Les trampolinistes britanniques prennent de la hauteur à Reims

On n’a pas tous les jours la chance d’admirer une championne du monde de trampoline dans ses œuvres. Une centaine de Rémois ont eu le privilège d’assister, mardi, au complexe sportif René-Tys, à l’entraînement de quatre trampolinistes britanniques, dans le cadre de leur préparation aux Jeux olympiques de Paris 2024. La « Team GB » (équipe de Grande-Bretagne) a en effet choisi Reims comme base arrière avant l’échéance parisienne pour ses athlètes engagés en natation, boxe, tennis de table et gymnastique. « Quand on a commencé à regarder les différents sites, on s’est dit que Reims était un bon endroit, explique Gary Short, l’entraîneur de l’équipe nationale de gymnastique de Grande-Bretagne. C’est assez proche de Paris, mais en même temps au calme. On va pouvoir s’imprégner de l’environnement français avant les Jeux olympiques. »
Après les nageurs, venus reconnaître l’UCPA Sport Station en juin dernier, puis les gymnastes, passés par René-Tys un mois plus tard, c’est donc l’équipe de trampoline qui est venue se familiariser avec les installations rémoises et la ville. Le gymnase René-Tys est apprécié, même s’il n’est logiquement pas du niveau du centre sportif national de Lilleshall, près de Birmingham, où les gymnastes britanniques ont leurs habitudes. « Ce n’est pas tout à fait comme là-bas, où on a une installation complète dédiée à la gymnastique, mais les équipements sont de très bonne qualité et la hauteur est bonne », analyse le sélectionneur national.
Sous ses yeux et ceux de son staff, équipé d’ordinateurs et de caméras, ses quatre athlètes commencent leur échauffement. D’abord au sol, puis sur la toile. Et la magie opère auprès du public, dont deux classes de CE1 de l’école élémentaire Général-Carré, inscrites par leur professeur. « C’est toujours très sympa de pouvoir montrer notre sport à des gens qui ne le connaissent pas forcément. Souvent, ils sont impressionnés par la hauteur de nos sauts et la complexité de nos figures. On espère inspirer les plus jeunes », livre Bryony Page, figure de proue de cette équipe britannique de gymnastique. À 33 ans, elle tentera de décrocher, à Paris, la seule médaille olympique qui manque à son riche palmarès : l’or. Titrée à domicile lors des Mondiaux de Birmingham en novembre dernier, l’athlète arrivera en France en pleine confiance : « Ce seront des Jeux olympiques très spéciaux, car ma famille n’avait pas pu venir à Rio (en 2016) et le public était interdit au Japon (en 2021). À Paris, il y aura mon compagnon, mes parents, mes frères et sœurs, mes neveux… »
Avant de rejoindre le village olympique, puis de disputer l’épreuve de trampoline le vendredi 2 août à l’Arena Bercy, Bryony Page reviendra à Reims, du 20 au 27 juillet, pour les ultimes réglages. « On va pouvoir se préparer tranquillement avant que ça devienne plus intense pendant la compétition, livre la championne, déjà fan de la cathédrale et de l’architecture française. J’ai de l’expérience, ce seront mes troisièmes Jeux, mais je serai quand même nerveuse et excitée. On aura un sas entre la maison et la compétition et c’est très important d’avoir une exposition graduelle à la pression pour ne pas être trop sous le choc en arrivant à Paris. »
Sa première sortie rémoise se fait devant un public déjà conquis. Ses sauts à six mètres de haut sont salués par des « oh ! », des « ah ! » et même des applaudissements. Dans trois mois, elle pourrait avoir les faveurs de quelques Rémois.
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Bientôt éconduit des commandes de la SNCF, Jean-Pierre Farandou défend son bilan

Quelques heures à peine après la communication officielle du gouvernement lui ayant signifié que son mandat de PDG de la SNCF n’irait pas plus loin qu’au terminus des Jeux Olympiques et paralympiques, soit le 8 septembre prochain, Jean-Pierre Farandou a saisi une tribune toute trouvée pour défendre son bilan. Et en creux, dire sa façon de penser à sa tutelle.

Supposé au départ surtout justifier le récent accord social sur les fins de carrière, qui a fait tousser certains notamment au Sénat, au nom de l’équité des Français face à la réforme des retraites, le premier des cheminots a spontanément et vertement élargi le débat. Signifiant par avance qu’il partirait la tête haute du siège de Saint-Denis, le moment venu.

