Jeux olympiques : les éboueurs de Paris menacent de faire grève

Lors de la grève des éboueurs contre la réforme des retraites, à Paris, le 21 mars 2023. Lors de la grève des éboueurs contre la réforme des retraites, à Paris, le 21 mars 2023.

L’image reste dans la tête de nombreux Parisiens : lors du mouvement social contre la réforme des retraites au printemps 2023, la grève d’une partie des 7 500 agents de la direction de la propreté et de l’eau de la Ville de Paris s’était traduite par un amoncellement de déchets dans certains arrondissements. Alors que quinze millions de visiteurs sont attendus pour les Jeux olympiques, la filière traitement des déchets, nettoiement, eau, égouts, assainissement (FTDNEEA) de la CGT a choisi de jouer à nouveau cette carte, en déposant un préavis de grève sur une partie du mois de mai (les 14, 15, 16, 22, 23 et 24), puis du 1er juillet au 8 septembre. « Ça ne nous fait pas plaisir de le faire, bien sûr que l’on veut montrer un Paris propre au monde entier, mais c’est un calcul stratégique, car les négociations sont au point mort », admet Smina Mebtouche, secrétaire générale de la CGT-FTDNEEA.

Le syndicat, majoritaire chez les éboueurs, égoutiers et autres conducteurs de bennes, exige notamment une prime de 1 900 euros pour tous les agents concernés de près ou de loin par les JO, arguant que les quantités de déchets augmenteront partout dans la capitale cet été. En avril, la mairie avait annoncé que ses équipes percevraient des primes comprises entre 600 et 1 900 euros « en fonction de l’intensification de la charge de travail et de la mobilisation sur la période couvrant les Jeux olympiques et les Jeux paralympiques ». La CGT demande aussi une augmentation de l’indemnité de fonctions, de sujétions et d’expertise (IFSE) – variable selon les postes, elle constitue une part importante de la rémunération mensuelle des agents – de 400 euros par mois pour tous les personnels.

Chez les éboueurs de Marseille, la CGT demande aussi une augmentation de l’IFSE, et l’harmonisation de son montant entre les agents de la métropole, tout en protestant contre une réorganisation du système de collecte des déchets. Le syndicat avait ainsi déposé un préavis de grève illimité un mois avant l’arrivée de la flamme olympique, le 8 mai.

Faute de réponse de la métropole, une partie des agents a cessé le travail, surtout dans les quatrième et cinquième arrondissements de la ville, entre le 29 avril et le 7 mai. Selon la CGT, qui compte poursuivre la métropole pour entrave à la grève, il y aurait eu jusqu’à 70 % de grévistes parmi les mille éboueurs de Marseille, lorsque la métropole en a compté une « quarantaine ». « Le but était de faire un coup d’éclat. Mais les revendications de la CGT sont irréalistes, elle voudrait travailler une heure de moins par jour avec 300 euros de plus », assure un représentant d’Aix-Marseille Métropole.

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Redémarrage sous surveillance

Dans l’économie française, le printemps est timide mais il est bien là. Les derniers indicateurs confortent le scénario d’un redémarrage équilibré. Après quatre années où l’action publique a joué une action déterminante, le privé reprend la main.

D’abord, les employeurs ont recommencé à embaucher (+50.000 emplois au premier trimestre, davantage que prévu). Ils augmentent aussi les salaires alors que l’inflation s’est calmée. Le salaire mensuel de base a progressé de 3,3 % en un an, davantage que les prix (+2,1 %). Ces mouvements portent un pouvoir d’achat qui avait été matraqué par la vague d’inflation de 2022-2023. Ce qui laisse espérer une montée en puissance de la consommation.

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Jeux olympiques: Pourquoi c’est un mauvais calcul de congédier son locataire

DÉCRYPTAGE – Évincer son locataire ou transformer un logement en meublé saisonnier est encadré par la loi. S’en affranchir expose à de lourdes sanctions pécuniaires.

Cet article est extrait du Figaro Magazine

Des tarifs multipliés par cinq, des nuitées à 1000 €. Les prix astronomiques annoncés pour des meublés parisiens entre le 26 juillet et le 11 août donnent le vertige, et des idées à des bailleurs peu scrupuleux. Ceux-là n’hésitent pas à donner congé au locataire en place – avec un motif fallacieux – pour louer à des supporters le temps des Jeux olympiques. « On a constaté une hausse des consultations à propos de congés, émanant des bailleurs. Nous en avons dénombré 1666 de septembre 2023 à mars 2024 », témoigne Hélène Le Gall, directrice générale des Agences départementales pour l’information sur le logement (Adil) de Paris et du Val-de-Marne. « La proportion de congés non valides (par exemple, signifiés par mail et non en recommandé, NDLR) est passée de 24% en 2023 à 28% sur les sept derniers mois », ajoute-t-elle.

