Wall Street ouvre en hausse, aidée par une décélération de l’emploi américain

La Bourse de New York a ouvert en hause, vendredi, satisfaite de voir le marché de l’emploi et les salaires décélérer, sans s’effondrer pour autant, ce qui maintient intacte la perspective d’une baisse de taux d’ici la fin de l’année.

Vers 13H55 GMT, le Dow Jones s’appréciait de 1,44%, l’indice Nasdaq prenait 2,17% et l’indice élargi S&P 500 progressait de 1,39%.

Le marché a bien accueilli le fait que l’économie américaine n’ait créé que 175.000 emplois en avril, alors que les économistes prédisaient 240.000 postes supplémentaires.

« L’important, c’est la Fed (banque centrale américaine) », a expliqué Adam Sarhan, de 50 Park Investments. « Un faible chiffre de créations d’emplois ôte un peu de pression à l’économie. C’est une bonne nouvelle pour la Fed, qui peut envisager de réduire ses taux. »

Le rapport du ministère du Travail a également montré que le salaire moyen n’avait augmenté que de 0,2% sur un mois, contre 0,3% calculé par les économistes. Sur un an, le rythme ressort à 3,9%, en-deçà de 4% pour la première fois depuis juin 2021.

« Ces chiffres renforcent l’idée que la thèse centrale est celle de baisses de taux cette année, et non de hausses », a abondé, dans une note, Rubeela Farooqi, de High Frequency Economics.

Ces derniers jours, la crainte d’un nouveau tour de vis monétaire avait fait surface, justifiée par la ténacité de l’inflation aux Etats-Unis.

La communication de la Fed, mercredi, avait déjà rassuré sur ce point, le président de l’institution, Jerome Powell, balayant la possibilité d’une hausse de taux.

Le marché obligataire a brutalement réagi, le rendement des emprunts d’Etat américains à 2 ans tombant à 4,70%, au plus bas depuis près d’un mois, contre 4,87% la veille.

Les opérateurs attribuent désormais une probabilité de plus de 67% à l’hypothèse comprenant au moins deux baisses de taux de la Fed d’ici fin 2024.

Au terme d’une semaine positive pour les actions, les indices approchent de seuils techniques importants, en particulier la moyenne des 50 dernières séances.

« On pourrait buter dessus, ou même la franchir et se replier », prévient Adam Sahran.

Malgré trois séances de bonne tenue, « tout peut encore arriver », avertit le gérant, pour qui un indice de prix CPI trop élevé (le 15 mai) ou de mauvais résultats de sociétés « peuvent renverser le marché ». « Nous ne sommes pas encore tirés d’affaire. »

A la cote, le secteur technologique restait aux avant-postes.

Apple caracolait (+6,35%), sur la foi de résultats supérieurs aux projections des analystes mais aussi à l’annonce d’un programme massif de rachat d’actions, à hauteur de 110 milliards de dollars.

Le groupe de Cupertino (Californie) a enregistré un tassement des ventes d’iPhone, mais une croissance plus soutenue qu’anticipé dans les services (App Store, Apple Music, Apple TV+, iCloud).

En six ans, l’entreprise à la pomme a annoncé pour 605 milliards de dollars de rachats d’actions au total.

Le concepteur de semi-conducteurs Nvidia était aussi à la fête (+3,40%). Depuis son trou d’air de mi-avril, le titre a regagné plus de 16%.

La plateforme hôtelière Expedia trébuchait (-12,66%), après avoir abaissé sa prévision de chiffre d’affaires pour son exercice 2024, du fait de réservations moins dynamiques que projeté, en particulier pour sa filiale Vrbo.

Le confiseur Hershey avançait (+0,40%), après avoir publié des résultats meilleurs qu’attendu, des hausses de prix et des gains de productivité ayant plus que compensé la flambée des cours des matières premières, en particulier le cacao.

Le laboratoire Amgen brillait (+12,24%), après avoir relevé le bas de la fourchette de ses prévisions de chiffre d’affaires et de bénéfice net pour l’exercice 2024. Le groupe a été notamment tiré par son anti-choléstérol Rapatha et son traitement contre l’osthéoporose Evenity.

Paramount Global restait orienté à la hausse (+2,02%), après que le Wall Street Journal a fait état, jeudi, d’une offre de rachat formulée par Sony et le gestionnaire d’actifs Apollo Global Management, à hauteur de 26 milliards de dollars.