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2024, l’année de tous les atouts pour le tourisme

Tout est prêt… ou presque ! À 80 jours du démarrage des Jeux olympiques et paralympiques, le 7ème comité interministériel du tourisme (CIT) avait pour mission de déminer face au sentiment d’une préparation inachevée marqué par un récurrent « JO Bashing ». il devait aussi rappeler que le tourisme est bien un pilier de l’économie française (7 % du PIB) et que les Jeux ne l’impacteront pas négativement.

L’occasion aussi d’annoncer la modification à venir dans la gouvernance de Atout France. Mardi 7 mai à Matignon, le Premier ministre Gabriel Attal a présidé cette réunion initialement prévue le 25 avril -après une hibernation de 4 ans puisque Jean Castex avait présidé le dernier CIT en mai 2020- et réunissant les ministres concernés et les professionnels du secteur.

Forte majorité de touristes …

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Automobile : l’hydrogène n’a pas dit son dernier mot

Au précurseur les honneurs. Dans quelques semaines, Toyota alignera 600 Mirai aux couleurs des Jeux olympiques propulsées à l’hydrogène. « La pile à combustible participe des solutions visant à réduire l’empreinte carbone. Nous l’explorons le plus loin possible avec la seconde génération de notre modèle », rappelle Frank Marotte, président de Toyota France. Le constructeur a parié dès 2015 sur cette technologie et s’est lancé, le premier, dans la commercialisation en grande série d’une berline.

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En 2020, la Mirai (« futur », en japonais) a gagné 20 % de puissance et 30 % en autonomie. De quoi parcourir 650 kilomètres avec un plein. « Ce type de motorisation est particulièrement adapté aux usages intensifs, comme ceux des taxis qui apprécient un temps de recharge de cinq minutes, contre trente à quarante-cinq minutes pour une électrique classique », revendique Frank Marotte.

LIRE AUSSI : L’hydrogène naturel, mirage ou miracle de la transition énergétique ?

Vincent Salimon, président de BMW France, relève des avantages supplémentaires : « Une autonomie idéale pour les longues distances ; une résilience forte aux aléas météorologiques dont le rendement ne souffre pas du grand froid et une moindre dépendance géopolitique, puisque nous disposons des matières premières nécessaires en Europe. » Une flotte pilote d’une centaine de iX5 analyse les réactions des utilisateurs et leurs attentes.

Reste que le prix d’une voiture à hydrogène côtoie des sommets. De ce fait, les Français misent sur les utilitaires. Stellantis développe une solution pour ses Citroën ë-jumpy, Peugeot e-Expert et Opel Vivaro-e. Le groupe a rejoint Michelin et Forvia au capital de Symbio, une jeune pousse spécialisée dans les systèmes de conversion de fourgons électriques à l’hydrogène pour les petites séries. L’usine SymphonHy, inaugurée en décembre 2023 à Saint-Fons (Rhône), produira 50 000 piles par an.

LIRE AUSSI : Hydrogène : importer ou produire ? Le dilemme de la France

Pour sa part, Renault s’est associé à Plug, spécialiste des écosystèmes de l’or vert, pour créer Hyvia en 2021. Le déploiement des premières flottes de son Master H2-Tech commence cette année. Toyota, quant à lui, annonce dupliquer en Europe son Hydrogen Factory, responsable de la production, la commercialisation et l’après-vente de sa technologie, pour des camions et des bus, dont une nouvelle mouture, 50 % moins chère, est annoncée d’ici à 2026.

Le marché devrait être dopé par la directive européenne imposant une station de recharge tous les 200 kilomètres dès 2030, ce qui porterait le nombre de points de ravitaillement dans l’Union à 600 contre 178 aujourd’hui. Un coup de pouce encore insuffisant, mais bienvenu.

Bus : vent de fronde contre Bruxelles

C’est peu dire qu’elle a vu rouge. Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-de-France (LR) n’a pas mâché ses mots lorsqu’elle a eu vent du projet de la Commission européenne pour verdir les bus urbains. « L’Europe ne peut pas être le lieu de l’absurdie bureaucratique ! » s’est-elle énervée. La raison de cette ire ? Bruxelles souhaite imposer le tout électrique et l’hydrogène à compter de 2035, après quinze ans de bons et loyaux services. Et exclut le biométhane.

