Paris 2024 Jeux Olympiques

France.tv est l’application indispensable durant les JO de Paris 2024. Le logiciel donne accès à tous les contenus produits par le service public, et notamment la diffusion des épreuves en direct, les émissions conçues autour des JO, ainsi que des documentaires et des reportages exclusifs.

Max est l’autre diffuseur exclusif des Jeux Olympiques de Paris 2024. La société américaine dispose, via Eurosport, inclus gratuitement dans Max durant toute la durée des JO, des droits de l’ensemble des compétitions. Le groupe médias va aussi produire de nombreux contenus, avec des résumés commentés des différentes épreuves.

L’application L’Équipe est enfin l’une des sources d’info les plus complètes pour les Jeux Olympiques de Paris 2024. Avec des analyses approfondies, les résultats en temps réels et commentés dans des lives, des vidéos exclusives et des informations en temps réel, l’application L’Équipe vous permet de vivre les Jeux de l’intérieur.

Beaucoup de réponses sont livrées par cet article présenté par lejournaldeleconomie.info qui parle du thème « Actualité économique ». L’écrit de départ a été rendu de la façon la plus honnête qui soit. Vous avez l’occasion d’écrire en utilisant les coordonnées présentées sur notre site web afin d’indiquer des détails sur cet article parlant du thème « Actualité économique ». lejournaldeleconomie.info est un agrégateur d’information qui présente de nombreuses actualités publiées sur le net dont le sujet central est « Actualité économique ». Consultez notre site lejournaldeleconomie.info et nos réseaux sociaux dans le but d’être informé des nouvelles communications.

Les JO d’hiver 2030 créeraient 5.500 emplois et génèreraient 380 millions d’euros de retombées dans les Hautes-Alpes

– Hautes-Alpes – 

Les Jeux Olympiques d’hiver dans les Alpes françaises en 2030 seraient les moins coûteux et génèreraient près de 50.000 emplois créés en France. C’est la conclusion d’une étude menée par le cabinet parisien Asterès. Et selon ce rapport, les Hautes-Alpes pourraient être gagnantes. 

Moins chers que Calgary… s’il n’y a pas de surcoût

Ils sont promis comme les Jeux Olympiques d’hiver les plus verts et les moins onéreux. Ce sont les mots, en juillet dernier lors de la candidature devant le CIO, du président de la région SUD Renaud Muselier.  Et selon le cabinet Asterès, le coût des JO 2030 serait en effet « limité », « les moins coûteux depuis Calgary en 1988 ». Mais on emploie bien évidemment le conditionnel, car les experts d’Asterès sont partis du budget prévisionnel de cette candidature, établi à 3 milliards d’euros. C’est donc si ce budget provisoire était « scrupuleusement respecté », sans surcoût, que les Alpes françaises remporteraient la médaille d’or des jeux les moins chers. Encore faut-il ne pas faire exploser l’enveloppe, répartie à hauteur de 2 milliards pour le Comité d’organisation et 1 milliard pour les infrastructures.

« Il en résulterait une hausse de la croissance de 0,02 % chaque année », Asterès

Autre point : l’impact économique des Jeux d’hiver 2030 serait colossal, ils permettraient la création de 48.000 emplois à temps plein en France, dont 5.500 rien que pour les Hautes-Alpes. Quant aux retombées économiques, ce serait 3,6 milliards d’euros de valeur ajoutée sur le  territoire national, soit environ 0,15 % du PIB. Étalée sur six ans, « il en résulterait une hausse de la croissance de 0,02 % chaque année » poursuit le cabinet parisien. Et les quatre départements concernés par l’évènement sportif, dont les Hautes-Alpes, pourraient capter près de la moitié de l’impact économique total. La valeur ajoutée des JO est estimée à hauteur de 380 millions d’euros pour les Hautes-Alpes.