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Economie: les archives de Avril 2024 – Page 82

Good Evening Business - 01/04Good Evening Business - 01/04

Good Evening Business – 01/04

Ce lundi 1er avril, Étienne Bracq, journaliste BFM Business, Nathan Cocquempot, journaliste BFM Business, Henri Sterdyniak, économiste à l’OFCE, Pascal De Lima, économiste, et Léonidas Kalogeropoulos, PDG de Médiation & Arguments, étaient les invités dans la première partie de l’émission Good Evening Business présentée par Guillaume Paul. Good Evening Business est à voir ou écouter du lundi au jeudi sur BFM Business.

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Paris 2024 : pourquoi la plupart des équipes de France sont-elles qualifiées d’office

C’est leur avant-dernière chance de se qualifier pour les Jeux olympiques. Les membres de l’équipe de France de basket-ball 3×3, une forme de basket-ball qui se joue à 3 joueurs sur un demi-terrain, disputent un tournoi de qualification à Utsunomiya (Japon) du vendredi 3 au dimanche 5 mai.

Un seul ticket pour Paris 2024 est en jeu, offert aux vainqueurs. Si les basketteurs tricolores échouent, il leur restera une dernière chance : s’imposer à Debrecen (Hongrie) du 16 au 19 mai.

Leurs camarades du basket classique, à 5 contre 5, n’ont pas ce genre de souci : Victor Wembanyama et ses coéquipiers sont qualifiés d’office. D’une discipline à l’autre, les règles de qualification divergent dans les sports collectifs.

► La qualification d’office, la norme

La tradition est identique pour les Coupes du monde de football ou de rugby : dans les sports collectifs, le public du pays hôte des Jeux olympiques est assuré de pouvoir supporter ses différentes sélections nationales, féminines et masculines, qui sont qualifiées d’office.

Cette prime aux organisateurs existe en basket-ball, football, handball, rugby à VII, beach-volley, volley-ball et water-polo. Autant de sports où la France peut espérer briller cet été à domicile.

Grâce à cet usage, d’autres pays ont pu engager lors des éditions précédentes des JO des équipes dans des disciplines relativement exotiques pour eux, où leurs représentants évoluent habituellement loin du très haut niveau : le rugby à VII pour le Brésil en 2016 à Rio par exemple ; ou le handball pour l’Australie en 2000 à Sydney. Les handballeurs australiens n’ont d’ailleurs jamais participé aux JO en dehors de cette édition.

► Le basket 3×3, l’exception

Pour le basket 3×3, une discipline nouvelle inscrite pour la première fois au programme olympique pour les Jeux de Tokyo en 2021, le principe de la qualification d’office du pays hôte n’a pas été retenu.

Huit équipes seront engagées chez les hommes et autant chez les femmes. Sont qualifiées les trois premières équipes au classement mondial au 1er novembre 2023, auxquels s’ajoutent les vainqueurs de cinq tournois de qualification.

Les Français ne sont donc pas encore certains d’être de la fête, contrairement aux Françaises, qui sont d’ores et déjà qualifiées.

► Le hockey sur gazon, une qualification sous condition

Pour le hockey sur gazon, le système de qualification est encore différent : le pays hôte est qualifié d’office à la condition que son équipe nationale figure parmi les 25 meilleures mondiales dans les quatre années précédant les Jeux. C’est le cas pour l’équipe de France masculine, absente des Jeux depuis 1974, et aussi pour l’équipe féminine, qui n’avait jamais participé aux JO auparavant.

Les autres qualifiés sont les vainqueurs des cinq championnats continentaux, rejoints par les trois premiers de deux tournois de qualification olympique.

► Le beach-volley, une deuxième place en jeu

Le volley-ball français est assuré d’être représenté en « volley de plage » sur des terrains spécialement aménagés sur le Champ-de-Mars. Au moins deux de ses équipes, une féminine et une masculine, sont qualifiées d’office dans cette spécialité qui se joue à 2 contre 2 sur du sable.

Les autres qualifiés sont les champions du monde en titre et les vainqueurs de cinq tournois continentaux qualificatifs, ainsi que les équipes les mieux classées à la date du 10 juin 2024.

Dans un tournoi olympique qui regroupera 48 duos (24 chez les femmes, 24 chez les hommes), deux paires du même pays peuvent être engagées aux Jeux, chez les femmes comme chez les hommes. La France pourrait ainsi compter quatre équipes qualifiées si un deuxième duo masculin et un deuxième duo féminin figurent parmi les meilleurs mondiaux en juin.

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Dans une économie morose, le luxe fait les yeux doux aux clients chinois

Sirotant du champagne et grignotant des raviolis, l’élite fortunée de Shanghai profitait il y a peu de la soirée post-défilé Louis Vuitton, alors que le secteur du luxe vise la clientèle chinoise pour surmonter le ralentissement économique.