Or, Ile-de-France Mobilités a passé une commande de 4 000 nouveaux exemplaires électriques et… au biogaz, qui s’ajouteraient aux milliers de cars propres déjà en circulation. De nombreuses communes relayent le chœur des doléances après avoir investi dans des méthaniseurs, grâce… aux subventions européennes !

LIRE AUSSI : Hydrogène vert : pour la filière française, le difficile retour à la réalité

L’enjeu est important. Un véhicule au gaz coûte 290 000 euros, tandis que sa version électrique revient à 554 000 euros et celle à hydrogène à 698 000 euros. En réaction à ce surcoût imposé aux collectivités, l’Union des transports publics et ferroviaires demande au gouvernement une aide de 100 000 euros par exemplaire doté d’une batterie ou d’une pile à combustible. Elle s’est même fendue d’un manifeste à l’attention des candidats aux élections européennes.

Un article du dossier spécial « Automobile » de L’Express, paru dans l’hebdo du 18 avril.

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JO Paris 2024 : quel est le prix moyen d’une location Airbnb en Île-de-France

Le jour-J approche : c’est le 26 juillet prochain que le coup d’envoi des Jeux olympiques de Paris 2024 sera donné, avec la cérémonie d’ouverture sur la Seine. Certaines épreuves démarreront également quelques jours avant, et pour les futurs spectateurs qui ne résident pas en Ile-de-France, pour certains d’entre eux, l’heure est aujourd’hui à la recherche d’une chambre d’hôtel ou d’une location ponctuelle.

Selon le journal Le Parisien, le prix moyen d’une nuit dans la capitale, toutes offres confondues, est de 886 euros, soit 13% de moins qu’il y a un mois. Pour beaucoup donc, la recherche est synonyme de quête de bons plans, et cela peut passer par les plateformes en ligne. 

2.000 euros de revenus générés par les hôtes pendant les Jeux

Le directeur général d’Airbnb en France et en Belgique, Clément Eulry, revient dans l’émission La France bouge sur les différents prix pratiqués en région parisienne. « Les prix affichés (aujourd’hui) sont ceux qui n’ont pas été réservés, c’est-à-dire que le prix moyen est bien moindre que ça », explique-t-il sur Europe 1. Selon lui, « un hôte moyen en Île-de-France, représente 2.000 euros de revenus générés pendant les Jeux olympiques, donc 200 euros par nuit en moyenne pour une dizaine de nuits ».

Le directeur général justifie cette différence avec le tarif affiché par l’étude du Parisien par la diversité de l’offre. « Ça va du studio en banlieue, au multi-pièces sur la Seine. À chaque besoin, en fonction de la taille de la famille, du groupe, en fonction des besoins d’accessibilité, il y a une réponse sur la plateforme Airbnb », promet le dirigeant.

43 milliards d’euros d’impact économique générés

Selon le directeur général d’Airbnb en France et en Belgique, la plateforme génère 43 milliards d’euros d’impact économique chaque année, soit « 366.000 emplois créés ou soutenus ». « On travaille avec beaucoup de territoires, de collectivités, pour renforcer l’attractivité de leur destination », souligne Clément Eulry.

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L’enquête immobilière de Citi montre un plus grand intérêt pour l’accession à la propriété parmi les riches après l’annulation des mesures de refroidissement de la propriété

Plus de 70 % des personnes aisées interrogées expriment un plus grand intérêt pour l’accession à la propriété et anticipent une hausse des prix de l’immobilier au cours des 12 prochains mois.

HONG KONG SAR – Media OutReach Newswire – 6 mai 2024 – Hong Kong a mené une enquête en avril 2024 sur la propriété résidentielle à Hong Kong en réponse au retrait par le gouvernement de Hong Kong de toutes les mesures de refroidissement des propriétés en février, compte tenu de la situation économique et du marché actuel. conditions.

Voici quelques points saillants des résultats de l’enquête auprès des répondants du Segment aisé (c’est-à-dire les personnes disposant d’actifs liquides de 1,5 million de HKD ou plus) :

· 50 % pensent que c’est maintenant le meilleur moment pour acheter une propriété, contre 40 % qui pensent que cela ne fait aucune différence et 8 % qui pensent que c’est un pire moment pour acheter.