Mais là aussi, ce sont si les dépenses sont réparties à parts égales entre les Alpes-Maritimes, la Savoie, la Haute-Savoie et les Hautes-Alpes. Une étude qu’il faut donc prendre avec des pincettes, alors qu’elle intervient à un stade précoce et avec l’hypothèse que l’égalité soit de mise entre chaque territoire. Enfin, ce que cette étude ne dit pas, c’est si le gouvernement de Michel Barnier signera ou non la garantie financière. Le président du CIO, Thomas Bach, a accordé une rallonge à la France d’ici le 1er octobre. 

C. Cava Michard
 

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Hautes-Alpes : les JO d’hiver 2030 créeraient 5.500 emplois et génèreraient 380 millions d’euros de retombées

– Hautes-Alpes – 

Les Jeux Olympiques d’hiver dans les Alpes françaises en 2030 seraient les moins coûteux et génèreraient près de 50.000 emplois créés en France. C’est la conclusion d’une étude menée par le cabinet parisien Asterès. Et selon ce rapport, les Hautes-Alpes pourraient être gagnantes. 

Moins chers que Calgary… s’il n’y a pas de surcoût

Ils sont promis comme les Jeux Olympiques d’hiver les plus verts et les moins onéreux. Ce sont les mots, en juillet dernier lors de la candidature devant le CIO, du président de la région SUD Renaud Muselier.  Et selon le cabinet Asterès, le coût des JO 2030 serait en effet « limité », « les moins coûteux depuis Calgary en 1988 ». Mais on emploie bien évidemment le conditionnel, car les experts d’Asterès sont partis du budget prévisionnel de cette candidature, établi à 3 milliards d’euros. C’est donc si ce budget provisoire était « scrupuleusement respecté », sans surcoût, que les Alpes françaises remporteraient la médaille d’or des jeux les moins chers. Encore faut-il ne pas faire exploser l’enveloppe, répartie à hauteur de 2 milliards pour le Comité d’organisation et 1 milliard pour les infrastructures.

« Il en résulterait une hausse de la croissance de 0,02 % chaque année », Asterès

Autre point : l’impact économique des Jeux d’hiver 2030 serait colossal, ils permettraient la création de 48.000 emplois à temps plein en France, dont 5.500 rien que pour les Hautes-Alpes. Quant aux retombées économiques, ce serait 3,6 milliards d’euros de valeur ajoutée sur le  territoire national, soit environ 0,15 % du PIB. Étalée sur six ans, « il en résulterait une hausse de la croissance de 0,02 % chaque année » poursuit le cabinet parisien. Et les quatre départements concernés par l’évènement sportif, dont les Hautes-Alpes, pourraient capter près de la moitié de l’impact économique total. La valeur ajoutée des JO est estimée à hauteur de 380 millions d’euros pour les Hautes-Alpes.

Mais là aussi, ce sont si les dépenses sont réparties à parts égales entre les Alpes-Maritimes, la Savoie, la Haute-Savoie et les Hautes-Alpes. Une étude qu’il faut donc prendre avec des pincettes, alors qu’elle intervient à un stade précoce et avec l’hypothèse que l’égalité soit de mise entre chaque territoire. Enfin, ce que cette étude ne dit pas, c’est si le gouvernement de Michel Barnier signera ou non la garantie financière. Le président du CIO, Thomas Bach, a accordé une rallonge à la France d’ici le 1er octobre. 

C. Cava Michard
 

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Les Jeux à Paris – été 2024

Bénéficiez d’un coup d’avance

avec la présence de l’AFP à domicile

 

Chaque mois, plongez au cœur de l’action avec un nouvel épisode exclusif : découvrez un métier, une passion, une personnalité de l’AFP, qui œuvre sans relâche à la préparation des Jeux.

 

 Sixième arrêt : escale finale au Trocadéro ! Venez découvrir les métiers d’Antonin Thuillier et François-Xavier Marit, photographes experts en prise de vue robotisée. Ils préparent, testent et pilotent ces robots à distance pour capturer des clichés exceptionnels de la capitale française. Toujours prêts à relever des défis, ils ont immortalisé des moments uniques, comme ici, le jour de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques avec l’esplanade du Trocadéro et la tour Eiffel.