La Chine est le pays le plus dépensier en produits de luxe, représentant la moitié des ventes globales. Mais la consommation dans la deuxième économie mondiale peine à redémarrer depuis les années Covid, suscitant l’inquiétude du secteur.

Les actions de Kering, maison-mère de Gucci, ont chuté en avril après l’annonce d’une baisse de ses ventes de 11% au premier trimestre, imputée notamment aux conditions de marché difficiles en Chine.

« Gucci ne sera pas le seul dans ce cas, d’autres marques souffrent aussi de (la baisse) de la demande intérieure en Chine », explique Fflur Roberts, chargée du secteur du luxe à Euromonitor International, spécialiste des études de marchés.

Dans une économie morose, le luxe fait les yeux doux aux clients chinois

Des enseignes comme Louis Vuitton, bien implanté en Chine, ont organisé ces derniers mois des événements spéciaux ciblant ses VIC, autrement dit « Very important clients ».

Son défilé à Shanghai le mois dernier, baptisé « Voyager », a été présenté par la marque comme le « nouveau chapitre dans la relation longue et forte » qui l’unit à la Chine.

Ses pièces phares, des robes colorées illustrées de dessins d’animaux, sont le fruit d’une collaboration avec l’artiste contemporain chinois Sun Yitian, l’occasion pour la marque française de saluer « l’incroyable vitalité artistique » de la jeunesse chinoise.

Au premier rang du défilé, des stars d’Hollywood comme Cate Blanchett et Jennifer Connelly, mais aussi des ambassadeurs chinois de la marque comme le rappeur Jackson Wang et la chanteuse et actrice Liu Yifei.

« Voyager plus »

LVMH, maison-mère de Louis Vuitton, a vu ses ventes mondiales reculer de 2% au premier trimestre, le groupe citant le contexte en Chine.

« Au premier trimestre de l’année dernière, le marché chinois avait commencé à s’ouvrir » après la pandémie. Les Chinois « avaient eu une année 2022 extrêmement dure (…), il y avait beaucoup d’euphorie », a expliqué le directeur financier Jean-Jacques Guiony à des journalistes.

Dans une économie morose, le luxe fait les yeux doux aux clients chinois

Le soufflet est depuis retombé avec une croissance « autour de 10% » seulement de ses ventes en Chine au premier trimestre.

Si Prada et Hermès ont dépassé les attentes des analystes au premier trimestre, avec 18% et 17% respectivement de hausse de leurs ventes à taux de change constants, dans l’ensemble le marché est au ralenti.

La société de consultants Bain & Company prévoit ainsi une croissance à un chiffre du marché du luxe en Chine cette année, contre 12% en 2023.

« Le ralentissement économique a un impact sur la confiance des consommateurs chinois de luxe », indique Lisa Nan, correspondant du Jing Daily spécialisée dans ce secteur.

« On fait face à des consommateurs de plus en plus prudents et attentifs à la valeur des biens, qui vont aussi vérifier la valeur d’un sac sur le marché d’occasion avant d’acheter ».

Dans une économie morose, le luxe fait les yeux doux aux clients chinois

Après les années Covid, on observe aussi un changement dans les habitudes des consommateurs.

A Shanghai, une passante qui ne donne que son nom de famille — Mme Liu — confie acheter parfois des objets de marques, mais ne ferait jamais la queue pour acheter le dernier sac à la mode.

« Je préfère voyager un peu plus », raconte-t-elle. « Je ne suis pas obsédée par les noms des marques ».

« On n’avait rien »

Cette tendance transparaît dans le récent rapport de la société d’études Hurun sur les préférences des plus riches.

« Il y a un vrai basculement vers des expériences de luxe, plutôt que des biens de luxe », explique Lisa Nan.

Pendant la pandémie, l’absence de touristes chinois à fort pouvoir d’achat avait porté un coup dur au secteur européen du luxe.

Une partie de ces dépenses se sont reportées sur la Chine, et désormais les marques y organisent des événements et créent des biens spécialement pensés pour le géant asiatique, leur premier marché.

Les perspectives pour le secteur restent « compliquées », prévient Fflur Roberts, d’Euromonitor.

Dans une économie morose, le luxe fait les yeux doux aux clients chinois

« Cela étant, il y a encore en Chine plus de 2,5 millions de personnes avec une fortune personnelle nette de plus d’un million de dollars », note-t-elle.

Par une journée ensoleillée dans le centre de Shanghai, on croise encore des passants arborant un sac de luxe pour aller faire leurs emplettes.

« Certains disent que si vous les achetez dans un style classique, alors leur valeur peut s’apprécier et cela peut être un investissement », raconte Winnie, une employée du secteur des médias de 28 ans portant un sac Dior.