6000 € d’amende pour congé illégal

« Les congés frauduleux ont toujours existé, rappelle Barbara Gomes, conseillère déléguée en charge de la protection des locataires…

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Rassemblez-vous, connectez-vous, célébrez : Sommet Innovate Raleigh 2024

Innovate Raleigh Summit 2024 a été un immense succès, l’accent étant mis sur la réunion, la connexion et la célébration de l’écosystème d’innovation et de startup de Raleigh. Michael Haley, directeur exécutif du développement économique du comté de Wake et vice-président principal du développement économique de la Raleigh Chamber, a lancé le sommet en souhaitant la bienvenue aux participants et en soulignant la haute qualité de vie de Raleigh, les espaces de démarrage et de coworking, les universités et les opportunités de réseautage qui en font un environnement très favorable à l’entrepreneuriat. Comme les participants l’ont découvert, Génome de démarrage a nommé Raleigh le deuxième écosystème émergent de startups mondiales en 2023, et pour cause. Le discours de Michael a été suivi par plusieurs intervenants qui ont partagé leurs idées sur l’entrepreneuriat, l’innovation, l’intelligence artificielle, la durabilité et bien plus encore à Raleigh et dans la région environnante.

Cindy Eckert, une entrepreneure en série autodidacte et une ardente défenseure des femmes, a prononcé un discours dynamique sur la défense de Raleigh, inspirant toutes les personnes présentes. Cindy a partagé ses expériences dans l’industrie des biosciences, où elle a créé et vendu deux entreprises pour plus de 1,5 milliard de dollars. Son travail aujourd’hui au sein de The Pinkubator continue de briser les barrières en investissant et en encadrant d’autres femmes pour obtenir le même succès. Le discours de Cindy a été un rappel inspirant que l’innovation n’est pas seulement une question de technologie, mais aussi de repenser la façon dont nous promouvons notre ville et notre région auprès d’autres entrepreneurs et investisseurs.

Les participants ont ensuite entendu le Raleigh Success Panel, qui a réuni un groupe de propriétaires de petites entreprises, d’entrepreneurs et d’innovateurs inspirants qui accomplissent de grandes choses ici même dans notre communauté. Les panélistes, dont Terrence Holt, président de Holt Brothers Construction, Maggie Kane, fondatrice et directrice exécutive de A Place at the Table, Meg Powell, Pharm. D., PDG de 501 Ventures, et Scot Wingo, co-fondateur et PDG de Spiffy et partenaire général du Triangle Tweener Fund, ont discuté des changements positifs, des améliorations et des améliorations qu’ils ont constatés dans l’écosystème d’innovation de Raleigh au cours des 10 dernières années. et les lacunes les plus urgentes qui doivent être comblées.

L’événement comprenait également des séances de discussion flash, une sur l’intelligence artificielle et une autre sur l’entrepreneuriat social, la durabilité et le mouvement des créateurs. Tom Darden, fondateur et PDG de Cherokee Fund, et Kyle Touchstone, directeur exécutif de Raleigh Economic Development, ont partagé leurs idées sur les manières potentielles dont l’IA aura un impact sur notre vie quotidienne et notre travail. Aly Khalifa, co-fondatrice et directrice de l’innovation de Positive Company, et Brian Burnett, fondateur et concepteur en chef de Bespoke Venture Partners, ont partagé leurs expériences en intégrant des pratiques durables dans de grandes idées et en faisant face au redoutable « non ». Ces sessions ont mis en évidence le rôle de l’innovation dans la création d’un avenir plus durable et plus équitable.

Le sommet s’est terminé par les remarques d’Adrienne Cole, présidente et directrice générale de la Raleigh Chamber, qui a annoncé le lancement de la première stratégie d’innovation globale visant à faire du métro de Raleigh l’écosystème d’innovation le plus dynamique, créatif et inclusif du pays. Adrienne a souligné l’importance de la collaboration et du partenariat pour atteindre cet objectif. Elle a également souligné la nécessité d’une stratégie commune décrivant les investissements, les partenariats et les étapes nécessaires pour réaliser cette vision avant de diriger les participants vers une session de réseautage spéciale avec des invites de conversation générées par l’IA.