· 72% expriment un plus grand intérêt pour l’achat d’une propriété. Par rapport à l’ensemble des répondants, les personnes du segment aisé sont plus intéressées par l’achat d’une propriété comme investissement (46 %), suivi par le soutien à leurs enfants (34 %) et comme source de revenus locatifs (25 %). Seulement 6% des personnes interrogées se disent moins intéressées par l’achat d’un bien immobilier après la levée des mesures de refroidissement.

· Parmi les propriétaires interrogés appartenant au segment aisé, 62% expriment un plus grand intérêt à changer de propriété, contre seulement 3% qui s’y montrent moins intéressés.

· 54%, 62% et 57% prévoient une hausse des prix de l’immobilier au cours des 6, 12 prochains et 24 mois respectivement, contre 31%, 21% et 26% qui pensent que les prix de l’immobilier resteront stables. Seuls 13%, 16% et 15% pensent que les prix de l’immobilier vont baisser au cours des 6, 12 et 24 prochains mois.

· Ceux avec enfants (77%) et un revenu familial mensuel supérieur à HKD 80 000 (75 %). ainsi que ceux qui avaient a déjà possédé une propriété (81 %) Les habitants du segment aisé sont plus intéressés par l’achat d’une propriété maintenant que toutes les mesures de refroidissement de l’immobilier ont été levées.

· Parmi toutes les mesures de refroidissement de l’immobilier qui ont été levées, les répondants du segment aisé sont les plus conscients de la suppression du Droit de timbre spécial (SSD, 65 %) et Droit de timbre de l’acheteur (BSD, 61 %).

· Parmi ceux qui expriment un plus grand intérêt pour l’accession à la propriété dans le segment aisé, 42 % citent la suppression du SSD comme l’une des raisons de leur intérêt accru pour l’achat d’une propriété, suivi par l’assouplissement des ratios prêt/valeur pour les propriétés résidentielles (41 %) et la suppression du BSD (36 %).

Josephine Lee, directrice générale et responsable de Citigold et des ventes de cartes et de prêts non garantis chez Citibank Hong Kong, a déclaré : « Nous nous sommes toujours engagés à rassembler toute la puissance de Citi pour servir l’ensemble du continuum de clients patrimoniaux avec des solutions financières adaptées. pour répondre aux besoins uniques de chaque client. Cette enquête révèle que les individus aisés ont davantage besoin d’investissement, de préservation de leur patrimoine et de planification de leur héritage, la propriété résidentielle faisant partie intégrante de leur portefeuille patrimonial. Avec Citigold construit autour des besoins bancaires de nos clients, nous proposons une gamme d’investissements à long et à court terme, des solutions hypothécaires et de liquidités, ainsi que divers outils de financement qui aident à protéger leur patrimoine et à développer leurs portefeuilles.

De manière générale, les résultats de l’enquête reflètent un sentiment positif du public à l’égard du marché immobilier après la levée de toutes les mesures de refroidissement en février, renforçant ainsi l’optimisme des acheteurs potentiels de logements. Alors que nous continuons de tirer parti de notre vaste réseau de vente au détail et de notre expertise, nous avons consolidé notre position en tant que partenaire hypothécaire de confiance, les prêts hypothécaires restant un élément essentiel de notre solution globale de gestion de patrimoine proposée aux clients fortunés.

Afin de faciliter des demandes de prêt hypothécaire plus rapides et plus efficaces, Citi est l’une des rares banques de Hong Kong à avoir numérisé le processus avec le lancement de la nouvelle plateforme de demande de prêt hypothécaire en ligne, offrant aux clients la possibilité de lancer leurs demandes de prêt hypothécaire avec des informations préliminaires immédiates. résultats d’évaluation en ligne et de suivre leurs demandes de prêt hypothécaire à tout moment et en tout lieu.

Depuis 2010, Citi Hong Kong mène des enquêtes sur le marché immobilier de Hong Kong pour évaluer l’état actuel de l’accession à la propriété dans la RAS, évaluer les intentions du public en matière d’accession à la propriété et suivre les attentes du public quant aux tendances futures des prix de l’immobilier.