« Mais pour moi, ce n’est pas un investissement. Tant que je l’aime, ça me convient ».

Pour Jennifer Sheng, une passante d’une soixantaine d’années, « en Chine, les marques (européennes) sont encore importantes » et beaucoup de Chinois aiment montrer qu’ils possèdent des objets de luxe.

« Il y a 20 ou 30 ans, on n’avait rien », se souvient-elle. Maintenant, « on veut avoir ces choses ».

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L’exécutif embarrassé par l’accord sur les retraites signé à la SNCF

Le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, lors d’un débat d’orientation et de programmation des finances publiques, à l’Assemblée nationale, le 29 avril 2024. Le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, lors d’un débat d’orientation et de programmation des finances publiques, à l’Assemblée nationale, le 29 avril 2024.

Sauver les ponts du mois de mai et les Jeux olympiques, cela a un coût, et pas seulement financier. L’accord sur les fins de carrière signé le 22 avril à la SNCF par les quatre syndicats représentatifs est en train de devenir un boulet politique pour le gouvernement. Depuis que ce dispositif a été rendu public par la presse à la mi-avril, Bercy, Matignon et l’Elysée se renvoient la balle, jurant n’avoir pas été informés en amont, ni n’avoir validé l’accord. Et se défaussent sur le dirigeant de l’entreprise publique, Jean-Pierre Farandou, ainsi que, en creux, sur le ministre délégué chargé des transports, Patrice Vergriete, qui suivait, lui, les négociations.

L’accord prévoit entre autres une amélioration du dispositif de retraite anticipée, en particulier pour les cheminots ayant occupé des postes à la pénibilité avérée. Alors qu’il a permis d’éloigner la menace d’une nouvelle grève des contrôleurs lors des ponts du mois de mai, la droite y voit un contournement de la réforme des retraites adoptée en 2023. Le sujet tombe d’autant plus mal pour le gouvernement qu’il souhaite renforcer le travail des seniors, moins représentés dans le salariat en France qu’ailleurs en Europe, pour tenir son objectif de plein-emploi en 2027.

Bruno Le Maire a manifesté son exaspération, jeudi 2 mai. « Un accord est signé qui engage effectivement les équilibres de la réforme des retraites et les équilibres financiers de la SNCF. Je n’ai pas été averti », a affirmé le ministre de l’économie sur BFM-TV. « Le ministre n’a pas l’habitude d’être informé par la presse », s’agace son entourage. « Cet accord n’est pas satisfaisant à mes yeux, il y a eu un dysfonctionnement », a déclaré M. Le Maire.

Le numéro deux du gouvernement a annoncé avoir « convoqué » dans les prochains jours Jean-Pierre Farandou, le PDG de l’entreprise publique, dont Bercy a en partie la tutelle via l’agence des participations de l’Etat (APE), pour qu’il lui « rende des comptes ». Cet accord est « provocant pour beaucoup de nos compatriotes » et « donne le sentiment d’un deux poids deux mesures », a insisté le locataire de Bercy. Le PDG devra aussi s’expliquer devant les sénateurs le 7 mai.

« Le contribuable ne versera pas un centime »

Les oppositions n’avaient pas attendu les explications de l’exécutif pour s’emparer du sujet, lors de la séance de questions au gouvernement, le 30 avril. « De quel droit une entreprise publique permet-elle à ses employés de s’exonérer d’une réforme qui s’applique à tous les Français, a réagi le député (Horizons) du Rhône Alexandre Vincendet, alors que l’Etat a repris à son compte la dette de la SNCF à hauteur de 35 milliards d’euros entre 2020 et 2021 ? »

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La Triade de Caroline du Nord tente de réinventer son économie

Scott Kidd ne s’attendait pas à un travail très chargé lorsqu’il est devenu directeur municipal de Liberty, en Caroline du Nord, un ancien centre de meubles et de textiles dont le rythme était plus récemment centré sur un festival annuel d’antiquités.

Ces moments calmes, il y a moins de trois ans, se sont vite transformés en tourbillon. Toyota a annoncé qu’elle construisait une usine de batteries dans la banlieue rurale de la ville pour les véhicules électriques et hybrides, et depuis lors, M. Kidd a révisé les ordonnances, rencontré les promoteurs immobiliers et cherché par ailleurs à répondre aux besoins d’une installation de sept millions de pieds carrés. .

Ce regain d’activité reflète de nouveaux investissements dans une région de Caroline du Nord à la traîne : la Triade. Le revenu moyen dans le comté de Randolph, qui comprend Liberty, est de 47 000 $, et certains emplois chez Toyota offriront un salaire horaire confortablement supérieur à ce montant. Davantage de personnes s’installant dans la région pourraient redonner vie au centre-ville de Liberty.