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Jeux olympiques et paralympiques : des millions de touristes dans les rues de Paris

Depuis le 24 juillet, les Jeux olympiques ont attiré les touristes étrangers venus vivre à 100 % les Jeux de Paris 2024. Les Jeux paralympiques ont quant à eux attiré davantage de visiteurs locaux mais tout aussi enthousiastes !

Dans les rues de la capitale ont résonné leurs différents accents. On les attendait de pied ferme, ils ont été là pendant les JO : les touristes ! Ce sont 3,1 millions d’arrivées touristiques qui ont été comptabilisées pendant la quinzaine olympique, soit une progression de 27 % pour les visiteurs français et de 13 % pour les étrangers par rapport à l’année dernière.

Plus globalement – car les visiteurs ne sont pas tous des « touristes » – on estime à 11, 2 millions le volume global de visiteurs. Parmi eux 44,6 % sont des Franciliens, 12,5 % des touristes nationaux, 15,2 % des touristes internationaux et 27,7 % des excursionnistes (visiteurs à la journée).

Entre les Jeux olympiques et les Jeux paralympiques (du 12 au 27 août), on a enregistré + 7,9 % d’arrivées aériennes internationales par rapport à 2023, dont +16 % pour l’Amérique du Nord (108 000 arrivées) et +4,3 % pour l’Europe (76 000 arrivées).

Pendant les Jeux paralympiques, les arrivées aériennes ont été plutôt stables par rapport à l’an dernier, avec néanmoins un pic de réservations venues d’Amérique du Nord : + 3,4 % vs 2023, soit 105 000 arrivées. Mais c’est le volume d’excursionnistes français qui a largement augmenté, de près de 10 % par rapport à la même semaine en2023, soit 1, 5 millions de personnes. Les visiteurs parisiens notamment étaient en augmentation sur toutes les zones de compétition : + 14,8 % à la Porte de Versailles (Arena Paris Sud), + 7,3 % dans le 7e arrondissement de Paris (Arena Champ de Mars, Stade Tour Eiffel et Esplanade des Invalides). Quant aux hôtels, leur taux d’occupation a été stable, avec en Top 3 des lieux de nuitées les plus fréquentés par les touristes français : Paris 15e : 7,3 % – Paris 12e : 6,3 % et Paris 18e : 6,2 %.

13,5 % d’Américains… Et +94 % de Japonais !

Les touristes internationaux venus pendant les Jeux olympiques sont pour 13,5 % des États-Uniens (soit 21 % de plus qu’en 2023). Et Paris a aussi vu défiler beaucoup plus de visiteurs venus d’Allemagne (130 000 personnes), du Royaume-Uni (115 000), du Brésil (107 000), de Chine (82 000) et du Japon qu’en 2023. Pour les Japonais, qui avaient tardé à revenir après la crise sanitaire, on enregistre même une progression de 94 % avec 47 000 individus comptabilisés.

Quant aux Français, ils se sont aussi précipités pour assister aux compétitions sportives et profiter de la capitale, arrivant majoritairement du Rhône, de Gironde et de la Haute-Garonne (+ 68 % par rapport à 2023 !)

Beaucoup d’entre eux ont réservé des hébergements hôteliers puisque le taux d’occupation dans les hôtels parisiens du 23 juillet au 6 août s’établit à 84 % en hausse de 10 % par rapport à l’an dernier. La plus forte augmentation est dans le haut de gamme, avec un taux d’occupation de 85,5 %, soit + 16,5 % par rapport à 2023. Les arrondissements privilégiés pour passer la nuit étaient le 15e, le 8e et le 9e.

La durée de séjour dans la capitale est également en augmentation avec 3,1 nuitées en moyenne pour les Français (contre 2,1 en 2023) et 2,9 nuitées pour les étrangers (contre 2,5 en 2023).