Source : Enquête immobilière Citi 20241

Exclusif Des offres2
Jusqu’au 31 mai, les clients qui ouvrent avec succès un compte Citigold ou Citigold Private Client bénéficieront d’une remise en espèces allant respectivement jusqu’à 42 100 HK$ ou 65 300 HK$, y compris une remise en espèces allant jusqu’à 24 000 HKD pour un retrait réussi de leur prêt hypothécaire. Pour les clients existants des services bancaires et des cartes Citi qui parrainent avec succès un client pour contracter un prêt hypothécaire3 et ouvrez un compte Citigold ou Citigold Private Client bénéficiera d’une remise en espèces de parrainage pouvant aller jusqu’à 7 088 HKD et 13 888 HKD respectivement. Pour plus d’informations, veuillez visiter et

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À propos de Citi

Citi est un partenaire bancaire de premier plan pour les institutions ayant des besoins transfrontaliers, un leader mondial en matière de gestion de patrimoine et une banque personnelle appréciée sur son marché domestique, les États-Unis. Citi exerce ses activités dans près de 160 pays et juridictions, offrant aux entreprises, aux gouvernements, aux investisseurs, aux institutions et aux particuliers une large gamme de produits et services financiers.

Des informations supplémentaires peuvent être trouvées sur | Twitter: | LinkedIn : www.linkedin.com/company/citi | Youtube: www.youtube.com/citi | Facebook: www.facebook.com/citi

Bibliographie :

Études économiques de l’OCDE : Luxembourg 2017.,Fiche de l’éditeur. Disponible à CULTURA.

JO de Paris 2024 : une grève prévue à la SNCF en Île-de-France le 21 mai, à quoi s’attendre

Les syndicats visent à améliorer les compensations pour la période des Jeux olympiques 2024.

Le bras de fer se poursuit avec les syndicats de cheminots qui annoncent une journée de grève le 21 mai en Île-de-France, confirmant ainsi une information de la part de RMC. Cette grève devrait avoir des répercussions sur les RER, les Transiliens et le tram 4.

Quelles seront les répercussions ?

Les employés de la SNCF demandent une meilleure compensation pour la période des Jeux olympiques. Une réunion entre la direction de la SNCF et les syndicats est prévue pour le lendemain de la grève, le 22 mai.

Des compensations pour les JO

La SNCF propose actuellement une indemnité de 50 € bruts par jour d’épreuve, ce qui ne satisfait pas les cheminots. Ils demandent une prime fixe de 100 €, à l’instar de la RATP. Cette grève permettra également à la CGT d’aborder plus largement des questions telles que l’emploi et les salaires des employés de la SNCF.

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Sauvetage d’Atos : les trois propositions financières qui restent sur la table

Le géant informatique français en difficulté Atos a annoncé, lundi 6 mai, avoir reçu quatre propositions de restructuration financière en vue de son sauvetage et vouloir trouver avec ses créanciers une solution « acceptable pour eux » d’ici au 31 mai.

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L’ex-fleuron de la « French Tech », qui doit être l’un des piliers technologiques des Jeux de Paris cet été, avait annoncé la semaine passée avoir besoin de 1,1 milliard d’euros de liquidités pour son activité en 2024-2025 et vouloir réduire de 3,2 milliards d’euros sa dette brute, qui avoisine les 5 milliards. Il avait laissé jusqu’à vendredi pour lui faire parvenir des offres, qui ont été présentées dimanche lors d’un conseil d’administration, a-t-il précisé dans un communiqué.

LIRE AUSSI : Atos en quête d’un sauveur : de OnePoint à Kretinsky, les jeux sont rouverts

Ces quatre offres émanent d’un groupe d’actionnaires et de créanciers de l’entreprise, du fonds d’investissement Bain Capital, de l’homme d’affaires tchèque Daniel Kretinsky (un temps en discussions pour racheter une partie d’Atos avant de voir les négociations être rompues en février) allié au fonds Attestor et, enfin, de Onepoint, le premier actionnaire du groupe en consortium avec la société d’investissement de l’homme d’affaires Walter Butler.

Les discussions ne vont pas se poursuivre avec Bain Capital

« Le conseil a décidé avec la direction du groupe, et après alignement avec la conciliatrice Hélène Bourbouloux, de ne pas poursuivre les discussions avec Bain Capital, car la proposition soumise ne répondait pas aux objectifs déclarés de la société de prendre en compte l’ensemble de son périmètre », a fait savoir Atos dans son communiqué.