Merci à tous ceux qui se sont réunis et ont discuté des dernières idées, technologies et stratégies pour construire un avenir meilleur. Nous sommes également extrêmement reconnaissants envers chacun des sponsors du Sommet Innovate Raleigh. Leur soutien a contribué à rendre l’événement possible et a souligné l’importance de se réunir, de se connecter et de célébrer ensemble. Trouvez plus de couverture de cet événement sur X, Instagram et LinkedIn en utilisant #innovateRAL.

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Histoire des doctrines économiques/3-2-3.,Référence litéraire de cet ouvrage. Disponible à l’achat sur les plateformes Amazon, Fnac, Cultura ….

À Marseille, « 417 millions d’euros » dépensés via Airbnb et 860 000 voyageurs accueillis en 2023

Que représente un événement comme les Jeux olympiques pour la plateforme Airbnb ?

D’abord, nous sommes partenaire officiel de Paris 2024, partenaire de l’arrivée de la flamme à Marseille mais aussi du relais de la flamme. Il n’y a pas de meilleur événement pour valoriser la rencontre, qui est au cœur de nos valeurs. On a investi 27 millions d’euros pour la réussite de ces Jeux. C’est un événement majeur : on attend jusqu’à 500 000 voyageurs, peut-être plus, qui seront sur Airbnb pour les Jeux olympiques. À Marseille, il y a deux fois plus de réservations cette année qu’à la même période l’an dernier. Nos hôtes seront aussi à l’honneur, une centaine participeront au relais de la flamme dès le 9 mai : je connais au moins un relayeur qui est Marseillais.

Il y a toujours ce questionnement sur les potentielles retombées économiques des voyageurs Airbnb…

Oui et nous répétons que nous sommes un poumon économique de ces territoires. C’est ce que démontrent les résultats de l’étude Deloitte qui viennent d’être publiés (une commande de la plateforme Airbnb sur la contribution économique des hébergements, NDLR). En 2023, la location de ces hébergements meublés a généré 43 milliards d’euros de dépenses et d’activités pour l’économie de notre pays, 360 000 emplois créés ou soutenus et 4,9 milliards d’euros de recettes fiscales. Il faut aussi montrer cette réalité.

Et à Marseille, quelle est cette réalité ?

L’an dernier, Marseille a accueilli 860 000 voyageurs sur 3,5 millions de nuitées. Une activité qui a ainsi généré 417 millions d’euros de dépenses, dont un quart (90 millions) a bénéficié aux restaurateurs de la ville. L’activité a également profité à 5000 emplois. Enfin, les séjours représentent 4,2 millions de recettes fiscales pour la municipalité.

On peut s’attendre à plus pour les résultats 2024 ?

Marseille est la troisième ville la plus recherchée et la plus réservée pour les Jeux olympiques. Il y a eu deux fois plus de réservations pour ce 8 mai que l’an dernier et au global, plus de 40 % de réservations en plus…

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À Pleslin-Trigavou, Armor Méca reprise par un groupe normand, une vingtaine d’emplois supprimés

Armor Méca, entreprise basée à Pleslin-Trigavou (22), a été reprise par Drouault Industries, un groupe normand dont le siège est à Granville, dans la Manche. Le tribunal de commerce de Saint-Malo (35) a notifié ce rachat dans une décision rendue lundi 6 mai, selon une information d’Ouest-France. Armor Méca, qui fabrique des pièces pour l’aéronautique civile et militaire, avait été placée en redressement judiciaire en mars.

Sur les 110 employés de l’entreprise costarmoricaine, environ 80 % seraient repris par Drouault Industries. Une vingtaine d’emplois seraient donc supprimés, entraînant la mise en place d’un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE).

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Les trampolinistes britanniques prennent de la hauteur à Reims