Les comportements et les zones de fréquentation touristique diffèrent de ceux observés lors d’un été traditionnel. Les visiteurs sont là où se font les Jeux, notamment autour des grandes fans-zones et des sites de compétitions olympiques.

Trois exemples de zones de sites olympiques illustrent cette hausse :

  • Le 19e qui a accueilli le Parc des Nations, et notamment le Club France (plus de 3,8 millions de visiteurs en cumulé selon Paris2024),

  • le 15e avec l’Arena Paris Sud : +167 % de visiteurs le dimanche 28 juillet par rapport à 2023,
  • Les Américains auraient une appétence particulière pour le Grand Palais (8e) !

9,5 millions de billets vendus pour les Jeux de Paris 2024

<figure role="group" class="image" aria-label="Image : Le Parc des Champions – Credit Clément Dorval / Ville de Paris »>

Anthony Jeanjean (BMX freestyle) arrive sur la scène

Paris2024 a enregistré plus de 9,5 millions de billets vendus pour les Jeux olympiques par des spectateurs venus de 222 pays différents. Le top 5 ? Les Français d’abord, qui ont acheté 62 % des billets, suivi des Britanniques, des États-Uniens, des Allemands et des Belges.

Près de 450 000 spectateurs ont assisté à des matchs de Beach-volley au pied de la tour Eiffel et près de 1 million de personnes se sont réunies dans les rues de Paris pour les épreuves masculine et féminine de cyclisme sur route. Autre record mondial d’affluence enregistré : 66 000 spectateurs pour un match de rugby à 7 féminin.

On a enfin recensé 213 000 spectateurs au Parc des Champions en cumulé, un concept inédit et une première dans l’histoire des Jeux olympiques d’été et… pas moins de 200 000 réservations pour visiter la Vasque au jardin des Tuileries !

Pour les Jeux paralympiques, plus de 2 millions de billets ont été vendus !

On apprend aussi que les visiteurs ont profité de leur séjour se rendre en masse dans les théâtres, les musées et autres lieux de divertissement de la capitale.

Près de 360 000 personnes à la cérémonie d’ouverture

<figure role="group" class="image" aria-label="Image : La pluie n'a pas arrêté ces touristes ! – Credit Guillaume Bontemps/Ville de Paris »>

Trois jeunes américaine avec des capes de pluis

358 500 touristes et excursionnistes ont été comptabilisés le 26 juillet entre 18h et minuit sur la zone de la cérémonie d’ouverture :

  • 62% de visiteurs internationaux (soit 221 600) dont près d’un quart sont Américains (23%), Chinois, Brésiliens ou Mexicains.

  • 38% de visiteurs français (soit 136 900) dont les deux tiers sont des Franciliens.

Après les Jeux

Après les succès des Jeux, un regain d’attractivité est attendu pour le dernier trimestre 2024, notamment pour les touristes internationaux. Les prévisions montrent une hausse des arrivées aériennes pour les marchés traditionnels : États-Unis (+ 7,9 %), Royaume-Uni (+ 9,4 %), ainsi qu’une reprise pour le Brésil (+ 11,5 %) et le Japon (+ 22,5 %).

Les plus fortes progressions sont attendues pour les fêtes de fin d’année (+ 13,5 % vs 2023).

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Les actions américaines devraient ouvrir la voie à la résurgence de la bulle de l’IA

Nous nous attendons à ce que les marchés boursiers continuent de progresser fortement au cours de l’année à venir, en particulier aux États-Unis. En effet, nous pensons que l’enthousiasme pour l’IA va repartir à la hausse et alimenter une bulle boursière, les valeurs technologiques étant en tête. Étant donné que nous pensons que l’IA est une « technologie à usage général » qui finira par profiter à la plupart des secteurs de l’économie, nous nous attendons à ce que les actions des autres secteurs et du reste du monde se portent plutôt bien.

Bibliographie :

Catéchisme d’économie politique/1881/19.,Référence litéraire de cet ouvrage.

