des stars d’Hollywood comme Cate Blanchett et Jennifer Connelly, mais aussi des ambassadeurs chinois de la marque comme le rappeur Jackson Wang et la chanteuse et actrice Liu Yifei.

« Voyager plus »

LVMH, maison-mère de Louis Vuitton, a vu ses ventes mondiales reculer de 2% au premier trimestre, le groupe citant le contexte en Chine.

« Au premier trimestre de l’année dernière, le marché chinois avait commencé à s’ouvrir » après la pandémie. Les Chinois « avaient eu une année 2022 extrêmement dure (…), il y avait beaucoup d’euphorie », a expliqué le directeur financier Jean-Jacques Guiony à des journalistes.

Dans une économie morose, le luxe fait les yeux doux aux clients chinois

Le soufflet est depuis retombé avec une croissance « autour de 10% » seulement de ses ventes en Chine au premier trimestre.

Si Prada et Hermès ont dépassé les attentes des analystes au premier trimestre, avec 18% et 17% respectivement de hausse de leurs ventes à taux de change constants, dans l’ensemble le marché est au ralenti.

La société de consultants Bain & Company prévoit ainsi une croissance à un chiffre du marché du luxe en Chine cette année, contre 12% en 2023.

« Le ralentissement économique a un impact sur la confiance des consommateurs chinois de luxe », indique Lisa Nan, correspondant du Jing Daily spécialisée dans ce secteur.

« On fait face à des consommateurs de plus en plus prudents et attentifs à la valeur des biens, qui vont aussi vérifier la valeur d’un sac sur le marché d’occasion avant d’acheter ».

Dans une économie morose, le luxe fait les yeux doux aux clients chinois

Après les années Covid, on observe aussi un changement dans les habitudes des consommateurs.

A Shanghai, une passante qui ne donne que son nom de famille — Mme Liu — confie acheter parfois des objets de marques, mais ne ferait jamais la queue pour acheter le dernier sac à la mode.

« Je préfère voyager un peu plus », raconte-t-elle. « Je ne suis pas obsédée par les noms des marques ».

« On n’avait rien »

Cette tendance transparaît dans le récent rapport de la société d’études Hurun sur les préférences des plus riches.

« Il y a un vrai basculement vers des expériences de luxe, plutôt que des biens de luxe », explique Lisa Nan.

Pendant la pandémie, l’absence de touristes chinois à fort pouvoir d’achat avait porté un coup dur au secteur européen du luxe.

Une partie de ces dépenses se sont reportées sur la Chine, et désormais les marques y organisent des événements et créent des biens spécialement pensés pour le géant asiatique, leur premier marché.

Les perspectives pour le secteur restent « compliquées », prévient Fflur Roberts, d’Euromonitor.

Dans une économie morose, le luxe fait les yeux doux aux clients chinois

« Cela étant, il y a encore en Chine plus de 2,5 millions de personnes avec une fortune personnelle nette de plus d’un million de dollars », note-t-elle.

Par une journée ensoleillée dans le centre de Shanghai, on croise encore des passants arborant un sac de luxe pour aller faire leurs emplettes.

« Certains disent que si vous les achetez dans un style classique, alors leur valeur peut s’apprécier et cela peut être un investissement », raconte Winnie, une employée du secteur des médias de 28 ans portant un sac Dior.

« Mais pour moi, ce n’est pas un investissement. Tant que je l’aime, ça me convient ».

Pour Jennifer Sheng, une passante d’une soixantaine d’années, « en Chine, les marques (européennes) sont encore importantes » et beaucoup de Chinois aiment montrer qu’ils possèdent des objets de luxe.

« Il y a 20 ou 30 ans, on n’avait rien », se souvient-elle. Maintenant, « on veut avoir ces choses ».

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L’exécutif embarrassé par l’accord sur les retraites signé à la SNCF

Le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, lors d’un débat d’orientation et de programmation des finances publiques, à l’Assemblée nationale, le 29 avril 2024. Le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, lors d’un débat d’orientation et de programmation des finances publiques, à l’Assemblée nationale, le 29 avril 2024.