LIRE AUSSI : Atos, fragile pilier des Jeux olympiques : « On ne peut pas se louper »

La prochaine étape est désormais la présentation aux créanciers d’une offre avant la fin mai, en vue de parvenir à un accord final de restructuration financière d’ici juillet 2024. Le groupe prévient toutefois que la solution trouvée devrait entraîner « des changements radicaux » dans sa structure de capital avec l’émission de nouvelles actions, ce qui entraînerait une « dilution massive » de ses actionnaires. Autrement dit, ils verraient la part qu’ils détiennent de la société fondre drastiquement.

Dans le même temps, Atos a annoncé avoir engagé avec l’Etat des discussions, après que le gouvernement a révélé la semaine dernière vouloir acquérir les activités souveraines de l’entreprise.

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Eoliennes, panneaux solaires, tracker… comment EDF alimente les Jeux olympiques 2024 à Marseille

Le défi n’était pas aisé. L’essai semble toutefois transformé. EDF, à travers ses filiales notamment, relève le challenge de Jeux olympiques plus sombres et plus responsables. Paris 2024 estime sa consommation d’environ 70GWh, soit 0,1 % de la consommation annuelle d’électricité en Ile-de-France. Les Jeux portent l’engagement de réduire de moitié leur empreinte carbone, par rapport aux précédentes éditions. Comment est-ce possible ?

Tout d’abord Paris 2024 propose un nouveau modèle d’approvisionnement en énergie, reposant sur trois piliers. Le premier concerne le raccordement au réseau d’électricité de la totalité des sites avec Enedis. Le second, celui de l’alimentation en 100 % énergies renouvelables avec EDF et enfin l’objectif de zéro énergie fossile utilisée pour des solutions temporaires de secours. « Nous couvrons les consommations d’énergie des sites olympiques et des manifestations sportives par de l’électricité renouvelable française », assure Frédéric Busin, directeur régional d’EDF.

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À qui profitent les jeux Olympiques ? (2/4)

L’argument de l’impact économique ne convainc plus. Si le CIO met maintenant en avant ce qu’il reste, soit « l’héritage » des Jeux, il se méprend.

Wladimir Andreff

Économiste et président du conseil scientifique de l’Observatoire national du sport

Qui, dans le monde sportif, profite des Jeux ? À qui rapporte le crime ? Avant tout, le Comité international olympique (CIO), organisateur des Jeux, y gagne deux choses : un objet à la valeur de 10 milliards d’euros qu’il paye seulement un milliard, d’autres le payant pour lui, et des droits de télévision allant de 2 à 4 milliards d’euros entre chaque édition. Tous les deux ans, ces droits de retransmission représentent ses revenus. C’est le grand gagnant des Jeux avec un « monopole pur mondial » : c’est la seule entreprise au monde qui ait un si fort monopole. Dans un deuxième temps, ce sont les athlètes qui profitent des Jeux. Pour ces derniers, ce serait une véritable catastrophe si les Jeux venaient à être supprimés. Tous les athlètes médaillés gagnent des dizaines de milliers d’euros. Rien qu’une simple participation aux jeux Olympiques représente un « argument massue » pour renégocier leurs contrats avec leurs sponsors.

L’Observatoire national du sport, dont je suis le président, a piloté une étude en 2016, intégrée dans le dossier de candidature de Paris 2024, pour évaluer l’impact économique de l’événement – comprendre ici la valeur ajoutée, pour Paris et l’Île-de-France, par le fait d’accueillir les JO. Trois scénarios, du plus optimiste au moins, donnaient des résultats entre 5 et 10,7 milliards d’euros. L’impact économique des Jeux est toujours, dans le meilleur des cas, aux alentours de 10 milliards. Ce résultat se calculant sur dix-sept ans, cela représente moins d’un milliard par an et moins de 0,01 % du PIB français. C’est insignifiant d’un point de vue macroéconomique ! Évidemment, les restaurateurs, les hôtels vont gagner beaucoup d’argent, mais ce sont des profits privés, qui n’enrichissent pas à la société. L’argument de l’impact économique ne convainc plus. Le CIO en est conscient et préfère dorénavant se concentrer sur ce qu’il reste après les Jeux, « l’héritage », en espérant que ce ne soit que du positif. Des conséquences négatives à l’organisation de l’événement existent pourtant : d’une part, avec une dette payée après coup par les impôts des locaux de l’épreuve ; d’autre part, avec les « éléphants blancs », ces investissements obligatoires dans des structures qui ne servent plus. Pour Paris 2024, si le Grand Palais est rénové pour accueillir des spectacles qui rapporteront des revenus, ce sera du positif, certes, mais aussi du négatif car la maintenance du bâtiment devra être assurée. L’héritage, c’est du temps long, et c’est là où le CIO se méprend. Certains économistes, dont je fais partie, privilégient l’analyse coût-avantage.