FxWirePro : GBP/USD prolonge son gain et fait face à la résistance de Fibonacci à 23,6 %

• La paire GBP/USD est restée stable lundi, les attentes de taux divergeant entre le Royaume-Uni et les États-Unis, favorisant la livre sterling.

• La Fed est en passe de procéder à un total de 125 pb de baisses de taux en 2024, tandis que la BoE devrait assouplir ses taux de 64 pb d’ici la réunion du MPC du 19 décembre.

• À 16h54 GMT, la paire s’échangeait en hausse de 0,18% à 1,3341, en retrait du plus bas quotidien de 1,3256.

• Les signaux techniques sont fortement haussiers puisque le RSI est à 68, les études de momentum quotidiennes 5, 9 et 10 DMA sont en tendance à la hausse.

• La résistance immédiate est située à 1,3357 (23,6% fib), toute clôture au-dessus poussera la paire vers 1,3406 (BB plus élevé)

• Un support solide est observé à 1,3272 (plus bas du 20 septembre) et une cassure en dessous pourrait amener la paire vers 1,3233 (38,2 % de Fibonacci).

Recommandation : Bon achat autour de 1,3320, avec stop loss à 1,2950 et objectif de cours à 1,3380

Ce thème correspond à vos recherches vous adorerez tout autant ces parutions:

Lettres à M. Malthus sur l’économie politique et la stagnation du commerce/Index.,Référence litéraire de cet ouvrage. Disponible à l’achat sur les plateformes Amazon, Fnac, Cultura ….

Ce que pensent les CTO ; Naviguer sur le chemin vers l’IA Enterprise

Rapport de consultation

23 septembre 2024

En collaboration avec Akkodis & The Adecco Group

Ce que pensent les CTO ; Naviguer sur le chemin vers

« What CTOs Think: Navigating the Path to the AI ​​Enterprise » est un rapport qui explore la manière dont les CTO abordent cette ère actuelle de numérisation et propose des recommandations pour une transformation réussie vers une entreprise basée sur l’IA. L’enquête, menée en collaboration avec Oxford Economics, couvre 2 000 dirigeants, dont 509 CTO, dans neuf pays et 18 secteurs, dont l’aérospatiale, l’automobile, l’énergie, les sciences de la vie et la technologie.

Ces dernières années, la transformation numérique est devenue une priorité indispensable pour les dirigeants, de nombreux CTO reconnaissant que la numérisation est un concept en constante évolution ; contrairement aux phases précédentes axées sur l’automatisation des processus, une majorité de CTO considèrent désormais « catalyser la croissance de l’entreprise » comme un avantage majeur. Cependant, selon cette étude majeure, les CTO font état de nombreux défis et reconnaissent qu’il reste encore beaucoup de progrès à faire. Il existe encore de nombreuses incertitudes autour de l’introduction des technologies d’IA et il existe également un décalage entre les concepts des CTO et la réalité de l’entreprise.

Le rapport révèle trois tendances clés :

1) L’incertitude et l’inaction freinent la transformation numérique
2) Les CTO doivent collaborer pour créer l’entreprise IA
3) Il existe un besoin urgent de stratégies en matière de main-d’œuvre numérique

Les experts derrière la recherche

Notre équipe de leadership éclairé produit des recherches originales, fondées sur des preuves, rendues accessibles aux décideurs et aux leaders d’opinion. Les dirigeants de ce projet comprenaient :

John Reiners

Rédacteur en chef, Royaume-Uni et EMEA, Thought Leadership

Alice Pickthall

Gestionnaire de recherche principal, leadership éclairé

Jamie Snowdon

Analyste de recherche principal, leadership éclairé

Maximilien Vickers

Associé de recherche, leadership éclairé

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L’expansion de Citigroup en Chine se heurte à des obstacles dus aux régulateurs américains

Citigroup avait initialement prévu de lancer sa division de banque d’investissement d’ici la mi-2023, mais a ensuite repoussé cet objectif à la fin de cette année.

L’expansion de Citigroup Inc. en Chine se heurte à la résistance des régulateurs américains depuis que la Réserve fédérale a imposé une pénalité à la banque pour ses contrôles des risques et ses pratiques de gestion des données.