On n’a pas tous les jours la chance d’admirer une championne du monde de trampoline dans ses œuvres. Une centaine de Rémois ont eu le privilège d’assister, mardi, au complexe sportif René-Tys, à l’entraînement de quatre trampolinistes britanniques, dans le cadre de leur préparation aux Jeux olympiques de Paris 2024. La « Team GB » (équipe de Grande-Bretagne) a en effet choisi Reims comme base arrière avant l’échéance parisienne pour ses athlètes engagés en natation, boxe, tennis de table et gymnastique. « Quand on a commencé à regarder les différents sites, on s’est dit que Reims était un bon endroit, explique Gary Short, l’entraîneur de l’équipe nationale de gymnastique de Grande-Bretagne. C’est assez proche de Paris, mais en même temps au calme. On va pouvoir s’imprégner de l’environnement français avant les Jeux olympiques. »
Après les nageurs, venus reconnaître l’UCPA Sport Station en juin dernier, puis les gymnastes, passés par René-Tys un mois plus tard, c’est donc l’équipe de trampoline qui est venue se familiariser avec les installations rémoises et la ville. Le gymnase René-Tys est apprécié, même s’il n’est logiquement pas du niveau du centre sportif national de Lilleshall, près de Birmingham, où les gymnastes britanniques ont leurs habitudes. « Ce n’est pas tout à fait comme là-bas, où on a une installation complète dédiée à la gymnastique, mais les équipements sont de très bonne qualité et la hauteur est bonne », analyse le sélectionneur national.
Sous ses yeux et ceux de son staff, équipé d’ordinateurs et de caméras, ses quatre athlètes commencent leur échauffement. D’abord au sol, puis sur la toile. Et la magie opère auprès du public, dont deux classes de CE1 de l’école élémentaire Général-Carré, inscrites par leur professeur. « C’est toujours très sympa de pouvoir montrer notre sport à des gens qui ne le connaissent pas forcément. Souvent, ils sont impressionnés par la hauteur de nos sauts et la complexité de nos figures. On espère inspirer les plus jeunes », livre Bryony Page, figure de proue de cette équipe britannique de gymnastique. À 33 ans, elle tentera de décrocher, à Paris, la seule médaille olympique qui manque à son riche palmarès : l’or. Titrée à domicile lors des Mondiaux de Birmingham en novembre dernier, l’athlète arrivera en France en pleine confiance : « Ce seront des Jeux olympiques très spéciaux, car ma famille n’avait pas pu venir à Rio (en 2016) et le public était interdit au Japon (en 2021). À Paris, il y aura mon compagnon, mes parents, mes frères et sœurs, mes neveux… »
Avant de rejoindre le village olympique, puis de disputer l’épreuve de trampoline le vendredi 2 août à l’Arena Bercy, Bryony Page reviendra à Reims, du 20 au 27 juillet, pour les ultimes réglages. « On va pouvoir se préparer tranquillement avant que ça devienne plus intense pendant la compétition, livre la championne, déjà fan de la cathédrale et de l’architecture française. J’ai de l’expérience, ce seront mes troisièmes Jeux, mais je serai quand même nerveuse et excitée. On aura un sas entre la maison et la compétition et c’est très important d’avoir une exposition graduelle à la pression pour ne pas être trop sous le choc en arrivant à Paris. »
Sa première sortie rémoise se fait devant un public déjà conquis. Ses sauts à six mètres de haut sont salués par des « oh ! », des « ah ! » et même des applaudissements. Dans trois mois, elle pourrait avoir les faveurs de quelques Rémois.
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Bientôt éconduit des commandes de la SNCF, Jean-Pierre Farandou défend son bilan

Quelques heures à peine après la communication officielle du gouvernement lui ayant signifié que son mandat de PDG de la SNCF n’irait pas plus loin qu’au terminus des Jeux Olympiques et paralympiques, soit le 8 septembre prochain, Jean-Pierre Farandou a saisi une tribune toute trouvée pour défendre son bilan. Et en creux, dire sa façon de penser à sa tutelle.

Supposé au départ surtout justifier le récent accord social sur les fins de carrière, qui a fait tousser certains notamment au Sénat, au nom de l’équité des Français face à la réforme des retraites, le premier des cheminots a spontanément et vertement élargi le débat. Signifiant par avance qu’il partirait la tête haute du siège de Saint-Denis, le moment venu.

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2024, l’année de tous les atouts pour le tourisme

Tout est prêt… ou presque ! À 80 jours du démarrage des Jeux olympiques et paralympiques, le 7ème comité interministériel du tourisme (CIT) avait pour mission de déminer face au sentiment d’une préparation inachevée marqué par un récurrent « JO Bashing ». il devait aussi rappeler que le tourisme est bien un pilier de l’économie française (7 % du PIB) et que les Jeux ne l’impacteront pas négativement.

L’occasion aussi d’annoncer la modification à venir dans la gouvernance de Atout France. Mardi 7 mai à Matignon, le Premier ministre Gabriel Attal a présidé cette réunion initialement prévue le 25 avril -après une hibernation de 4 ans puisque Jean Castex avait présidé le dernier CIT en mai 2020- et réunissant les ministres concernés et les professionnels du secteur.