Mais les dividendes potentiels pour la région – qui comprend Greensboro, Winston-Salem et High Point, au centre de l’État – dépendent de la capacité de doter ses travailleurs des compétences nécessaires pour ces nouveaux emplois. M. Kidd s’inquiétait du fait que de nombreux travailleurs locaux n’avaient pas l’éducation et les compétences nécessaires pour travailler à l’usine.

Pour ces emplois, « ils n’écrivent rien – ils le mettent dans un ordinateur », a déclaré M. Kidd. « Et si vous ne savez pas comment faire ça, vous vous faites en quelque sorte éliminer. »

Dans le même temps, certains résidents et dirigeants locaux qui accueillent favorablement les nouvelles industries s’inquiètent du maintien du caractère de la région, de peur qu’elle ne devienne comme les expansions tentaculaires à croissance rapide – et coûteuses – ailleurs dans le Sud.

« Nous ne voulons pas être Charlotte », a déclaré Marvin Price, vice-président exécutif du développement économique à la Chambre de commerce de Greensboro, faisant référence au centre bancaire situé à 160 kilomètres sur l’Interstate 85. « Nous voulons être la meilleure version de Greensboro. »

Comme de nombreux États, la Caroline du Nord a tiré parti de nouvelles incitations fédérales et étatiques pour attirer des entreprises de fabrication et de technologies propres plus avancées. Et la Triade, bâtie sur les industries du tabac, du textile et du meuble, tente de s’orienter vers une production manufacturière de pointe, offrant un modèle potentiel à d’autres régions dont les moteurs économiques ont chancelé avec la mondialisation et la montée de l’automatisation.

Lors de son ouverture l’année prochaine, l’usine Liberty de Toyota fabriquera des batteries pour les véhicules construits dans le Kentucky. À dix minutes de Siler City, Wolfspeed, un fabricant de semi-conducteurs, construit une usine avec un investissement de 5 milliards de dollars. Toyota a reçu près de 500 millions de dollars d’incitations et d’allégements fiscaux de la part de l’État de Caroline du Nord, tandis que des lois fédérales telles que la loi sur la réduction de l’inflation de 2022, la loi CHIPS et la loi sur l’investissement dans les infrastructures et l’emploi ont attiré les investissements.

« Les politiques de l’administration Biden ont aidé la Caroline du Nord et en particulier la Triade à devenir un épicentre d’énergie propre dans ce pays », a déclaré le gouverneur Roy Cooper, démocrate, lors d’un récent événement à Greensboro.

Depuis des décennies, la Triade constitue la base manufacturière de l’État. High Point est devenue connue comme la capitale mondiale de l’ameublement, la ville et ses environs représentant 60 pour cent de la production de meubles du pays à son apogée. Outre les meubles, Greensboro et Winston-Salem se sont spécialisés dans le textile et le tabac. Et tandis que le Triangle de Recherche de Raleigh, Durham et Chapel Hill comptait des universités renommées comme l’Université de Caroline du Nord, Duke et l’État de Caroline du Nord, la Triade avait l’Université de Wake Forest.

Mais comme c’est le cas pour de nombreuses régions manufacturières, sa fortune a commencé à décliner dans les années 1970. Les emplois dans le textile ont commencé à être transférés à l’étranger ou automatisés, les meubles ont diminué avec l’arrivée d’importations chinoises moins chères et le tabac a diminué en raison de la baisse du tabagisme. Les usines ont fermé leurs portes, sont restées vacantes pendant des décennies et les centres-villes ont stagné.

Dans le même temps, l’économie du Triangle, qui possédait le plus grand parc de recherche d’entreprises du pays, a décollé à mesure que les entreprises de recherche et de technologie se développaient. En 2001, le Triangle de la Recherche et la Triade avaient à peu près la même production économique ; en 2021, les deux avaient divergé. Les deux régions ont gagné en population, mais le Triangle a connu une croissance plus rapide, soutenu par un nombre croissant de travailleurs ayant fait des études universitaires.

Certaines industries ont reçu une bouée de sauvetage ces dernières années : l’ameublement a explosé au plus fort de la pandémie en raison de la demande accrue d’articles d’ameublement, et l’industrie manufacturière a refait surface dans tout le pays. Mais des centaines de travailleurs ont perdu leur emploi l’année dernière en raison de la fermeture de plusieurs usines.