La banque a dû faire face à des retards dans l’ouverture d’une société de valeurs mobilières autonome, car les autorités chinoises ont exigé une lettre d’autorisation de la Fed confirmant sa position réglementaire. Citi a dû régler ses problèmes de gestion des données sur son territoire après avoir reçu une amende de 136 millions de dollars en juillet.

Ce processus prolongé intervient alors que les banques internationales, telles que Goldman Sachs Group Inc. et JPMorgan Chase & Co., ont connu des difficultés ces dernières années en raison de tensions géopolitiques croissantes, d’un ralentissement de la croissance économique et d’activités de collecte de fonds.

Citigroup ne retirera pas sa demande et en discute activement avec l’autorité de régulation des valeurs mobilières chinoise. La banque basée à New York a publié une déclaration indiquant qu’elle s’engage à aider ses clients, mais ne fera aucun commentaire sur les discussions avec les régulateurs concernant le processus en cours pour obtenir une licence de valeurs mobilières en Chine.

Les entreprises chinoises ont levé 76,4 milliards de yuans (10,8 milliards de dollars) pour obtenir des cotations onshore cette année, avec une baisse de 88 % par rapport au pic de 2022, et des centaines d’entreprises ont annulé leurs introductions en bourse.

Néanmoins, Citigroup, l’une des rares grandes entreprises de Wall Street à ne pas avoir d’activité de valeurs mobilières en Chine, souffre du retard. Les nouvelles lois sur les valeurs mobilières, qui obligent les banques à séparer les données nationales avant d’obtenir des licences sur le territoire, ont également retardé leur expansion.

Citigroup avait initialement prévu de lancer sa division de banque d’investissement d’ici la mi-2023, mais a ensuite repoussé cet objectif à la fin de cette année.

En vertu de la législation chinoise, les banques étrangères doivent répondre à plusieurs exigences pour lancer des opérations onshore, notamment un capital adéquat, une expérience avérée dans la gestion des opérations sur titres et l’absence d’amendes réglementaires au cours des trois dernières années.

Les responsables de la Commission chinoise de réglementation des valeurs mobilières ont réaffirmé leur soutien à l’expansion bancaire. Citigroup s’est vu infliger une amende par la Fed en juillet pour avoir violé les ordres d’exécution. La banque a été obligée de payer 61 millions de dollars à la Fed et 75 millions de dollars à l’OCC. Les amendes étaient dues à deux mesures réglementaires consécutives en 2020, lorsque l’OCC a infligé à la banque une amende de 400 millions de dollars pour des lacunes dans ses contrôles internes, sa gestion des risques et ses programmes de gouvernance des données. Citi ne reconnaît ni ne nie les allégations. La Fed a déclaré que la banque prenait des mesures pour corriger les violations et se mettre en conformité.

Après avoir annoncé son retrait de la banque de détail, la banque a soumis les documents initiaux pour créer une nouvelle société aux régulateurs chinois fin 2021. Elle avait pour objectif d’étendre son effectif local à plus de 100 employés, en se concentrant sur la souscription d’actions libellées en yuans et les contrats à terme. La société a déjà embauché un directeur général, un directeur financier et un directeur de la conformité pour la société de valeurs mobilières.

Citigroup, un nouveau venu sur le marché chinois des valeurs mobilières, a dissous sa coentreprise avec Orient Securities Co. pour se concentrer sur la banque d’investissement avant de lancer sa propre société après que la Chine a autorisé la pleine propriété étrangère des sociétés de services financiers à partir de 2020.

Néanmoins, Citi dispose d’un large éventail d’opérations en Chine qui sont autorisées à gérer la conservation de fonds nationaux, la souscription d’obligations d’entreprises et la compensation d’obligations. Depuis plus de 20 ans, elle propose des services de conservation aux investisseurs institutionnels internationaux éligibles. Elle fournit également ces services pour les investissements directs sur le marché obligataire interbancaire.