Sauver les ponts du mois de mai et les Jeux olympiques, cela a un coût, et pas seulement financier. L’accord sur les fins de carrière signé le 22 avril à la SNCF par les quatre syndicats représentatifs est en train de devenir un boulet politique pour le gouvernement. Depuis que ce dispositif a été rendu public par la presse à la mi-avril, Bercy, Matignon et l’Elysée se renvoient la balle, jurant n’avoir pas été informés en amont, ni n’avoir validé l’accord. Et se défaussent sur le dirigeant de l’entreprise publique, Jean-Pierre Farandou, ainsi que, en creux, sur le ministre délégué chargé des transports, Patrice Vergriete, qui suivait, lui, les négociations.

L’accord prévoit entre autres une amélioration du dispositif de retraite anticipée, en particulier pour les cheminots ayant occupé des postes à la pénibilité avérée. Alors qu’il a permis d’éloigner la menace d’une nouvelle grève des contrôleurs lors des ponts du mois de mai, la droite y voit un contournement de la réforme des retraites adoptée en 2023. Le sujet tombe d’autant plus mal pour le gouvernement qu’il souhaite renforcer le travail des seniors, moins représentés dans le salariat en France qu’ailleurs en Europe, pour tenir son objectif de plein-emploi en 2027.

Bruno Le Maire a manifesté son exaspération, jeudi 2 mai. « Un accord est signé qui engage effectivement les équilibres de la réforme des retraites et les équilibres financiers de la SNCF. Je n’ai pas été averti », a affirmé le ministre de l’économie sur BFM-TV. « Le ministre n’a pas l’habitude d’être informé par la presse », s’agace son entourage. « Cet accord n’est pas satisfaisant à mes yeux, il y a eu un dysfonctionnement », a déclaré M. Le Maire.

Le numéro deux du gouvernement a annoncé avoir « convoqué » dans les prochains jours Jean-Pierre Farandou, le PDG de l’entreprise publique, dont Bercy a en partie la tutelle via l’agence des participations de l’Etat (APE), pour qu’il lui « rende des comptes ». Cet accord est « provocant pour beaucoup de nos compatriotes » et « donne le sentiment d’un deux poids deux mesures », a insisté le locataire de Bercy. Le PDG devra aussi s’expliquer devant les sénateurs le 7 mai.

« Le contribuable ne versera pas un centime »

Les oppositions n’avaient pas attendu les explications de l’exécutif pour s’emparer du sujet, lors de la séance de questions au gouvernement, le 30 avril. « De quel droit une entreprise publique permet-elle à ses employés de s’exonérer d’une réforme qui s’applique à tous les Français, a réagi le député (Horizons) du Rhône Alexandre Vincendet, alors que l’Etat a repris à son compte la dette de la SNCF à hauteur de 35 milliards d’euros entre 2020 et 2021 ? »

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Opinion | Paris 2024 : les oubliés des Jeux Olympiques

Les métiers de services à domicile, souvent invisibles mais pourtant essentiels, se retrouvent confrontés à une situation sans précédent. Les restrictions de circulation, les fermetures de stations de métro et la hausse des billets de transport, ainsi que l’afflux massif de visiteurs pendant les Jeux Olympiques de Paris 2024 risquent de compliquer grandement leur mission : celle d’accéder aux domiciles des personnes en perte d’autonomie, notamment les personnes âgées, les personnes handicapées ou encore celles en situation d’isolement social.

Des services essentiels rappelons-le : pour beaucoup de ces bénéficiaires, ils représentent bien plus qu’une simple visite, ils sont un besoin vital pour certains, un lien social, un soutien quotidien et parfois le seul contact humain de la journée. La perspective de voir ces services perturbés ou, pire, suspendus, même temporairement, soulève des inquiétudes légitimes quant à la santé et au bien-être de ces individus fragiles.

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