« Cette partie de l’État s’est retrouvée dans une situation où elle doit se diversifier », a déclaré Jerry Fox, professeur d’économie à l’université High Point. «C’est une opportunité pour les gens de notre région d’avoir des emplois mieux rémunérés.»

Les signes de changement sont évidents dans les centres-villes. À High Point, une usine de bonneterie est restée vacante pendant des décennies, ouvrant uniquement pour des salles d’exposition de meubles semestrielles. Mais en 2021, un groupe d’investisseurs locaux s’est associé à la Chambre de commerce de la ville et à une fondation locale qui ont fait don de plus de 40 millions de dollars pour convertir le site en un espace de coworking, Congdon Yards. Il abrite aujourd’hui une cinquantaine d’employeurs et 360 salariés.

Des projets similaires ont été entrepris à Winston-Salem et Greensboro. Au centre-ville de Winston-Salem, d’anciennes usines de cigarettes sont devenues le Wake Forest Innovation Quarter, un quartier axé sur la recherche qui a coûté plus de 500 millions de dollars. À Greensboro, l’une des plus anciennes usines textiles de la ville a été transformée en un complexe à usage mixte, doté d’équipements comme une pizzeria et de bureaux.

Il reste néanmoins des défis à relever.

L’une d’elles prépare les travailleurs de la région à des emplois qui nécessitent des compétences différentes. Thomas Built, un constructeur de bus basé à High Point depuis 1916, fabrique des bus électriques au cours de la dernière décennie. Elle compte près de 2 000 employés à High Point, ce qui en fait l’un des meilleurs employeurs de la ville.

Kevin Bangston, directeur général de Thomas Built, a déclaré que l’entreprise avait embauché plus de 300 travailleurs au cours des 15 derniers mois. Mais il a eu du mal à embaucher pour des emplois plus qualifiés qui gèrent les processus automatisés dans l’usine.

« La demande est très élevée pour ces postes et l’offre est très faible », a déclaré M. Bangston.

La clé de cette transition réside dans le rôle des programmes de développement de la main-d’œuvre, qui impliquent des partenariats entre les entreprises et les collèges communautaires pour fournir les compétences nécessaires pour travailler dans le secteur de la fabrication de pointe.

Une école offrant une telle formation est le Guilford Technical Community College, le site de l’apparition de M. Cooper à Greensboro. Lors du même événement, Jill Biden, la première dame, a souligné ce qu’elle considérait comme l’importance de tels programmes pour mettre en œuvre le programme économique du président Biden.

L’école propose des apprentissages, permettant aux étudiants de travailler tout en obtenant un diplôme d’associé. Un programme, conçu par Toyota, vise à qualifier les travailleurs pour des emplois dans l’entreprise.

Devante Cuthbertson, 28 ans, a grandi à Greensboro et travaillait pour une entreprise de revêtement de sol à environ 30 minutes en tant qu’opérateur de machine, mais il a quitté cet emploi en 2023 pour rejoindre le programme d’apprentissage de Guilford Tech. Là-bas, il suit des cours deux fois par semaine et se rend trois fois par semaine sur le site de l’usine de batteries Toyota pour suivre un programme d’apprentissage, appliquant l’apprentissage en classe sur l’électricité, les commandes de moteur et les composants des batteries de voiture.

«Je voulais m’assurer d’avoir une éducation», a déclaré M. Cuthbertson, qui a déclaré qu’il avait l’intention de postuler pour un emploi chez Toyota en tant que technicien de maintenance lorsqu’il obtiendra son diplôme en 2025.

Anthony Clarke, président de Guilford Tech, a déclaré que l’arrivée de Toyota – avec la promesse d’emplois bien rémunérés – avait stimulé l’intérêt pour les programmes de l’école.

« Chaque fois que les employeurs se lèvent et disent : « Hé, nous avons des emplois vraiment bien rémunérés », les étudiants y prêtent attention et ils se ruent vers cela », a déclaré le Dr Clarke.

Les dirigeants du développement économique et les élus ont cité le caractère abordable de la région comme un attrait pour les entreprises et les travailleurs, d’autant plus que les coûts du logement ont grimpé en flèche à l’échelle nationale. Selon Zillow, la valeur moyenne des maisons dans les trois principales villes de la Triade est d’environ 250 000 dollars, contre plus de 300 000 dollars pour l’État dans son ensemble et plus de 400 000 dollars dans le Triangle.

La Triade est devenue une destination pour certains travailleurs diplômés qui quittent les villes côtières. Avec son mari, qui travaillait pour Nike, Melissa Binder a quitté Portland, Oregon, en 2019 pour Winston-Salem pour élever leur enfant. Ils ont acheté leur maison pour 315 000 $ en 2019 et Mme Binder a déclaré qu’elle offrait plus d’espace que la maison qu’ils possédaient à Portland.