Dans le cadre d’une restructuration mondiale, la banque américaine a mis fin à son réseau de services bancaires aux particuliers en Chine et a vendu à HSBC Holdings Plc son portefeuille de gestion de patrimoine de détail l’année dernière.

Néanmoins, le directeur de la gestion de patrimoine de la banque, Andy Sieg, a déclaré plus tôt cette semaine qu’elle était enthousiasmée par Hong Kong et ses liens avec la région de la Grande Baie en Chine continentale et qu’elle avait l’intention d’y attirer davantage de talents.

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Études économiques de l’OCDE : Finlande 2016.,Informations sur ce livre.

Croissance : l’économie française retombe après le coup de pouce des JO de Paris 2024

Temps de lecture : 1 min

L’activité du secteur privé est repartie en baisse en France en septembre, après le rebond du mois d’août attribuable aux Jeux olympiques, selon l’indice PMI Flash publié ce lundi 23 septembre. Publié par l’agence S&P Global et la Hamburg Commercial Bank, il s’est établi à 47,4 en septembre contre 53,1 en août.

Les JO de Paris 2024 ont eu un effet éphémère sur la croissance française.

© Kevin Voigt/GettyImages – Les JO de Paris 2024 ont eu un effet éphémère sur la croissance française.

Après avoir été boostée par les JO de Paris, l’économie française retombe. L’activité du secteur privé est repartie en baisse en France en septembre, après le rebond du mois d’août attribuable aux Jeux olympiques, selon l’indice PMI Flash publié ce lundi 23 septembre. Cet indice publié par l’agence S&P Global et la Hamburg Commercial Bank (HCOB) s’est établi à 47,4 en septembre contre 53,1 en août, un plus bas depuis le mois de janvier. Un indice supérieur à 50 indique une expansion de l’activité, tandis qu’une valeur en dessous de ce seuil signale une contraction.

«Le sursaut enregistré en août n’était qu’un phénomène éphémère lié aux Jeux olympiques et a déjà pris fin», a commenté Tariq Kamal Chaudhry, économiste à la HCOB, cité dans un communiqué. «Notre modèle de prévision immédiate table donc sur une quasi-stagnation de l’économie française au troisième trimestre 2024, la France rejoignant ainsi le groupe des pays de la zone euro confrontés à d’importants problèmes de croissance», a-t-il ajouté.

«Une certaine frilosité des clients»

«Sur le plan politique, la situation demeure incertaine» avec «un gouvernement dénué de réelle majorité parlementaire, qui lui permettrait de faire voter les profondes réformes économiques nécessaires à une relance de l’industrie», a-t-il estimé. Dans les services, un secteur qui avait profité d’un fort rebond de la demande grâce aux JO, l’indice a atteint 48,3 en septembre, contre 55 en août. Ce fort repli s’explique par le recul des nouvelles affaires et des affaires en cours, selon S&P Global et la HCOB. «La fin des évènements sportifs (s’est) accompagnée d’une baisse de la fréquentation, certains répondants mentionnant également une faiblesse générale de la consommation et une certaine frilosité des clients», ont-ils souligné.

La production manufacturière ne se porte pas mieux, l’indice reculant de 43,8 en août à 42,8 en septembre, pénalisée également par la contraction «particulièrement prononcée» des nouvelles commandes, que les entreprises interrogées attribuent à une demande moindre en provenance d’Amérique du Nord et d’Allemagne. Alors que les fabricants se disent pessimistes pour leur activité dans les douze prochains mois, les prestataires de services se montrent «très optimistes» pour les prochains mois, selon le communiqué.

L’emploi s’est maintenu en septembre, avec une légère augmentation des effectifs, essentiellement grâce aux services. Autre bonne nouvelle, les tensions inflationnistes se sont atténuées. La hausse des coûts a ralenti dans les services comme dans le secteur manufacturier, et les entreprises ont pour la première fois depuis février 2021 diminué les prix facturés aux clients dans les services.

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