Forte majorité de touristes …

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Automobile : l’hydrogène n’a pas dit son dernier mot

Au précurseur les honneurs. Dans quelques semaines, Toyota alignera 600 Mirai aux couleurs des Jeux olympiques propulsées à l’hydrogène. « La pile à combustible participe des solutions visant à réduire l’empreinte carbone. Nous l’explorons le plus loin possible avec la seconde génération de notre modèle », rappelle Frank Marotte, président de Toyota France. Le constructeur a parié dès 2015 sur cette technologie et s’est lancé, le premier, dans la commercialisation en grande série d’une berline.

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En 2020, la Mirai (« futur », en japonais) a gagné 20 % de puissance et 30 % en autonomie. De quoi parcourir 650 kilomètres avec un plein. « Ce type de motorisation est particulièrement adapté aux usages intensifs, comme ceux des taxis qui apprécient un temps de recharge de cinq minutes, contre trente à quarante-cinq minutes pour une électrique classique », revendique Frank Marotte.

LIRE AUSSI : L’hydrogène naturel, mirage ou miracle de la transition énergétique ?

Vincent Salimon, président de BMW France, relève des avantages supplémentaires : « Une autonomie idéale pour les longues distances ; une résilience forte aux aléas météorologiques dont le rendement ne souffre pas du grand froid et une moindre dépendance géopolitique, puisque nous disposons des matières premières nécessaires en Europe. » Une flotte pilote d’une centaine de iX5 analyse les réactions des utilisateurs et leurs attentes.

Reste que le prix d’une voiture à hydrogène côtoie des sommets. De ce fait, les Français misent sur les utilitaires. Stellantis développe une solution pour ses Citroën ë-jumpy, Peugeot e-Expert et Opel Vivaro-e. Le groupe a rejoint Michelin et Forvia au capital de Symbio, une jeune pousse spécialisée dans les systèmes de conversion de fourgons électriques à l’hydrogène pour les petites séries. L’usine SymphonHy, inaugurée en décembre 2023 à Saint-Fons (Rhône), produira 50 000 piles par an.

LIRE AUSSI : Hydrogène : importer ou produire ? Le dilemme de la France

Pour sa part, Renault s’est associé à Plug, spécialiste des écosystèmes de l’or vert, pour créer Hyvia en 2021. Le déploiement des premières flottes de son Master H2-Tech commence cette année. Toyota, quant à lui, annonce dupliquer en Europe son Hydrogen Factory, responsable de la production, la commercialisation et l’après-vente de sa technologie, pour des camions et des bus, dont une nouvelle mouture, 50 % moins chère, est annoncée d’ici à 2026.

Le marché devrait être dopé par la directive européenne imposant une station de recharge tous les 200 kilomètres dès 2030, ce qui porterait le nombre de points de ravitaillement dans l’Union à 600 contre 178 aujourd’hui. Un coup de pouce encore insuffisant, mais bienvenu.

Bus : vent de fronde contre Bruxelles

C’est peu dire qu’elle a vu rouge. Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-de-France (LR) n’a pas mâché ses mots lorsqu’elle a eu vent du projet de la Commission européenne pour verdir les bus urbains. « L’Europe ne peut pas être le lieu de l’absurdie bureaucratique ! » s’est-elle énervée. La raison de cette ire ? Bruxelles souhaite imposer le tout électrique et l’hydrogène à compter de 2035, après quinze ans de bons et loyaux services. Et exclut le biométhane.

Or, Ile-de-France Mobilités a passé une commande de 4 000 nouveaux exemplaires électriques et… au biogaz, qui s’ajouteraient aux milliers de cars propres déjà en circulation. De nombreuses communes relayent le chœur des doléances après avoir investi dans des méthaniseurs, grâce… aux subventions européennes !

LIRE AUSSI : Hydrogène vert : pour la filière française, le difficile retour à la réalité

L’enjeu est important. Un véhicule au gaz coûte 290 000 euros, tandis que sa version électrique revient à 554 000 euros et celle à hydrogène à 698 000 euros. En réaction à ce surcoût imposé aux collectivités, l’Union des transports publics et ferroviaires demande au gouvernement une aide de 100 000 euros par exemplaire doté d’une batterie ou d’une pile à combustible. Elle s’est même fendue d’un manifeste à l’attention des candidats aux élections européennes.

Un article du dossier spécial « Automobile » de L’Express, paru dans l’hebdo du 18 avril.

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