Après avoir loué pendant plusieurs années dans le West Village de New York, Julia et Ryan Hennessee savaient qu’ils voulaient une maison pour élever une famille. En 2018, ils ont choisi Winston-Salem pour se rapprocher de la famille de M. Hennessee et ont acheté une maison unifamiliale pour 445 000 $.

Les Hennessees ont déclaré qu’ils saluaient la croissance offerte par l’arrivée d’entreprises comme Toyota. Dans le même temps, ils souhaitent que Winston-Salem conserve le charme d’une petite ville qui les a attirés dans la région – ainsi que le coût de la vie – et ne devienne pas comme les autres villes du Sud.

« Winston sait à quel point c’est différent d’un endroit comme Atlanta et n’a pas l’ambition de le devenir », a déclaré Mme Hennessee.

Mais pour d’autres membres de la Triade, en particulier dans les régions plus rurales comme Liberty, la transition pourrait s’avérer plus difficile.

Brenda Hornsby Heindl, bibliothécaire à Liberty, a déclaré que l’usine Toyota pourrait améliorer la fortune de la ville. Mais l’enseignement primaire dans le comté reste sous-financé, a-t-elle déclaré, et les niveaux d’alphabétisation sont inférieurs à la moyenne de l’État.

« Même si mon objectif pour l’avenir de notre communauté est que n’importe qui puisse postuler comme ingénieur chez Toyota, nous avons actuellement des adultes et des enfants qui ne savent pas lire une candidature », a déclaré Mme Hornsby Heindl. « Il faudra plus que Toyota pour que cela se produise. »

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Dictionnaire analytique d’économie politique/M.,Redirection vers la description .

Borderless AI et Nium Forge Alliance pour rationaliser les paiements internationaux EOR

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Borderless AI, une société Employer of Record (EOR), a annoncé son partenariat avec Nium, un fournisseur de services de paiement transfrontalier. L’objectif de cette alliance est d’améliorer les paiements internationaux au sein du secteur EOR. Ce partenariat constitue un pas en avant dans l’amélioration de la rapidité, de la transparence et de l’efficacité des solutions mondiales d’emploi et de traitement des salaires.

La technologie de Nium permet à l’IA sans frontières de gérer efficacement les équipes distantes

En s’associant à Nium’s, Borderless AI sera en mesure de faciliter les opérations en fournissant des solutions de paiement rapides, plus efficaces et plus solides. Cela aide les entreprises à mieux superviser les équipes distantes, à payer les sous-traitants et les travailleurs sans délai et à gérer les complexités internationales.

Le système de paiement et le réseau mondial de Nium permettent un transfert transparent entre différents pays, évitant les intermédiaires et réduisant les délais de transaction. Grâce à la technologie de Nium, Borderless AI peut transférer rapidement de l’argent aux clients. Cela aidera à gérer les engagements financiers, les dépenses, les impôts et la paie dans plus de 190 pays.

Borderless AI cherche à permettre aux entreprises de mieux gérer leur personnel mondial

Certains avantages dont bénéficient des sociétés comme MG2 Corporation et Affiniti Finance incluent des paiements plus rapides et moins chers entre différents pays, un accès mondial à plus de 190 pays et 100 devises, avec des fonds accessibles instantanément sur 100 marchés. En outre, cette collaboration favorise une expansion mondiale de manière conforme, en respectant les lois locales et en maintenant des mesures de sécurité strictes.

Le cofondateur et PDG de Nium, Prajit Nanu, a déclaré que Borderless AI a un impact sur le secteur EOR en évolution.

Il a noté que leur équipe est heureuse de travailler avec eux. Nanu a en outre souligné qu’en combinant les connaissances EOR de Borderless AI avec les solutions de paiement international en temps réel de Nium, la société permet aux entreprises de briser les barrières géographiques et de créer de nouvelles opportunités de développement.

Le PDG de Borderless AI, Willson Cross, a commenté cette évolution. Il a déclaré que le partenariat avec Nium constitue un grand pas en avant dans leur objectif de fournir des services de paie dans plusieurs pays et une valeur inégalée à leurs clients.

Il a ajouté qu’en utilisant la technologie révolutionnaire de Nium, l’équipe cherche à permettre aux entreprises de superviser efficacement leur personnel mondial tout en garantissant des paiements internationaux rapides et sécurisés.

Dans le cadre de cette collaboration, Borderless AI révèle la nomination d’Umesh Maini au poste de directeur des produits et de Rajesh Venkatesh au poste de directeur des paiements.