Tous les coûts et tous les revenus de l’organisation des Jeux sont appréciés monétairement avec leurs externalités négative et positive. La différence entre ces coûts et ces revenus, le « bénéfice social net », permet de déterminer le bénéfice, négatif ou positif, pour la société. Si le bénéfice social est négatif, les économistes prônent de ne pas faire d’investissements : une approche que goûtent peu les femmes et les hommes politiques.

Changeons de perspective. Assumons qu’un pareil événement ne rapporte rien et apprécions d’abord sa valeur sportive, sociale et culturelle.

Pierre Rondeau

Économiste, spécialiste de l’économie du sport

Dans l’histoire récente, si on s’intéresse aux Jeux de Tokyo, Rio, Londres, Pékin, Athènes, Sydney ou Atlanta, la question de l’intérêt d’une telle compétition se pose. À chaque édition, on ne retient que la grandeur et la démesure, les milliards de dollars dépensés et injectés, les euphories et les folies collectives, etc. Mais, pour tout le reste, pas grande chose. Un événement comme les jeux Olympiques n’est en aucun cas un multiplicateur ; qu’il ait lieu ou pas ne change fondamentalement rien pour le pays hôte.

L’économie n’est pas « boostée » par la compétition, le tourisme ne se pérennise pas, les différents indicateurs de niveau de vie ou de bonheur ne sont pas dopés. Peu de chose est à observer et à noter, alors même qu’il s’agit de l’argument principal des organisateurs et des partisans olympiques ! Disons-le très simplement : non, une compétition sportive d’envergure internationale n’apporte aucune bonification économique. Et elle coûte souvent plus cher que ce qu’elle pourrait rapporter. Nous devrions le savoir, nous, Français, qui avons accueilli, depuis 2016, l’Euro masculin de football, la Coupe du monde féminine de football, la Coupe du monde masculine de rugby, les Championnats du monde masculins et féminins de handball, des compétitions de MMA, des matchs de NBA ou encore une finale de Ligue des champions. Pour quelles conséquences économiques ? La courbe du chômage s’est-elle inversée en 2016 ? Le plein-emploi a-t-il été atteint ? La croissance s’est-elle pérennisée à des niveaux soutenables ? L’indicateur du bonheur et de confiance des ménages a-t-il grimpé ? Non, rien de tout cela. Juste de rares moments de célébration et de liesse, juste un épiphénomène sportif nécessaire mais en aucun cas indispensable.

L’angle économique ne devrait donc plus être la pierre angulaire de l’analyse. Assumons que les Jeux ne rapportent rien, hormis aux sportifs et aux fans de sport, et admirons plutôt cette manifestation populaire dispendieuse et homérique. Apprécions les promesses de réhabilitation des infrastructures parisiennes, soulignons les investissements urbains consentis, soutenons les retombées en matière de pratique sportive. Pour tout le reste, ne soyons pas dupes. Non, les Jeux ne seront pas populaires, la billetterie l’a malheureusement démontré. Non, les Jeux ne seront pas sobres, un afflux touristique d’importance provoquera forcément des dégâts environnementaux. Non, les Jeux ne seront pas à l’équilibre, la Cour des comptes avait d’ailleurs noté, en juillet 2023, une mésestimation de son budget.

Il nous est nécessaire de changer de perspective. Apprécions d’abord cet événement pour sa valeur sociale et culturelle, plutôt que de le juger uniquement sur son impact économique. Il mérite beaucoup plus qu’une simple appréciation de croissance.

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