Maini, qui occupait auparavant le poste de chef des produits chez Buckzy, apporte l’expertise de la Banque TD et de Western Union dans le secteur des paiements. Venkatesh a 15 ans d’expérience professionnelle, ayant auparavant travaillé en tant que directeur des produits chez Nium et occupé des postes de direction chez eBay et PayPal.

À propos d’Ali Raza INVESTISSEUR PRO

Ali est un journaliste professionnel avec une expérience dans le journalisme et le marketing Web3. Ali est titulaire d’une maîtrise en finance et aime écrire sur les crypto-monnaies et la fintech. Le travail d’Ali a été publié dans un certain nombre de publications de premier plan sur les cryptomonnaies, notamment Capital.com, CryptoSlate, Securities.io, Invezz.com, Business2Community, BeinCrypto, etc.

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Opinion | Paris 2024 : les oubliés des Jeux Olympiques

Les métiers de services à domicile, souvent invisibles mais pourtant essentiels, se retrouvent confrontés à une situation sans précédent. Les restrictions de circulation, les fermetures de stations de métro et la hausse des billets de transport, ainsi que l’afflux massif de visiteurs pendant les Jeux Olympiques de Paris 2024 risquent de compliquer grandement leur mission : celle d’accéder aux domiciles des personnes en perte d’autonomie, notamment les personnes âgées, les personnes handicapées ou encore celles en situation d’isolement social.

Des services essentiels rappelons-le : pour beaucoup de ces bénéficiaires, ils représentent bien plus qu’une simple visite, ils sont un besoin vital pour certains, un lien social, un soutien quotidien et parfois le seul contact humain de la journée. La perspective de voir ces services perturbés ou, pire, suspendus, même temporairement, soulève des inquiétudes légitimes quant à la santé et au bien-être de ces individus fragiles.

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Lagardère : Jean-Christophe Thiery, PDG par intérim à la place d’Arnaud Lagardère

(AOF) – En pleine tempête judiciaire, Arnaud Lagardère, le PDG du groupe éponyme, dont il avait hérité en 2003, est contraint de se démettre de ses fonctions à titre provisoire. Le Conseil d’Administration a décidé à l’unanimité de coopter Jean-Christophe Thiery en qualité d’administrateur et de désigner celui-ci en qualité de PDG de Lagardère SA. Cette disposition intervient dans le cadre de la mise en examen d’Arnaud Lagardère pour  » diffusion d’informations fausses ou trompeuses, achat de vote, abus de biens sociaux et abus de pouvoir et non-dépôt de comptes « .

Le groupe Lagardère indique dans un communiqué qu’Arnaud Lagardère  » conteste fermement  » les faits qui lui sont reprochés, ainsi que la mesure provisoire d’interdiction de gérer,  » contre laquelle il va faire appel mais qui le contraint néanmoins à se démettre de ses mandats exécutifs au sein du groupe, en dépit du recours « .

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Hôtellerie : auprès des inspecteurs de la répression des fraudes

Publié le 01/05/2024 21:57

Durée de la vidéo : 2 min

Hôtellerie : auprès des inspecteurs de la répression des fraudes
Hôtellerie : auprès des inspecteurs de la répression des fraudes Hôtellerie : auprès des inspecteurs de la répression des fraudes (France 2)

Alors que la France s’apprête à accueillir des millions de visiteurs pour les Jeux Olympiques, les autorités contrôlent les hôtels, qui seront en première ligne. Les fraudes sont en effet nombreuses. Reportage auprès d’inspecteurs de la DGCCRF, qui vérifie si les engagements sont bien tenus.

Les inspecteurs de la répression des fraudes ont ce jour dans le viseur un hôtel déjà épinglé, près du Stade de France (Seine-Saint-Denis). Depuis le dernier contrôle, les étoiles ont disparu de la façade. L’établissement indiquait être un deux-étoiles, alors qu’il n’en avait aucune. À l’intérieur, le montant de la taxe de séjour n’est en revanche affiché nulle part. « C’est une amende administrative qui peut aller jusqu’à 15 000 euros », indique Pierre Mahé, inspecteur de la DGCCRF. 

Les tarifs ne sont pas non plus mentionnés dans les chambres. L’hôtel risque plusieurs centaines de milliers d’euros de pénalités. « Ça fait réfléchir, c’est sûr », admet la fille du propriétaire. 60% des hôtels inspectés, de petits établissements ou des grandes chaînes, ne sont pas en règle. Dans l’un d’eux, le prix est bien écrit mais il est précisé « hors évènement », une mention qui ne devrait pas figurer. En théorie, l’affichage mensonger peut coûter jusqu’à 300 000 euros, mais les amendes sont rares. 

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